Didier SALEMBIER Posté le 10 octobre 2014 Share Posté le 10 octobre 2014 Le nettoyage du vélo est trop pénible aussi ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nicolas JOARY Posté le 10 octobre 2014 Share Posté le 10 octobre 2014 "Ceux que je croises en vélo taff dans le noir qui font le trajet tous les jours font au moins 20 km je pense,je l'estime par rapport aux zone ou je les croise.Par contre ils arrivent et finissent plus tôt que moi ."Oui, j'en croise aussi qui font probablement ça tous les jours. On se fait un signe de la main. C'est sympa."Quelque fois je reconnais que je me demande ce que je fais sur ce fichu vélo,le problème étant que je n arrive pas à être régulier.Du coup pas trop le choix avec la pluie.difficile de passer entre les goutes si on veux vraiment rouler et de plus le matin il y a la rosé ,j arrive trempé au boulot sans pluie du fait."Pour moi, c'est un problème. Pas de douche au boulot, donc pas question de trop me saloper à l'aller ou de puer le bouc. Heureusement que le trajet aller est le plus facile ! Je change juste de vêtements. Au retour, par contre, quand je me sens bien, "je me lâche". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 10 octobre 2014 Share Posté le 10 octobre 2014 Quelle horreur ! Véritable sacrilège pour un puriste. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daniel TULOW Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 J'ai des fringues d 'avance au boulot en permanence , une paire de pompe , des serviettes ,gants de toilettes , savon etc... tout une organisation car je n'ai pas de douche non plus mais j ai 15 minute le matin pour me laver , du papier journal aussi pour mettre dans mes chaussures de vélo si elles sont trempée et quelques fringues de rechanges de vélo aussi pour le retour si celles du matin n'ont pas séché un minimum.le repas du midi en général est au frigo déjà de la veille sinon j ai 15 minute à pied pour aller me chercher quelque chose.je me lache toujours au retour aussi,le matin j ai toujours un rythme constant de 28 à 30 km/h. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daniel TULOW Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 pareil d ailleurs je vais le nettoyer tout à l heure. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 Bibi c'es nettoyage systématique de la transmission même par temps sec--------------je n'achèterai jamais vos vélos ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 Je ne supporte pas de voir mon vélo crados ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arnaud BOURCIER Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 Bah il y a un juste milieu.Par temps sec, je n'entretiens ma transmission que tous les 500 km et pourtant ma chaine tient 12000 km sans problème.Par contre, je roule quasiment jamais sous la pluie. Je n'ai pas de mulet et ça me fait mal au coeur d'abimer mon seul vélo sous l'eau... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 100% OK avec ta conclusion.Avec mon lubrifiant je peux faire environ 500 km sans souci,après c'est nettoyage nickel de toute la transmission. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard PIGUET Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 Un BON conseil d'un ancien, si vous ne voulez pas rouler sous la pluie, et ne pas nettoyer un vélo, alors je connais la solution, IL FAUT CHANGER DE SPORT !Car comment voulez vous modifier ce sport de plein air ? Vous êtes déjà des 100 aines à vous interroger sur l'EDT 2015, qui se fera certainement en montagne et sur des routes (goudronnées heureusement), alors savez vous le temps qu'il fera ?Quand on pratique à haut niveau, c'est un risque à prendre, on s'engage sur des objectifs et il convient de respecter ses engagements. Rouler par temps de pluie n'est jamais un choix et n'est pas toujours agréable, mais fait partie du JEU. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume LEROYER Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 "Quand on pratique à haut niveau, c'est un risque à prendre, on s'engage sur des objectifs et il convient de respecter ses engagements" Tout est dit, BernardA haut niveau, effectivement, tu dois rouler beaucoup et par tous les temps Pour le reste, c'est à dire la grande majorité d'entre nous il me semble, on ne parle pas d'impossibilité à rouler sous la pluie, juste que si on peut faire autrement et rouler par temps sec, on y trouve plus de plaisirDonc je trouve ton post très agressif, surtout le "IL FAUT CHANGER DE SPORT" en majusculesAccepte que certains n'aient pas la même vision que toi de leur pratique cycliste Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 😉 Rien à foutre ! Si flotte moi pas vélo. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 Si on me donne un vélo + son entretien,je roule avec délectation sous la pluie ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eric HENNUY Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 Rassures-toi Guillaume l'intervention de Bernard n'a rien d'agressif.Je comprends son intervention, lui qui a connu le haut niveau en cyclosport, quand on est motivé par une épreuve et qu'on s'est entrainé très dur pour, la météo passe au second plan.Moi qui qui ai horreur de la pluie je me suis surpris de rouler de façon très engagée sous le déluge dans une épreuve que j'avais longuement préparée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume LEROYER Posté le 11 octobre 2014 Share Posté le 11 octobre 2014 "Je comprends son intervention, lui qui a connu le haut niveau en cyclosport, quand on est motivé par une épreuve et qu'on s'est entrainé très dur pour, la météo passe au second plan" Ca, je le comprends tout à faitLe problème, c'est qu'on ne parle pas de la même choseQuand on n'est pas au haut niveau, on a quand même le droit de dire qu'on n'aime pas rouler sous la pluie sans s'entendre dire "il faut changer de sport" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard PIGUET Posté le 12 octobre 2014 Share Posté le 12 octobre 2014 Dur et sévère ? Peut-être, mais c'est fait je suis puni, je l'ai pris ce matin, il m'a manqué 1/2 heure.Alors pas content, car il est vrai que l'on ne choisit pas de rouler sous la pluie, personnellement je ne me suis jamais entra^né volontairement sous l'eau. Quand j'évoque haut niveau, c'est en cyclosport bien sûr, d'ailleurs il n'y a que là qu'il existe. Alors sachez que quand on a fait 21 LYON - Mont BLANC - LYON ( la CS la + dure du calendrier), et 16 CLERMONT-AURILLAC-CLERMONT, il est difficile de passer entre les gouttes, et des souvenirs restent. Alors les CS d'un jour il faut bien les passer, même une Marmotte, j'ai le souvenir qu'une année nos socquettes n'étaient déjà plus blanches après la petite descente du barrage d'Allemont. Et justement ce sont des sujets qui reviennent sur ce forum. A l'arrivée une fois douchés on revennaient sur la ligne d'arrivée boire un panaché bien mérité, pour voir les suivants arriver. Et surprise ce jour là des soldats arrivaient impéccables tout propres, et l'on s'étaient dit que les voitures suiveuses jouaient un rôle non négligeable.Voilà, et puisque l'on fouille dans les souvenirs, une année à objectifs j'avais décidé de mettre le BRA dans mon programme, faisant donc le déplacement à Grenoble. Et là loin d'être beau, je suis monté jusqu'à Rochetaillée, puis je me suis dit que ce ne serait pas un plaisir, qui reste quand même notre motivation première, et je suis redescendu au départ. Et les échos ont même confirmés des flocons au Galibier, et la pluie sur tous les cols. Donc j'avais vu juste, et pas regretté, car l'entraînement en question aurait été négatif, car les descentes sont très longues et quand on est trempé....Donc, pas question de polémiquer, mais restez conscients que le vélo est une activité de plein air avec tout ce que cela suppose. C'est ce qui fait toute sa valeur et qualifie ses adeptes de VRAIS SPORTIFS. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge NAVETAT Posté le 12 octobre 2014 Share Posté le 12 octobre 2014 Idem pour moi j'ai 54 plombes, avant 45 ans je roulais sous la flotte sans problème et avec l'age je suis devenu plus précautionneux on va dire, je ne roule plus du tout sous la flotte au printemps mais il m'arrive parfois en été de partir quand le temps est nuageux et de prendre une bonne averse orageuse en cours de route et ça rafraîchi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Laurent GHIBLI Posté le 15 octobre 2014 Share Posté le 15 octobre 2014 Habitant dans une contree très pluvieuse, le sujet est pour moi surreel: mes entrainements perso se font sous la pluie très souvent, les entrainements où j'ai les minimes ou les cadets se font indifferemment qu'il pleuve ou qu'il vente, je pense qu'on voit des gouttes une fois sur deux. La pluie ne m'influence pas non plus pour prendre le depart d'une course/cyclo mais je ne veux pas jouer le guerrier car je parle d'entrainements club qui durent de 2h à 2h1/2. Si j'ai une sortie longue de 4h ou 5h au planning et qu'il pleut à verse je m'adapte et sors soit 2h soit 2X2h pour ne pas tomber malade.C'est le materiel qui souffre le plus dans l'histoire, mes chaines font 2000km, mes pneus en font moins et je change mes roulements UT 2 fois l'an. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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