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Nouveau danger en descente de col ???


Gino BOISSINOT

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il faut aussi prendre en compte l'heure a laquelle on roule😉 en heures dites "de pointe" 7 h00 - 9 h00  le matin

je pense que ça doit  être une circulation similaire autour des grandes villes que se soit en  Belgique ou en  France. je suis dans un  patelin (35 000 habitants) avec un accès autoroute A6 situé a une 30 km Paris (porte d'Italie) les bleds qui entoure le mien le plus petit 10 000 individus et le plus gros 57 0000  mais de toute façon même en heure creuse je suis certain de croiser bien plus de véhicules que Mr Sapin

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Vous avez également une grande faculté à pousser des cris d'orfraie au nom de votre sacro-saint sens des responsabilités, qui est particulièrement étouffant.

Avant que cette société ne se referme sur ses peurs, il y a eu une période bénie ou les psys ont expliqué (entre autres) que le risque fait partie de la vie.

Il faut vous mettre dans la tête que Benoit Sapin ne préconise pas non plus de faire n'importe quoi. Juste d'aborder la vie avec simplicité. Tu prends ton vélo, tu vas de balader. Tu ne te fais pas de film sur les bagnoles ou les nids de poule. Et si ta région ne te plaît pas, tu en change. Si tu ne peux pas (ou ne veux pas) en changer, tu fais avec, mais sans en faire tout un roman. 

Je te réponds à toi, mais ça pourrait également être encore plus destiné aux parisiens du forum, qui se plaignent globalement de leurs conditions de vie hors vélo. Il y a un moment, il faut mettre des actes en face des plaintes. Si ce n'est plus tenable à l'endroit ou l'on est, il faut tout mettre en oeuvre pour aller vivre ailleurs.

Sinon, on peut en conclure que la plainte n'est qu'une posture et que la situation n'est pas si insupportable.

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On peut également se trouver bien là où on est si on ne considère pas le vélo, et se dire que finalement le mieux est d'y rester. Il y a une vie hors du vélo, et il me semble même, corrige-moi si je me trompe, que c'est le plus important, cette vie hors vélo… 

Ce qui n'empêche pas de vouloir changer les choses de l'intérieur et de rendre les choses plus «vivables» pour notre petite reine là où on se trouve. À commencer par la sortir régulièrement et nous avec. En se rendant visibles autant que possible, en râlant quand il faut râler, on montre notre existence et on peut faire évoluer les choses dans le bon sens.

Sinon, on peut faire comme tout le monde et fuir à la campagne… mais au final ça reviendra à construire la ville à la campagne, et à déplacer le problème sans le résoudre.

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Je peux me lacher sur une route protéger. Pas sur une route ouverte.

A partir d'un certains niveau certains confondent peur et connerie.

Dans mon boulot j'en connais trop qui sont handicapé ou mort alors qu'ils "faisaient attention".

Quand tu analyse les causes de l'accident, à 99% il n'y a pas de fatalité.

On peut jouir de la vie, se lacher, en profiter sans pour autant être "à la limite".

Et quand tu as un enfant jeune, tu prends un peu plus de marge de sécurité. Sinon cela s'appelle de l'égoïsme.

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"il me semble même, corrige-moi si je me trompe, que c'est le plus important, cette vie hors vélo… "

Globalement, c'est assez vrai... Sauf que j'ai du mal à parler de la vie hors vélo ou dans le vélo. Il y a la vie, avec ses multiples facettes. Ca forme un tout, généralement assez bancale, mais personne n'étant préparé à vivre, chacun fait comme il peut.

Après, si j'ai pris la peine de dire que je pensais également (surtout) aux parisiens, c'est que finalement, tu ne te plains jamais de la Belgique en dehors des conditions dans lesquelles tu pratiques le vélo.

Quand à savoir ce qui est le plus important, je ne suis pas compétent. Pour ma propre vie ça change toutes les 5 minutes. Mais je sais que le vélo y prend une place non négligeable, qui contribue à mon équilibre psychique. Et que pour beaucoup de mes amis actuels, la possibilité de pratiquer le cyclisme est un facteur moteur de leur vie.

 

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