Guillaume LEROYER Posté le 27 octobre 2016 Share Posté le 27 octobre 2016 "70km de chrono, Des cols et des sprints" Trop de sprints quand même à mon goûtEn comptant les 2 arrivées en haut de petites côtes, je compte 8 étapes sur les 13 premières qui ont de très fortes chances d'arriver au sprintLe Giro est généralement le grand tour dont je préfère les parcours, mais là objectivement je ne le trouve pas mieux que celui du Tour Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 27 octobre 2016 Share Posté le 27 octobre 2016 Il y a quand même une différence fondamentale entre le Tour, le Giro, et la Vuelta, indépendamment du fait que les meilleurs du monde se regroupent sur le Tour et pas sur les deux autres (n'en déplaisent à certains) : la topographie du pays.Quiconque connait l'Italie remarquera qu'il est possible et facile de faire une arrivée dure et/ou spectaculaire dans tout le pays, du Nord au Sud, de l'Ouest à l'Est, en Sardaigne ou en Sicile. Il y a bien la plaine du Pô et les bords de mer à l'Est qui sont plats, mais disons que l'organisateur a vraiment le choix pour proposer des parcours qui excitent les midinettes.A côté de ça, la France est différente. Nous avons cinq massifs, mais ils sont situés à la gauche d'un axe Bayonne/Metz en gros. Ce qui laisse une grosse moitié de France presque plate ou sans beaucoup de relief. Il faut faire avec. Et respecter la tradition du Tour.En 2017, le Tour ne visitera pas le Nord, la Normandie, la Bretagne, pourtant trois terres de vélo, ni même le Poitou, la Charente, le Bordelais... Bref, il y a des gens mécontents.Mais s'il faisait vraiment le "tour" de la France, vous seriez nombreux à critiquer ici son découpage.Il faut s'y faire une bonne fois pour toutes : le Tour n'est pas le Giro, et l'inverse non plus. Et c'est très bien comme ça. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 27 octobre 2016 Share Posté le 27 octobre 2016 De même qu'il est assez difficile de trouver un coin d'Espagne sans relief…A côté de ça, la France est différente. Nous avons cinq massifs, mais ils sont situés à la gauche d'un axe Bayonne/Metz en gros.Plutôt à la droite de cet axe, non? 😇 Enfin, si tu regardes cette ligne sur une carte orientée classiquement (nord en haut). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 27 octobre 2016 Share Posté le 27 octobre 2016 Oui, bien sûr. J'étais en train de penser à la ligne et en train de regretter de vivre du mauvais côté 🆒 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel ROTH Posté le 28 octobre 2016 Share Posté le 28 octobre 2016 Voici une belle synthèse qui devrait nous réconcilier tous sur le sujet.😄 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel ROTH Posté le 28 octobre 2016 Share Posté le 28 octobre 2016 A première vue, pas de batailles de bordures en vue, ni sur le Tour ni sur le Giro. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel CREPEL Posté le 28 octobre 2016 Auteur Share Posté le 28 octobre 2016 Par essence, "JG", le Tour de la France est le tour de l'hexagone et les premières éditions résumaient parfaitement cette entité et ce même lorsqu'ils y ont incorporé les massifs Vosgiens, Jurassiens, Alpins et Pyrénnéens ! Effectivement, le centre était exclu mais après tout, c'était le TOUR de la France ! Il est toujours possible de faire un Tour de France en honorant cette appellation mais les régions du Centre seraient bannies ! Maintenant, un jour on partira d'Astana, de Winnipeg, d'Ushuaia ou de Papouasie Occidentale sans que personne n'y trouvent rien à redire ! 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel CREPEL Posté le 28 octobre 2016 Auteur Share Posté le 28 octobre 2016 On a souvent reproché au Giro, ces dernières années, son côté spectaculaire (qui cache la forêt ?) et sa propension à toujours mettre les escaladeurs en avant ! Aujourd'hui, il a fait volte face et propose un tracé équilibré pour coureurs complets. Dans l'esprit, toute la définition d'un Grand Tour se résume à "épreuve de trois semaines configurée pour dégager à terme le coursier le plus complet". Moi, je vois la 1, la 3 et la 13 comme certaines de se conclure au sprint, les autres, en dehors de celle de l'Etna, bien évidemment, sont susceptibles d'entraîner des surprises. Tout dépendra du plateau, en vérité ! 😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel CREPEL Posté le 28 octobre 2016 Auteur Share Posté le 28 octobre 2016 Va savoir !😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume EDMONT Posté le 28 octobre 2016 Share Posté le 28 octobre 2016 "A première vue, pas de batailles de bordures en vue, ni sur le Tour ni sur le Giro"Je vois quand même sur le giro beaucoup d'étapes en bord de mer, je suppose que ce sont des routes qui favorisent les bordures? Etape 5, le final se compose de 50 bornes en bord de mer pour rejoindre Messine. L'étape 6 est elle intégralement tracée en bord de mer, on commence à remonter la botte à partir du détroit de Messine. L'étape 8 longe totalement l'Adriatique. Le début de l'étape du Blockaus emprunte également les routes du bord de mer dans la région de Pescara. La question c'est la force et la direction du vent en Italie à cette époque, a priori pour le détroit de Messine les mois les plus venteux sont avril-mai. Après ça reste modéré, j'ai un site qui m'annonce 8 noeuds soit 15 km/h en vitesse moyenne sur ces mois là.#pourungiroauqatar 😃 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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