Aller au contenu

Jean-Christophe AUDARD

Membre
  • Compteur de contenus

    461
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Jean-Christophe AUDARD

  1. Merci pour les infos Jean, mais je suis pas trop un sprinteur moi ;-) plutôt un grimpeur. C'est vrai que les Peter Sagan, Cadel Evans, Philippe Gilbert ont tous des cintres "classiques" tandis que les A.Contador, V.Niballi,...ont plutôt des cintres compact. A++ JC
  2. Sur vos conseils, je vais opter pour un compact comme j'en ai l'habitude, je préfère rester sur une forme/hauteur que je connais bien car à bientôt 42 ans, je ne préfère pas tenter le diable ;-) A++ JC
  3. Salut Michel, C'est la version 2015 du SuperSix Evo. Toi tu ne garderais pas ce genre de cintre donc ? A++ JC
  4. Voilà le vélo et le cintre : http://www.culturevelo.com/Super-Six-EVO-Hi-MOD-RED-RACING
  5. Bonjour, J'envisage d'acheter un vélo équipé par défaut d'un cintre classique "Shallow drop", il me semble plus adapté aux "coursiers" qu'aux cyclosportifs comme moi. Aujourd'hui j'ai l'habitude de rouler avec un cintre "compact". Sachant que je fais beaucoup de montagne, cols, pensez-vous que ce type de cintre peut-être problématique, ou qu'il peut convenir à toutes les pratiques et pas uniquement aux coursiers. Je pense que le cintre est plus bas qu'un cintre compact classique non ? La position est-elle moins confortable qu'un compact sur des sorties longue distance (150-200 kms) ? Merci d'avance pour vos conseils, JC
  6. Non je trafique pas trop ma potence car j'ai pas de clés dynamométriques à la maison..., il faudra que je m'en achète un de ces jours...je verrai avec mon vélociste le jour où j'achète un nouveau vélo s'il me conseille toujours un 54 ou plutôt un 52. Merci pour tes conseils Seb ! A++ JC
  7. Mon vélociste à l'époque (2011) m'avait conseillé le 54 car je fais parfois des sorties longue distance aussi, genre 200 voire 300 kms. Il est vrai que j'ai des bagues sous le cintre, donc passer sur un 52 serait encore pire non ? A++ JC
  8. Ma taille : 1m74 Mon EJ : 81,5 cm Ma hauteur de selle : 72 à 72,5 cm Mon cadre SuperSix sur lequel je roule depuis 4 ans est un 54.
  9. Salut Seb, Moi j'ai un 54 et je mesure 1m74 pour 82cm EJ il me semble. Trop grand mon cadre ?? A++ JC
  10. Et pour les SuperSix EVO : https://www.facebook.com/media/set/?set=a.680320068703253.1073742107.319977664737497&type=1
  11. Salut Jean-Claude, Tu veux dire que tu as cherché mon dossard 612 dans le sas 0 et que tu ne m'as pas trouvé ? Bon vélo à toi aussi ! JC
  12. Mon CR : Dés 6h10, je quitte l'appartement pour rejoindre mon sas de départ n°0 sur la place centrale de Verdun à Pau. Il commence déjà à s'entasser un certain nombre de coureurs, tout a l'heure il y aura plus de 10.000 cyclos ici sur une même place vidée pour l'occasion, incroyable ! Le temps est très nuageux et menaçant mais il ne pleut pas pour l'instant. Arrivé à 6h20 dans mon sas, mon ami Patrick me rejoint environ 10 minutes plus tard, il a pu retrouver dans la foule mon dossard n°612 :-) Le départ est donné comme prévu à 7h, et ça part devant comme des avions dans les rues de Pau ! Les routes sont sèches pour le moment, espérons que ça dure...Je m'accroche pour rester dans les roues,quitte à faire grimper le cardio assez haut, Patrick ne cherche pas à suivre ce rythme de dingue pour un départ...il a raison...car après quelques kilomètres le peloton déjà bien étiré est obligé de ralentir considérablement au passage de zones étroites ou dangereuses dans les villages. Je me retrouve donc à nouveau avec mon ami Patrick dans le peloton de tête très volumineux. Le rythme accélère à nouveau et mon compteur indique plus de 45 km/h... Un peu plus loin un chat traverse brusquement la route, manquant de faire tomber Patrick et je suis surpris moi aussi par les brusques écarts des coureurs devant moi, première frayeur aujourd'hui ! Au kilomètre 27, peu avant la côte de Bénéjacq, alors que nous roulons assez vite, nous passons sur un dos d'âne et je perds mon bidon arrière...grosse galère...! Je ne peux traverser la route pour le récupérer tellement il y a de coureurs dans le peloton, et suis obligé de laisser passer tous les coureurs avant de retourner en arrière pour le récupérer. Un autre cyclo a perdu lui aussi son bidon au même endroit. Nous voyons le peloton filer au loin et nous nous retrouvons rapidement seuls tous les deux avec aucun autre groupe à l'arrière pour pouvoir s'y raccrocher... Pas le choix, il va falloir faire un gros effort à deux pour essayer de revenir sur une partie de notre peloton. Heureusement pour nous, la côte de Bénéjacq à seulement 2 ou 3 kilomètres devrait faire quelques écarts et nous pourrons sans doute y rattraper quelques lachés pour reformer un groupe. Et dire qu'il reste encore près de 50 kms à parcourir en terrain "vallonné" avant d'atteindre le pied du col du Tourmalet ! Pas un terrain à laisser un grimpeur de 62 kgs tout seul sans groupe où se cacher ;-) ;-) ! Je prends donc des relais très appuyés avec l'autre coureur, et comme prévu nous arrivons à rattraper quelques cyclos dans la côte de Bénéjacq. Petit à petit, nous reformons un petit peloton qui grossit au fur et à mesure des kilomètres. Au loin nous pouvons aperçevoir, environ 2 minutes devant nous, le peloton initial où se trouve sans doute Patrick. C'est donc 2 minutes perdues pour ce fichu bidon,mais surtout pour moi quelques "cartouches" qui risquent de me manquer dans la montée finale d'Hautacam...tant pis, il faudra faire avec ! Nous poursuivons la route via les villages de Pontacq, Ossun, Lanne, Bénac, Orincles, puis abordons la côte de Loucrup au kilomètre 56, une belle côte qui use, mais pas assez longue pour faire des écarts et nous permettre de rattraper certains du peloton de devant. Nous rejoignons maintenant Bagnères de Bigorre, puis traversons Campan et arrivons à Ste Marie de Campan, au pied du Tourmalet, après déjà 80 kms et 1200m D+ depuis Pau. La moyenne au compteur est d'environ 33,5 km/h. Au pied du Tourmalet, j'ai environ 1min30 de retard sur Patrick qui se trouve toujours dans le peloton où nous étions au départ. Mon peloton aborde les premiers kilomètres du col, pourtant peu pentus jusqu'à Gripp, sur un rythme insuffisant selon moi, et je préfère donc partir seul à l'avant pour essayer de rejoindre Patrick sur cette première grosse ascension. Déjà les routes sont détrempées et je me retrouve rapidement dans une brume humide, puis il se met à bruiner. Je grimpe sans trop savoir où je me situe car on n'y voit pas à 30 mètres avec ce brouillard..Je double un certain nombre de cyclos dans la montée jusqu'à La Mongie, mais toujours pas de Patrick à l'horizon...il faut dire que la visibilité est nulle donc l'horizon se limite à 50m ;-) A la Mongie, je fais une halte à 5 kms du sommet du Tourmalet pour faire le plein de coca-cola au ravito. C'est sans doute ici que je double Patrick sans le savoir, car lui aussi fait une halte au même ravito, mais la visibilité est si faible que nous devons nous croiser sans même nous en rendre compte ! Je poursuis ma grimpée "au cardio" jusqu'au sommet, calé à environ 168 puls/min, il pleut de plus en plus...ça promet pour la descente ! Un spectateur m'indique que je suis en position 196...mais un coureur derrière moi me dit : "t'inquiètes, si t'es en forme dans Hautacam...tu en récupères 100 !"...sans doute un cyclo du coin qui connait bien la difficulté de la dernière ascension ! Au sommet du Tourmalet, il doit faire environ 7-8°C, mais avec l'humidité...glaglagla ! J'ai monté les 17 kms du Tourmalet en un 1h11, malgré la pause ravito à la Mongie. Malgré les conditions météo exécrables et glaciales, je ne prends pas le temps de mettre ma veste de pluie que j'ai pourtant avec moi, je me contente de remonter mes manchettes et me lance prudemment dans la descente. J'imagine que Patrick est encore devant moi alors qu'en fait il est sans doute juste quelques centaines de mètres derrière. Je sais que les premiers lacets sont dangereux, et sur cette route toute trempée et sans visibilité je ne prends aucun risque. Patrick, lui, malgré beaucoup de prudence comme moi, chute au premier lacet tellement la route est glissante, heureusement sans gravité. Il peut remonter de suite sur le vélo et poursuivre sa course. Un peu plus loin dans la descente, lorsque les routes sont moins sinueuses, je prends de la vitesse, mais je suis vraiment glacé avec cette humidité et ce froid, heureusement que la température ne descend pas trop bas... Apès 19 kilomètres de descente glaciale, j'arrive enfin à Luz Saint Sauveur, une délivrance ! Je suis acclamé au centre du village à mon passage, vraiment un bel accueil ici :-) Je poursuis la route en solo en direction d'Argelès-Gazost via les gorges du Luz. Les routes sont trempées ici aussi mais il ne pleut plus. Encore 14 kms à parcourir pour arriver au pied de la dernière ascension. Après quelques kilomètres de faux-plats, un coureur me rejoint par l'arrière. Un peu plus tard, deux autres coureurs anglais semble-t-il nous doublent comme des avions et nous incitent à former un groupe. Nous prenons chacun notre tour des relais appuyés à plus de 40 km/h jusqu'au pied de la dernière ascension, ce qui permet de remonter nettement la moyenne après une descente du Tourmalet plutôt "bridée" par ces conditions météos ! Cela permet aussi de "sécher" car après la descente du Tourmalet j'étais vraiment trempé ! Au pied d'Hautacam, j'ai environ 29,8 km/h de moyenne au compteur. Je me demande bien où est Patrick car je ne l'ai toujours pas revu depuis le kilomètre 27 ! Il est toujours juste derrière moi, sans doute à moins d'un kilomètre, mais je ne le sais pas, drôles de conditions de course ;-) Il reste maintenant à "finir le travail" avec cette belle montée de 13,2 kms à 8% de pente moyenne ! Il y a une foule dingue ici pour nous encourager sur cette dernière grimpée, surtout sur les deux premiers kilomètres, vraiment sympa ! Avant d'attaquer l'ascension,je m'arrête une nouvelle fois au ravito du pied pour refaire le plein des gourdes, on ne sait jamais ;-) Je laisse donc filer mes trois compagnons de route depuis Luz Saint Sauveur, que je rattrape ensuite au fur et à mesure que la route s'élève. Je ne me sens pas trop mal sur cette grimpée, si je compare à l'an passé sur la montée finale du Semnoz. Mais il faut dire qu'il fait bien moins chaud aujourd'hui, et ces températures me conviennent bien. Après quelques kms, un spectateur m'indique que je suis en position 145. Malgré les rampes très raides à certains endroits, les jambes répondent bien et mon allure est correcte. Je double sans trop m'en rendre compte un certain nombre de participants, y compris celui avec qui j'étais après la Mongie et qui semblait bien connaître cette ascension. Je sais que les deux derniers kilomètres seront moins pentus, aux environs de 6%, cela permet de garder le moral dans les passages très dûrs à 11,5% ! Mon cardio est toujours au même rythme aujourd'hui, aux alentours de 168-170 puls, et je "gère" donc, comme j'en ai l'habitude sur les longues sorties montagne. J'arrive au sommet vers 12h36 puisque le panneau d'affichage "Finishers" indique un temps de 5h36min officiel (temps puce "réel" : 5h32), et une position de 109 ème finisher sur la ligne. Classement final "au réel" après l'arrivée de tous les participants : 112 ème et 14ème/1515 de ma catégorie 40-44 ans. Je suis content de ce résultat car c'était bien mal parti au départ avec cette perte de bidon... Et pour la météo ma fois ça aurait pu être pire...(je pense notamment à Issoire-St Flour en 2011 pour ceux qui ont connu...), seul le Tourmalet a été vraiment galère à passer. ça restera quand même un super souvenir... http://colsavelo.over-blog.com/2014/07/l-etape-du-tour-2014-pau-hautacam-froide-et-humide.html JC
  13. Tu penses que le BMC SLR 01 est mieux qu'un Wilier Zero7 pour des cyclosportifs orientés "montagne" ? Car j'hésite justement entre les deux et avec le Cannondale Evo... Merci pour tes retours, JC
  14. dans un raidard de 11 bornes à 10% comme le Relais du Chat, le moindre gramme a une incidence ;-) Mais il est vrai que ça ne change pas grand chose non plus..
  15. Aucune deuxième couleur pour le Evo Racing, seulement une couleur :-(
  16. Merci beaucoup pour ces infos précises. Donc 25g ou 45gr peu importe du moment que ce n'est pas 100g :-) A++ JC
  17. Non Frédéric, voir ma réponse précédente. De plus ce n'est pas que le look, le freinage est aussi plus efficace, notamment sur routes mouillées.
  18. Je n'ai pas de roues carbone, c'est juste le look de ces nouvelles roues Shamal Mille ou Fulcrum ... que je trouve superbe en noir. Elles ressemblent à mes RSYS SLR à freinage Exalith de chez Mavic.
  19. Merci Frédéric pour ta réponse précise. Pour les corps Shimano, vaut-il mieux les Fulcrum R0 par rapport aux Shamal ? J'ai vu sur un journal que Fulcrum allait aussi sortir une jante noire R0 compatible patins carbone comme les Shamal Mille, mais je n'arrive pas à les trouver sur le***, je ne trouve pas leur nom. JC
×
×
  • Créer...