Que ce monde devient triste surtout depuis l'avénement de ces barjots d'écolos. Elu ,prenant possession de son bureau,un maire se pose tout de suite la question: Que vais-je apporter, offrir à mes administrés, bâtir pour eux? Elu,prenant possession de son bureau, un maire écologiste se pose de suite la question: que vais-je interdire? A Bordeaux, j'interdis le sapin de noel et à Rennes le passage du Tour de France.A lyon ,j'interdis à la patrouille de France de survoler la ville. Et moi,que puis-je interdire, se lamente ,la maire de poitier,en retard sur ses camarades,J'ai trouvé s'écrie-t-elle! je vais sucrer les subventions allouées aux aéroclubs de la ville,et clouer au sol les coucous.Ce faisant,elle cloue au sol les rêves d'envol des enfants.On lui fait remarquer,et madame le maire s'agasse,de trépigner,de bouillir;de se mordre les lèvres,avant de lâcher:"L'aérien ne doit plus faire partie des rêves d'enfants". On regardait les écolos avec un sourire amusé: n'étaient-ils pas des naïfs,peace and love,tongs and C°,plus" adidash" qu'adidas? on se trompait:Ce sont des gardiens de camps.De camps de réeducation.On les croyait amis des animaux,des chiens ,des chats,:On les découvre plus Mao que miaou.Ce sont des nettoyeurs. Ils veulent nettoyer la tête des gosses, mettre de l'ordre dans le désordre merveilleux de leurs rêves. La planète se réchauffe. Les écolos, eux font froid dans le dos Michaël Schär,coupable d'avoir jeté son bidon vide sur le bord de la route.Un bidon qui a fait,on l'imagine ,le bonheur du môme qui l'aura récupéré. Comme dirait madame Moncond'hui:" Le plastique ne doit plus faire partie des rêves d'enfants". Je me souviens d'avoir recueilli, gamin, dans les lacets du col d'Aspin,le bidon de robert Cazala.Cazala que je salue bien bas Chronique "Percolateur" de Christian Laborde ,chantre du cyclisme haut Pyrénéen