Jacques VANDEWIELE Posté le 18 août 2015 Posté le 18 août 2015 Le courreur de la Katusha a été déclaré positif à l' EPO selon l' UCI et ne prendre donc pas le départ de la Vuelta.
Bernard MOREAU Posté le 18 août 2015 Posté le 18 août 2015 C'est exactement ça, voir l'article ds cyclingnews.comGénial quand même!
Claude CARRIES Posté le 18 août 2015 Posté le 18 août 2015 Il y en a certainement qui ont du soucis a se faire📢
François BABEN Posté le 18 août 2015 Posté le 18 août 2015 "Ah... Je vois que Monsieur est un récidiviste !".J'attends impatiemment les explications de Katusha afin de se soustraire aux règles du MPCC.
Jacques VANDEWIELE Posté le 19 août 2015 Auteur Posté le 19 août 2015 Effectivement l'échantillon date de 2012.
Michel ROTH Posté le 19 août 2015 Posté le 19 août 2015 Oui génial ces analyses rétrospectives. D'autant plus que le délai est - je crois - de 8 ans (à vérifier). Et dire que certains pensent que la lutte anti-dopage ne progresse pas.
Bernard MOREAU Posté le 19 août 2015 Posté le 19 août 2015 10 ansd'après cyclingnews.com citant un communiqué de presse de l'UCIThe standard time of storage and further reanalysis under this strategy is up to 10 years."
Guillaume EDMONT Posté le 19 août 2015 Posté le 19 août 2015 C'est chaud pour l'Italie ces derniers mois... Santambrogio, Rabottini, Appolonio, Paolini, Reda, Taborre, Caruso maintenant et quasiment tous à l'EPO
Jean-Pierre MATHELIER Posté le 19 août 2015 Posté le 19 août 2015 En effet très efficace pour se faire prendre également !
Guillaume EDMONT Posté le 19 août 2015 Posté le 19 août 2015 Pour Appollonio pas trop a priori, il a pas fait grand chose comme résultat ces dernières années lol
Bernard MOREAU Posté le 19 août 2015 Posté le 19 août 2015 Le fait qu'un dopé à l'EPO n'ait pas de résultats ne signifie pas que le produit n'est pas efficace, mais plus probablement que le dopé en question n'a tout simplement pas sa place chez les pros.Dans les années 1994-2007 env. bcp se dopaient à mort juste pour rester équipier ds une équipe pro.Les équipes continentales étant moins surveillées, le dopage est souvent plus intense chez elles.
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