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Il Ă©tait capable du meilleur comme du pire, et c'est vrai qu'il avait la classe sur un vĂ©lo, mais je pense que la presse l'a tuĂ© en faisant un successeur de Merckx! Je me souviens d'une Ă©tape du tour de france oĂč il avait mis plus de 20 min au peloton et le lendemain il avait perdu plus du double, mais je l'aimais bien car il Ă©tait bien posĂ© sur sa machine!

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Emile,

Un coureur trÚs élégant en machine. Pro de 1979 à 1990. Un Flamand qui préférait les parcours vallonnés aux pavés. Vainqueur notamment du Tour de Lombardie et du Trophée Baracchi en 1980, puis de Milan San Remo en 1981. Coureur assez désinvolte. En 1985 il se présente avec 5 minutes de retard au départ du prologue du TDF, arrive hors délai et est renvoyé à la maison. Aussi un succÚs fou avec les filles ....

 

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Un de mes premiers souvenirs de vĂ©lo, c'est sa victoire d'Ă©tape dans le Tour de France 1984, celle justement oĂč il avait relĂ©guĂ© le reste du peloton Ă  plus d'un quart d'heure, 17 minutes et des poussiĂšres si je me rappelle bien.





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