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Messages recommandés

Posté

Le bon entourage ne suffit pas, quand le cheval est parti au galop, il est trop tard!

Regarde le nombre de star de rock mortes à 27 ans, énorme! Et souvent à cause de la drogue et /ou l'alcool plus la gloire insupportable.

Posté

C est vrai qu il aurait fallu que quelqu un de son entourage le pousse vers autre chose, vers une autre vie, le problème c est qu il ne connaissait que le vélo, il a baigné de dedans tout petit, par son oncle qui était déjà un surdoué du vélo, dés ses premières courses Frank gagnait et en plus facilement,à 16 ans il vivait déjà comme un pro, c était son monde, il ne voulait rien d autre si ce n est que vivre sa passion.Un surdoué du vélo mais c est vrai, un don qu il a payé cher, trop cher. Freddy Maertens a vécu aussi la même chose dans les années 80 mais s en est sorti.

Posté

C est vrai que c était une idole, mais il ne faut pas jeter la pierre à sa famille qui  avait connu le même conte de fée  avec  son oncle Jean Luc qui fut aussi une idole dés 16, 17 ans........mais tout c était bien passée et bien terminé.

Posté

"il ne faut pas jeter la pierre à sa famille"

Tout à fait; à 19 ans il faisait déjà ce qu'il voulait, il avait dit "m e r d e" à son oncle directeur sportif chez Lotto et était parti chez Mapeï.

Son trop plein de classe a concouru à sa perte; il a progressé trop vite et l'esprit n'a pas suivi le corps.

Posté

A quatre ans Franck Vandenbroucke avait été percuté par une voiture, s'en suivirent plusieurs opérations et ses parents furent encore plus attentionnés pour lui.

Doté d'un caractère bien trempé et attiré par la compétition il devient champion de Belgique de cross country pupille, puis minime. Assez tôt il suit la tradition familiale et se lance dans le cyclisme. Une anecdote pour situer le talent précoce du gaillard, 1989 Franck a quinze ans, en vacances familiales près de Chambéry il réussit à rouler les professionnels Belges qui préparent le championnat du Monde et suit les Criquielion, Bruyneel, Wampers et leurs coéquipiers jusqu'en haut du Revard suscitant l'étonnement admiratif des coursiers Belges, vous connaissez tous la suite.

Ce surdoué a alterné l'excellence et le pire mais il ne laisse pas indifférent, avec une autre approche de son sport quel palmarès aurait-il bâti?

Pour ceux que cela intéresse je vous recommande la lecture de : "La saga Vandenbroucke" de Pascal Sergent

  • 1 year later...
Posté

Ce qui a fini par achever VDB et Pantani c'est de continuer à courir en étant le fantôme d'eux même.

Les deux étaient mentalement fragiles. Ca rend un métier "public" encore plus difficile à gérer. Le jugement positif ou négatif des autres peut faire tout basculer à tout moment. 

Posté

C'est justement pour ça qu'il n'est pas dépressif. Parce qu'il a su (pu) en parler et se remettre à fonctionner immédiatement. Finalement, il n'a bassiné que ceux que ça bassinait. Personne n'était obligé de lire, ni de répondre.

Il y a là une capacité d'auto-réparation qui est plutôt intéressante.





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