Christian GILLON

moi non plus je n'ai jamais roulé de nuit, mais ce qui me fascine c'est de pouvoir l'envisager.....je m'imagine mal tenter d'aller au bout ça elève du délire total en ce qui me concerne

vendredi soir pour le briefing c'est en effet le seul endroit où je risque de voir les autres participants😛 une fois le départ donné je ne vous verrai plus que de dos, ou alors comme tu le dis, on se croisera: vous dans la descente, moi dans la montée.....

Bien vu! j'avais compris que Pontis était avant St jean, ce qui pouvait sembler pertinent vu la configuration de la vallée. Ceci étant , même si à cause de toi je regarde ma carte routire différement, le problème reste entier. A supposer que j'arrive au pied de St Jean il faut y grimper.....et en redescendant comment résister au coup de guidon à gauche pour le 7ème.... ça y est, quand je disais que j'étais en plein délire 😛 je suis même pas sur d'en faire quatre et me voilà à réver du 7ème 🙄....c'est le Mal des montagnes qui commence 😆

je me suis laissé dire qu'avant le pid de St Jean il y avait une petite formalité qui s'appelle Pontis....😉 et puis c'est pas tout d'être au pied de St Jean , il faut arriver en haut et ensuite se refaire toute la vallée en sens inverse pour revenir à la Case Départ.... D'ailleurs une question m'interpelle: si c'est pour revenir à Barcelo, pourquoi en partir à 5h30 le matin , alors qu'on serait si bien sous la couette😛

c'est bien la magie du DFU qui me fait réver de 7 cols. mais la sagesse et le réalisme me rappelle que mon record perso à ce jour est de 160 km pour un dénivelé de3000m. c'est pourquoi je me dis que 4 ou 5 cols c'est jouable, mais au delà......

Encore faut il arriver a grimper dans la tranche horaire 😉 pour moi, si je connais déja La Bonette coté Saint Etienne je vais la découvrir coté Jausiers, de même que je vais découvrir les autres cols... J'y vais tout seul et je connais mon niveau. Si j'arrive à 4 cols je serai content, à 5 cols je fais des bonds (si mes cuisses le permettent encore.... réver des 7 cols c'est de la folie en ce qui me concerne, ou alors il faut que je change de dealer 😛 au fond de moi il y a une petite voix qui me dit: " et si tu prévoyais quand même un éclairage" et la voix de la raison qui répond "pourquoi s'alourdir pour rien" je crois que les "grands maitres" je les verai depuis le bord de la route

le DFU j'y serai, mais je suis conscient je ne ferai pas les 7 cols mon objectif c'est 4 avec un rève à 5 cols.🙄 je ne suis pas sur d'avoir assez de souffle à l'arrivée pour souffler des bougies 😛 si tu y es je te verrai probablement de dos 😄 Je crois par contre que tu commets une erreur, je pense que la route n'est pas fermée pour le DFU. c'est dans le courant de l'été que certains cols de l'Ubaye sont fermés une demie journée pour les laisser aux cyclos (à vérifier cependant)

Si tu avais pris le temps de lire les quelques messages que je me suis permis de laisser sur le forum tu te serais rendu compte que je suis loin de me prendre pour un cador donneur de leçon, bien au contraire. Je sais parfaitement que je suis un petit, un obscur, un sans grade (reportes toi à mon profil et tu comprendras). Pour moi parvenir en haut d'un col est un exploit en soi et je me contre fous qu'il y ait une palanquée de gars (à qui je dis bonjour quand ils me passent et qui me répondent souvent) qui m'ait laissé sur place dans la montée... J'avoue cependant que dans les rares occasions ou j'arrive à rattraper quelqu'un, je suis content d'arriver à le gratter (en le saluant d'un mot) Je mets du temps à arriver en haut mais je m'amuse et me fais plaisir. Une fois au sommet je regarde le col d'aprés et je me dis "on y va?...." J'avoue passer des heures à inspecter les cartes routières en supputant les dénivelés. Je me maudis d'y être allé quand je suis dans les montées mais j'ai la banane en arrivant ... Tu montes certainement plus vite que moi (ce qui en soi n'est pas un exploit) mais j'aimerai être certain que, sur ton vélo fusée, tu t'amuses plus que moi, qui n'ai que la prétention d'être le dernier du peloton mais qui roule quand même ne t"en déplaise .

Honte à moi!!!!!! j'ai un triple plateau avec un 30 et j'ai commis un sacrilége! j'ai eu l'audace d'affronter des cols avec un 30x25, excusez moi je ferai plus, promis juré, croix de bois croix de fer (oups !!!! j'ai osé citer le nom d'un col sans y avoir droit, je mérite le fouet!) Que les grands maîtres divins du cyclisme, dont tu fais partie, daignent pardonner aux ignobles vermisseaux comme moi d'oser souiller leurs routes. Si un jour j'ai le privilége d'être dépassé par toi et le temps de m'en rendre compte, ce dont je doute vue ta célérité, je ne manquerai pas d'implorer ton indulgence et de te marquer toute ma vénération. Continues d'avoir ce bon esprit sportif et tu sera bientot Champion du Monde de ton quartier. Bonne route quand même, et profites en pour lever les yeux au dessus de ton guidon. Tu te rendras peut être compte que le vélo ça n'est pas que des pseudos performances de types qui se prennent pour des champions mais qu'il peut y avoir du plaisir pour toutes les catégories

y a pas à dire le vélo c'est dur....mais c'est tellement sympa de lire des récits comme le tien. bravo et bonne (prochaine) route

j'ai jamais fait le Ventoux, mais j'en rève régulièrement.... ou plutot je viens de le faire sur ton porte bagage. merci de ce récit qui m'a permis de monter avec toi, bravo et peut être à bientot là haut...

pose la question dans la case, tu auras peut être la réponse 😉 ceci étant dit c'est vrai que toutes mes rtentatives pour une utilisation de cette case "recherche" sont demeurées vaines

2.600 km pour un tour de circuit ça parait énorme....😆 je présume que tu voulais dire 2,600 km 😛 ton doigt a surement fourché à cause de la fébrilité du débutant....😉 je ne suis pas coureur, loin de là, en conséquence ne comptes pas sur moi pour un conseil, mais je comprends parfaitement tes angoisses, j'ai les mêmes quand je m'inscrit à une cyclosportive aussi modeste soit elle... je ne peux que te souhaiter bonne chance et te dire un M.... tontitruant! courage et racontes nous comment ça s'est passé

merci de faire partager ta science et ton art au modeste "touriste routier " que je suis, moi qui n'hésite pas à avoir recours au triple plateau (mais il ne faut pas l'ébruiter) bon courage pour ta prochaine réalisation

bravo pour le travail. 2 questions me turlupinent et je me permets de te les poser. 1) une question "perso" depuis longtemps je vois les bécannes que turestaures apparaitre régulièrement sur le forum. mais tu les trouves où? y compris les pièces détachées... tu finances ça comment ? as tu créé un musée? tu en fais quoi de tous ces vélos? 2) une question technique. Je savais qu'au temps glorieux pour changer de vitesse on "tournait la roue" un pignon distinct étant de chaque coté, mais là je découvre 3 pignons d'un coté et un de l'autre, alors on fait comment docteur? peux tu m'expliquer ce mystère? merci d'avance et bon courage pour ta prochaine prouesse

et si pour éviter toute difficulté tu choisissais un triple (voila qui va lancer un vaste débat)....

bravo pour le choix de vélo ! le mien est tout blanc et a 1000 km au compteur j'en suis trés content ses roues : des ksyrium elite. rien à redire je l'ai eu en triple 105 pour 2400 €

malheureux, ne fais surtout pas ce que tu envisages, fuis ce forum , fuis le vélo, oublies tout ou tu ne t'en sortiras pas.... comme toi et beaucoup d'autres je me suis posé la question il y a quelques années, j'ai craqué et maintenant je passe mes weekend à m'user le c.. sur une selle! le vélo c'est une drogue! on commence par des petits trajets et on allonge, on allonge.....à force d'allonger on finit bien par trouver une montagne et alors on croit intelligent de monter à son sommet rien que pour le plaisir d'en redescendre tout fier.... je comprends ton souci avant de savoir si tu es accro tu veux pas trop dépenser pour ta première dose, on est tous passé par là. mon avis commence par un vélo "ordinaire" (moi j'avais opté pour un spego 120 de go sport) et moque toi des conseilleurs qui te suggéreront tels ou tels cadres en truc machin avec des roues qui tournent toutes seules et des braquets qui grimpent comme des fusées. commence à ton rythme et tu auras largement le temps si tu craques pour la petite reine d'améliorer le matos, pense qu'il faut rajouter les chaussures , le cuissard, le casque etc... ça finit par faire des sous tout ça, mais tu l'utiliseras longtemps. la grande surface de sport ça peur être un bon coup (j'ai commencé par là) mais maintenant je fais confiance à mon vélociste de quartier (sympa et de bon conseil) le problème de la grande surface c'est si tu n'y connais rien pour les petites réparations et entretien courant l'idéal un copain qui puisse t'aider et te conseiller. tout dépend ensuite de tes envies mais si tu pense craquer je serai plus vélo route que VTC, qui sera plus lourd et telimiteras dans tes sorties (si tu envisages des sorties en sous bois c'est différent, fais gaffe tu peux même tomber dans le VTT... bref , tu n'as pas fini d'en ch... bienvenue au club de ceux qui révent de beaux vélos sur des jolies routes ensoleillées

waooouuuuuh!......merci à tous pour votre soutien! si j'avais su que j'avais tant de supporters j'aurai pédalé plus vite, pour ne pas les décevoir. non, je rigole, plus vite j'aurai pas pu.... promis je penserai à vous tous la prochaine fois. bonne route à tous. PS: pour la Lazarides j'ai choisi le grand parcours

Vous vous en foutez certainement , et vous avez bien raison, mais ce weekend un double record a été battu. Personne n’en a parlé (les journalistes ne sont plus ce qu’ils ont étés), ça c’est passé dans l’indifférence générale mais pour moi c’était hyper important. Il y a un an je vous ai raconté ma première cyclo (je sais ce n’est qu’un brevet UFOLEP et pas un grand cirque qui mobilise les foules et fait les premières pages) : la Louis Caput organisée par le club de Villeneuve Loubet. J’avais mis les doigts dans l’engrenage et ça ne s’est pas amélioré. Mon objectif cette année : le grand parcours. 150 bornes et 2800 m de dénivelé. Je sais vous êtes déjà en train de rigoler en vous disant qu’est ce qu’il vient nous casser les pieds avec cette « sortie pour rigolos », pensez simplement que lorsque vous pédalez en sifflotant devant, il y en a qui rament derrière. Moi ça faisait une semaine que je comptais les kilomètres et supputait les temps de passage. C’est pas tout de finir, si à l’arrivée il n’y a plus qu’un balayeur municipal qui se demande ce que fait le pingouin habillé en cycliste, ça ne le fait pas trop. Alors régulièrement je comptais et recomptais en me demandant si …..La veille au soir j’avais le trac comme pour un oral du bac, est ce que j’allais m’en sortir ? Samedi matin, réveil, le temps est au beau fixe. C’est un coup de chance l’année dernière on avait fini sous la rincée. Un peu de vent m’inquiète, mais j’espère qu’Eole va avoir la bonne idée d’aller se coucher. 7h30 , les chevaux sont sous les ordres ; on peut plus reculer quand faut y aller……je regarde à gauche et droite avec un air assuré mais je peux pas m’empêcher de penser à ce que je vais faire quand les 250 participants m’auront lâché. Un coup de sifflet et c’est parti. Ça fait du monde tout ces vélos. Si certains caracolent en tête, moi je me cale dans un groupe. J ai repéré deux gars qui semblent avoir mon âge et gabarit, ils vont me servir de mètre- étalon. Le peloton s’étire et on arrive à Vence sans problème, on attaque la montée du col. Une mention particulière à l’abruti qui klaxon bloqué, en nous injuriant copieusement et en menaçant de nous faire tomber double le groupe sans comprendre que plusieurs centaines de vélo ça tient de la place et ça peut pas se mettre sur une file instantanément. La montée s’enchaine je suis à mon train, qui n’a rien d’exceptionnel mais j’arrive quand même à passer quelques participants, mes mètres étalons sont toujours là ; j’en décrocherais un juste avant le col. Bifurcation de Coursegoules, c’est là que les grands et petits parcours se séparent ; je l’ai voulu j’y suis ; je saute dans l’in connu et pars sur le grand parcours. Encore une petite montée et c’est partie pour un dizaine de bornes en descente, je m’y croirais presque si quelques avions ne me laissaient pas sur place en me faisant réaliser que je suis aussi mauvais en descente qu’en montée, je profite au moins du paysage et du temps splendide, les kilomètres défilent sans problème, ça va être une promenade de santé. On arrive au point bas, tiens on dirait que le vent s’est réveillé, mais jusque là tout va bien. 2 petites montées et voilà le ravito de mi- parcours. Un de mes mètre-étalon est là.Cette fois le vent est vraiment réveillé et fait voler les assiettes de fruits secs que les bénévoles (merci à leur patience) ont préparé pour nous. L’un deux admire mon vélo (dont je suis très fier) et me donne des conseils pour la suite des événements : il parait qu’il va falloir gérer, alors gérons… La suite ça s’appelle le col de Pimpinier, cherchez pas je ne l’ai trouvé nulle part, mais par contre je peux vous dire qu’il existe vraiment. C’est un endroit très joli ou un imbécile a décidé de faire passer une route et un pas plus malin d’y mettre des cyclistes.si au début je me dis que on devrait y arriver je vais vite réaliser que finalement, elle monte cette route. En plus quelqu’un a mal fermé la porte et il y a cette saloperie de courant d’air qui vous chope à la sortie des virages et vous scotche sur place. Le vélo c’est dur, le vélo en montagne c’est très dur, le vélo dans le vent c’est pas évident, je vous laisse imaginer ce que je pense du vélo en montagne dans le vent. Je en peux pas m’empêcher de pense au sketch de Coluche « qu’est que c’est dur le vélo, qu’est ce qu’il faut être %@!? pour faire du vélo… » Au moins je suis conscient et je me dis que chaque coup de pédale me rapproche de l’arrivée. Je bénis l’inventeur du triple plateau, on devrait construire un monument à ce bienfaiteur de l’humanité. Pendant 9 kilomètres ça grimpe avec des passages à 8-9%, il y a un hameau avec une fontaine, j’y refais de l’eau en espérant que le sommet est proche, mais un gars qui s’est arrété devant moi m’annonce encore 4 kilomètres, bon, ben il faut remettre ça…..et on repart. Les jambes sont lourdes, le vent fait tanguer, les cuisses sont douloureuses, c’est chouette la bicyclette ! Une dernière rafale de vent et c’en est fini du Pimpinier, c’est pas pour autant qu’on est à la maison reste encore le col de Bleine. J’hésite à un croisement et un concurrent me remet sur le bon chemin, heureusement sinon je serais encore en train de tourner en rond. On arrive ensemble au pied de la dernière vraie difficulté et il me propose de monter à deux, conscient de mon état je lui conseille de le faire tout seul, à son rythme, il m’avoue cependant qu’il ne sait plus très bien quel est son rythme…ça me rassure quelque part. On attaque la première pente du col et cinq jeunes gars se croient obligés de nous passer en souplesse comme s’ils étaient au sprint (le départ étant libre entre 7h30 et 8h30, ils ont du faire la grasse matinée avant d’aller se dégourdir les jambes et rattraper les bourrins). Le peu de moral qui me restait part en vrille et je suis décramponné par mon compagnon. Je vois s’afficher sur mon compteur une vitesse dont j’ai honte (je vous la dirais pas, pas la peine d’insister). Soudain je réalise que les rafales de vent forcissent. Ma courte expérience de cycliste montagnard par grand vent m’a au moins appris que ça voulait dire que l’on perdait la « protection » de la montagne et qu’on approchait du sommet. Ça y est col de Bleine, 1439m, maintenant il n’y a plus qu’à descendre. Il y a bien le col de Castellaras après le deuxième ravito, mais j’ai le cœur en joie et je l’avale sans problème (faut dire que dans ce sens c’est pas un exploit). Je le crois pas j’y suis arrivé, sur le plateau de Caussols je bénirai le vent qui a la bonne idée de souffler de dos, j’ai l’impression d’être une fusée. J’apprécierai moins le même vent dans les virages de la descente où il faudra s’en méfier pour ne pas se casser la gueule à cause d’une embardée ; il a au moins dégagé le paysage et je peux admirer la côte de Vintimille à Saint Tropez. P….n que c’est chouette le vélo ! Le reste est sans difficultés retour à la civilisation et aux routes du samedi encombrées de voitures. Arrivée à Villeneuve. 150km, 2800 m de dénivelé, 7h11’06’’ Je suis parfaitement conscient du ridicule de la performance, mais moi c’était mon double record de distance et de dénivelé, et j’en suis fier. Je ne suis pas coureur mais un simple cycliste de week end, il faut de tout sur le forum. Prochaine étape, le 5 mai la Lazarides à Cannes. Chiche que j’essaye le grand parcours (166km)…

Bonjour à toi. Je te confirme ce qui a déja été dit l'Onyx est un bon choix. J'ai eu le modéle 2011 de Noel 2010 jusqu'à novembre 2011, date où une Toyota a cru intelligent de ne pas respecter un "cédez le passage" et me faire faire un vol plané, le vélo n'a pas resisté.... Le mien était équipé en 105 triple plateau (bien pratique pour être sur de rentrer à la maison en affrontant toutes les bosses) et ksyrium Elite. Je l'avais eu pour 1800€,avec les roues, en fin 2010. Je l'ai gardé le temps de faire 3800 kms jusqu'à mon accident et n'ai qu'un regret c'est qu'il ne soit plus au catalogue Orbéa (le remplaçant est un look 566, un peu plus cher mais trés bien aussi). Je confirme le confort et la souplesse. Pour ma pratique c'était trés bien (1m87, 51 ans, 87kg, des sorties de 50 à 100 kms dans les Alpes Maritimes, donc avec quelques grimpettes). Il est allé vaillament 2 fois en haut de la Bonette sans rechigner. La fiche technique indique, en effet, qu'il est peut être un peu lourd , mais ce concept m' a toujours amusé: s'il faut gagner 500 grammes c'est plus facile et moins couteux de le faire sur le cavalier que sur la monture. C'était mon premier "beau vélo" et j'en garde un excellent souvenir, la seule difficulté que j'avais eu lors de l'acqusition c'était le choix (cornélien) de la couleur....question qui ne doit plus se poser puisque je présume qu'en ce qui te concerne c'est un modéle qui reste en stock (peut-être une possibilité de grignoter un peu le prix). Si tu te décides tu ne le regretteras pas, tiens nous au courant de ton choix et bonne route (attention aux Toyota dans les ronds points giratoires)

précédemment propriétaire d'un Orbéa Onix, dont j'étais trés satisfait, je roule depuis le début d'année sur un look 566. je le trouve plus "nerveux" que l'Onix. cela n'empéche pas que je le considére également comme une machine confortable. une agréable sensation de souplesse et de rendu, pas de bruit incongru ni de vibrations, bref un bon choix selon mon avis perso. lors d'un précédent avis sur le forum j'avais fait état d'un petit problème de "ressenti" sur la selle, ce ne fut semble-t-il qu'une impression fugace, une sortie ed 135 bornes le weekend dernier s'étant passé sans problème.. en pplus j'aime bien le look du LOOK (full white) pour te permettre de comparer: 51ans , 1m86, 87kg 4000 kms en 2011 (ça permet de vérifier si les besoins et envies sont identiques), vélo monté en triple shimano 105, roues ksyrium elite. bon choix et bonne route

j'ai eu un onyx (105 triple) pendant 1 an, jusqu'à ce qu'une voiture se croie obliger de le plier en 2....j'en étais trés content, il ne se fait plus et il semble que les délais pour son remplaçant (Orca Bronze) soient long, c'est peut êtrere les seuls défauts que l'on puisse leur reprocher

question classique que je me suis posée, voici donc ma modeste contribution d'abord le moteur 51ans , 1m86, 87kg 4000 kms en 2011 (ça permet de vérifier si les besoins et envies sont identiques) je connais pas l'orbéa orca bronze, mais j'ai eu pendant un an (2011) un onyx, je présume,l'orca étant le successeur en gamme, que les perfs doivent être similaires. Rien à redire je l'ai trouvé trés confortable et trés correct pour mmon utilisation. suite à un rapprochement "viril" avec une auto j'ai remplacé depuis le début d'année cette monture par un look 566 full white. vu les conditions météo seulement 500 kms au compteur. dans les 2 cas même montage: shimano 105 en triple et roues ksyrium élite. je trouve le look un peu plus nerveux que l'orbéa, il a tendance répondre de manière plus "fougueuse" sous la pédale (ça fait doucement rigoler d'écrire ça quand on connait mes perfs) contrepartie il est peut être un peu moins confort; pas au niveau vibration bruits ou autres, mais simplement au niveau ressenti sur la selle (en français mal au cul aprés une sortie de 100 bornes) mais pas encore beaucoup d'expérience pour vraiment juger. dans les 2 cas soupleese et douceur sur la route si je devais choisir entre les 2 je serais bien em....bété. je regrette mon onyx mais j'aime bien mon Look (et son look) tu vas avoir quelques nuits d'insomnie. tiens nous au courant du choix qui sera certainement le bon et laisse parler ton coeur. bonne route

le 13 novembre, une voiture, non prioritaire, ayant estimé nécessaire de réduire en tas de boue mon orbéa Onix et de me faire faire un triple saut périlleux, je crois que je connais la réponse😉