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S'il est resté 20 borne avec toi en CAP, c'est déjà qu'il est au moins aussi costaud que toi a moins d'un gros mistral et qu'il trotte sur tes baskets. J'avoue que ce reflexe d'abri par grand vent je le garde toujours du vélo.

Mais une experience sur un semi avec tramontane solide...Retour a l'abri d'un groupe sur la Grande Motte pendant 6ou7 bornes, j'ai explosé quand, au dernier kilo, on est rentré dans les immeubles a l'abri du vent. Trente minutes a l'abri dans un groupe de cyclistes, la donne n'aurait pas été la même.

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En fond en demi-fond, c'est exacte, d'ailleurs certains en font leurs choux gras et ne remportent des titres qu'en fonction de cette manière de courir. Maintenant, ce n'est pas profiter, le terme qui me vient à l'esprit car comme tu le sais Jacques, ceux qui ne désirent pas être sautés au terme de l'ultime ligne droite adoptent un train soutenu, tout au long de la course, qui ne permettra pas aux finisseurs de produire leur effort terminal. 😉 (je referme la parenthèse) J'avais envie de te saluer !

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Non, c'est à peine caricaturé ! Sebastian Coe, Steve Ovett et Steve Craam, les trois mousquetaires, alliaient les deux avec le même bonheur à l'image d'un Peter Snell à Tokyo. La période bénie où Ron Clarke, Jim Ryun ou Michel Jazy voir Harald Norpoth, ceux qui m'ont fait aimé l'"Athlé", sévissaient !😉

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Les coureurs (CAP) au train battent les records, mais quand ils s'accordent a battre un record, ils exploitent un certain nombres de lièvres, donc mentalement ça doit aider.

En vélo ce genre de record ne peut pas exister

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Norpoth, c'est un mauvais souvenir pour moi, quand il fut de ceux qui privèrent Jazy d'une médaille à Tokyo. À 11 ans, j'avais suivi la course sur mon "transistor" (par de retransmission TV en 1964) et avait pleuré à la fin.
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Joyeux Noël à toi et tous tes proches Michel. Je dois être maso, je n'ai pas pu m'empêcher de regarder ces images....Sinon, je ne suis pas né en 1953, j'ai eu 63 ans....hier ! Je pense donc être ton aîné et tu me dois le respect.
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nous devrions bien nous entendre côté larmes a l'oeil , étant un peu plus vieux que toi j'avais déjà donné sur le 1500m en 1960 (2) et puis l'immense déception en 1964 (4) et bien sur l'oreille collé sur le transistor...

 nous fûmes néanmoins récompensé par Boxberger au jeux de Mexico (6) a 20 ans quel élégante foulée ...les yeux rivés sur le poste de télé (N/B) cette fois.

 

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Soit, alors Joyeux anniversaire, par la même occasion ! Je me souviens qu'à l'époque les journalistes affirmaient (A juste titre d'ailleurs) que Michel avait été desservi par la piste en cendrée gorgée d'eau qui, bien évidemment, ne favorisait nullement les démarrages aux 250 mètres peu ou prou comme ce fut le cas pour le coureur du CA Montreuil ! En 60 à Rome, Jazy n'était pas favori face à Elliot, il fait 2 mais termine assez loin du Wallaby. Il faut se souvenir qu'à l'aube des "sixties" les athlètes des Antipodes (Australie et Nouvelle Zélande) dominaient fond et demi fond. Quant à Jacky, il n'a jamais concrétisé les espoirs entrevues du côté de Mexico. Cela me rappelle les soirées "records" de St Maur le mercredi soir à la télé avec les Michel Jazy, Michel Bernard, Jean Wadoux, Jean Fayolle et autre Guy Texereau (Steeple). La France des Piquemal, Delecour, Bergé et Bambuck adorait alors l'athlétisme. 😉





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