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Prostatie chronique


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Conseil, je ne sais pas trop, mais peut-être une raison d'espérer.

Quand j'ai repris le vélo après d'innombrables années d'arrêt, j'avais mal partout, y compris là... J'ai fait les ajustements nécessaires jusqu'a me sentir bien pour le dos, les jambes. Mais le fondement, ça n'allait toujours pas. Et en fait, ça s'est arrangé quand je me suis fait un physique de sportif. 

Je pense qu'au début, j'ai tellement subit que je me suis détruit le cul. Quand on prend des cuisses, on amortit les cahots sans y penser. Sauf qu'avant d'avoir des muscles, on se prend tous les chocs. Ca vaut ce que ça vaut comme explication, mais depuis, je n'ai plus jamais eu de problème à la selle.

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Merci pour ton retour, depuis que j'ai repris le vélo en février je me sens bien physiquement, avec les copains nous faisons régulierement des sorties de 80 km voir 100 avec des moyennes entre 26 et 28. Je supporte facilement les 4 heures de selle. J'ai 51 ans 1M78 pour 65 kg mais voila au bout de quelques mois systématiquement je rechute. Certains uroloques mettent ça sur le compte du vélo et d'autres ne savent pas.

Alors si certains on des pistes pour traiter ce mal je suis preneur.

 

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Je ne veux pas faire l'expert, mais ça me semble peu pour l'analyse qu'on fait avec "Benoit". Ce n'est pas un jugement de valeur, hein, mais pour l'exemple que je prenais, je pense que tu n'as pas "les cuisses" pour amortir tous ces micro-chocs qu'on encaisse sur le vélo. Et là, en l'absence de jambes, c'est le cul qui prend.

Je dirais qu'en plus des essais de selle ou de position, ça vaut le coup que tu te donnes encore du temps et des km pour voir si c'est vraiment ta prostate qui déconne. 3500 bornes par an, je viens de calculer, c'est 67 km par semaine. C'est peu pour avoir un vrai physique et suffisamment pour avoir mal. Ca vaut peut-être le coup de progressivement passer à la vitesse supérieure.

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Dans le titre, tu as voulu dire "prostatite", je suppose. Cette prostatite était-elle infectieuse (fièvre, urines chargées, etc) et a-t-elle été traitée comme telle ?

Pour s'en débarrasser, il faut un minimum de trois à quatre semaines d'antibiotiques. Sans ce minimum, rechute garantie.

 

 

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Tout à fait, par contre j'en ai fait 3 en 10 ans, je n'ai jamais eu de fièvre et mes analyses ont toujours été négatives néanmoins l'urologue m'avait donné des antibios et des anti-inflammatoires.

Aujourd'hui je ressens une gène, je fais une petite cure d'anti-inflammatoire à titre préventif, si jamais ça se dégrade j'irai consulté mais je connais déja la réponse ( Monsieur c'est le vélo il faut arrêter) alors c'est pour cela que j'ai ouvert un post et je voulais savoir comment traiter ce problème pour ceux qui ont le même chose que moi.

merci

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J'ai peut-être l'air d'insister, mais quand je vois le niveau qu'a atteint ton problème, je pense qu'il faut vraiment que tu essaies la selle Proust (ou une autre selle sans bec de selle). Ça me paraît la seule solution restante. Si ça ne marche pas, alors tu sauras au moins que ton problème n'a rien à voir avec le vélo.

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Je pars du principe que c'est une prostatite que tu as. Si elle résiste à la selle Proust, qui est quand même censée supprimer la cause de prostatite sur le vélo (le bec de selle), c'est que cette prostatite a une autre origine.

Maintenant, s'il y a erreur de diagnostic et s'il s'agit d'une névralgie pudendale, là c'est autre chose. Si la selle Proust s'avère inefficace pour cela, il faudra arrêter le vélo droit, et envisage le vélo couché, pourquoi pas!

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