
Gérard HOURDEBAIGT
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Clik clik clik clik fait la roue ....
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Sébastien EYMONET dans Le matos
Salut J'opterai pour un peu de graisse sur les portées de serrage des 2 roues -
Rapport poids puissance et force
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Jean-Pierre CAZALENS dans L'entrainement et la santé
Bonjour Perdre du poids serait la solution pour monter plus vite mais a 60 ans passé progresse t-on comme a 25 ? On a l'age de nos artéres Jean Pierre. -
Bonsoir Les révisions C'est bibi :mon vélo personne y touche et quand j'y bricole ça me détends.
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Ag2r la mondiale
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Serge MASSELOT dans Discussions Route
Un instant tu m'as quand même fait peur A bientôt sur la route -
Ag2r la mondiale
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Serge MASSELOT dans Discussions Route
C'est pas de toi ce que tu écris François! et c'est pas gentil pour mathieu -
Rythme cardiaque:question technique
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Claude CARRIES dans L'entrainement et la santé
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Yaban
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Rythme cardiaque:question technique
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Claude CARRIES dans L'entrainement et la santé
Je ne savais pas qu'il reprenait le vélo(excuse moi Claude d'être aussi cassant) Il pourra donc "progresser"mais en oubliant pas de se faire plaisir sur le vélo -
Rythme cardiaque:question technique
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Claude CARRIES dans L'entrainement et la santé
Excuse moi Claude ne compte pas progrésser a 55 ans et a 69 ans en faisant aujourd'hui du fractionné dans les côtes car a nos âges la messe est dite. Maintenant on ne fait qu' entretenir notre forme et regarder les dossards des plus jeunes qui nous laissent sur place dans les cols(pas tous heureusement) -
Tas raison Michel,je me suis même endormi devant
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Paris Roubaix Cyclo
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Raphaël OESTEREICH dans Les évènements route
Bonjour, Je vois que ce Paris-Roubaix 2012 n'a pas suscité beaucoup d'enthousiasme. Avec 2 ans de retard et pour vous consoler je vous met le récit de mon Paris-Roubaix 2010. Ce fut pour moi une expérience de "cyclo-touriste" inoubliable. PARIS-ROUBAIX CYCLO 2010 Samedi 5 juin 2010, Chaleur étouffante et orageuse à Cambronne, le thermomètre affiche plus de 30°, ciel bleu azur, un comble pour des Montalbanais émigrés temporaires dans le Nord de la France, pays réputé à nos yeux, froid et hostile. Remise des dossards au complexe sportif: c'est de cet endroit que les départs auront lieu demain matin entre 4h et 7h. Pour ma part, ce sera vers 6h30 quand le jour sera levé. L'atmosphère est fébrile, légèrement tendue, comme à la veille d'un grand événement. Notre hôtel situé à La Verberie, à une dizaine de kilomètre du départ, est une ancienne demeure recouverte de vigne vierge, près d'un grand parc où nous irons marcher un peu avant le repas pour évacuer les toxines accumulées par plus de 7 heures de routes. Repas léger - poisson, pâtes - et dodo. " As-tu bien dormi?" me direz-vous. Pas exactement, et très peu, car mon épouse et moi sommes réveillés à 3h30 du matin et c'est finalement un merle qui s'égosille sous notre fenêtre à 4h30 (mais qu'est-ce qu'il ont ces piafs à être si matinaux?) qui nous sort du lit. Pendant cette heure d'insomnie, je pense à ces 255 km qui m'attendent et surtout à ces 53 de pavés divisés en 28 secteurs, semés d'embûches, expérience inédite pour moi qui n'ai jamais pratiqué ce terrain. Je gamberge un peu car ce n'est pas un périple comme les autres et je pars vers l'inconnu. Ai-je les bonnes roues? Les bons pneus? Suis-je suffisamment préparer physiquement? Et le mental va t-il suivre? Je roulerai avec mon vieux C50, mais dans la voiture, puisque ma femme va me suivre étape par étape, il y a le Scott et des roues de rechange, au cas où il y aurait de la casse...Je ne me pardonnerais pas un échec sur problème mécanique, se serait trop dommage. J'essaie d'avaler, pour la forme, un petit- déjeuner gentiment préparé la veille par le patron de l'hôtel, mais très vite, nous rangeons nos affaires pour rejoindre le lieu de départ. Même mon épouse à un peu le trac! Dimanche 6 juin, Cambronne. Nous garons la voiture derrière un bus d'Italiens. Je suis le seul français dans ce coin, cerné par des Espagnols, des Anglais, des Italiens donc et autres Hollandais roulants. Dans cette étrange atmosphère, tout le monde déballe sont matos et se prépare en scrutant le ciel menaçant: la météo a prévu des orages... Car même si un arc en ciel apparaît alors que nous sommes dans la zone de pointage, au moment du départ pour cette grosse journée de vélo, personne n'est sûr que la pluie ne viendra pas se mêler à la grand-messe. Il est 6h30 et des poussières et c'est parti... Les 80 premiers kilomètres, avalés à bonne vitesse, font plus penser à une cyclo-sportive qu'à une randonnée de cyclo-touriste. J'essaie de rester dans les roues, sans me griller dans la multitude de petites bosses qui égrènent le parcourt. Le Nord, ce n'est pas tout a fait plat !!! Dans le peloton, un Belge vient à ma hauteur, avise le maillot de l'Ariégeoise et me demande d'où je viens. - De Montauban - Ben ça, c'est pas la porte à côté, c'est sûr! ( avec l'accent! ) - C'est sûr... - Mais tu sais où tu vas, là ? me demande t-il perplexe. Et moi ironique: - Oui, oui, j'ai visionné plein de vidéos. Le gars me donne rendez-vous au premier secteur pavé et me souhaite bonne chance. Le premier pointage à Bohain a lieu dans une salle de sport où chacun fait tamponner sa carte de route, dans un ordre quasi militaire. On rentre par une porte, tampon, puis on fait la queue sans précipitation ni bousculade et dans un calme étonnant pour les sudistes que nous sommes, tout le monde à la queue leu-leu pour un ravitaillement copieux, et on ressort par une autre porte récupérer son fidèle vélo.( à noter qu'on peut faire cette cyclo les poches vides car tout est prévu pour ne pas crever de faim). Ambiance magique et étonnante... Mon épouse est là, heureuse de me voir en bonne forme mais je lui remets les pieds sur terre en lui expliquant que pour l'instant, je n'ai pas encore vu l' ombre d'un pavé. Mais dans 20 kms ce sera chose faite et je lis dans ses yeux une légère inquiétude. En partant, je lui lance: " Rendez-vous à Troivilles! ". Ce sera le premier secteur pavé de ma vie. L'énorme peloton avec lequel j'ai roulé jusqu'à présent s'est défait et nous ne sommes plus que 5 ou 6 à affronter le vent qui s'est levé et quelques gouttes de pluies. Je suis le seul français du groupe et l'Italien qui est devant semble vouloir vraiment arriver en tête dans les pavés de Troisvilles. Nous le laissons tous faire et nous y rentrons tous en ligne, à grande vitesse mais à distance respectable, on ne sais jamais... Une décharge électrique (et d'adrénaline) me traverse de la plante des pieds à la racine des cheveux pendant les 2200 mètres de la zone. J'aperçois à peine ma femme qui essaie de me prendre en photo et qui m'encourage, mais elle même m'avouera que je suis vraiment passé trop vite. Entre les secteurs pavés, les portions goudronnées font du bien, me direz vous, sauf si le vent de face et la pluie s'en mêlent. Un orage violent éclate, déversant des litres et des litres d'eau, pendant 2 heures sur les pavés nordiques. L'angoisse de la crevaison et de la chute font que je deviens plus prudent dans les secteurs à risques. L'entrée du Pavé de Buat, section N° 23, est complètement défoncée et en dévers, je ne sais plus où poser mes roues. Mon vélo, prenant des initiatives choisit d'aller à gauche mais il a tout faux: je me rétabli sur le bas côté, dans l'herbe. Plus de peur que de mal, ce sera une alerte sans frais... La pluie redouble et les éclairs zèbrent le ciel. Parti de Cambronne en maillot et sans imper (oubli impardonnable), je commence à avoir froid et à trembler sur ma machine. Je réussis à prendre les roues d'un groupe de coursiers qui me ramène à grandes pédalées jusqu'au lieu de pointage-ravito d' Aremberg-Wallers. Mon épouse n'est pas au rendez-vous et je m'inquiète. J'essaie de sortir ma carte de route de mon maillot, mais je n'y arrive pas , je suis frigorifié, et tout d'un coup, le doute s'installe. Il me reste 100 km à parcourir, 19 secteurs pavés dont la difficulté va aller crescendo. Et là, je suis à l'entrée de la Tranchée d'Arenberg! J'essaie de joindre ma femme qui devrait être dans le secteur mais ,visiblement, mon portable est à peu près dans le même état que son propriétaire. Je lui gueule de m'attendre à la sortie de la Tranchée mais en fait, elle y est depuis plus d'une heure et m'attends sous la pluie battante, à regarder passer les galériens de l'enfer du Nord. LA TRANCHÉE D'ARENBERG Le voici enfin, ce lieu mythique dans lequel je m'engage prudemment car l'orage qui vient à peine de cesser, a détrempé les pavés acérés comme des lames de rasoirs qui ne demandent qu'à vous mettre au tapis. Je mets au moins 100 mètres à me lancer et ne dépasse pas les 20 km/h mais me fais un point d'honneur de rouler sur le haut du pavé en évitant la petite bande goudronnée qui facilite la vie de la plupart des concurrents. Quand j'atteins enfin les barrières qui marquent la fin de la tranchée, un rayon de soleil apparaît, et puis un autre, ma femme, et là tout d'un coup je sens mon corps se réchauffer, le moral remonte en flèche et j'ai la certitude absolue que je terminerai cette épreuve. Je suis prêt à en découdre avec le reste des pavés. Les secteurs suivant - Hornaing - Orchies - Nouveau monde - Moulin de Vertain et j'en oublie, sont horribles et remplis de boue, mon vélo couine et souffre, moi aussi, mais je reste sur le haut du pavé et me permets même de doubler quelques concurrents. Un de mes porte-bidons s'est cassé et je dois abandonner un bidon, ce dernier ne tenant plus et voulant absolument se mettre entre le cadre et le pédalier. Lunettes, bidons, sacoches, chambres à air et pneus, bonbonnes de CO2, pompes, jonchent les bas côté dans les secteurs pavés, éjectés des machines et des poches des maillots. C'est dire les chocs qu'encaissent les vélos et les cyclistes. Je prie Saint Tom et Saint Fabian pour ne pas crever car réparer sous la pluie et dans la boue, est une vraie galère. Dans la Tranchée, mon épouse verra un concurrent mettre près d'une demie heure pour changer une chambre. C'est aussi ça Paris - Roubaix... Après le pointage de Cysoing se dessine le carrefour de l'Arbre, autre lieu mythique, long faux plat montant difficile à négocier tant les pavés sont disjoints et agressifs, mais je le passe avec une grande énergie ( je me surprends moi même! ). Une foule qui nous encourage s'est formée à côté du Restaurant de l'Arbre. Un virage à droite, et c'est le difficile secteur de Gruson, que je passe relativement bien car maintenant que le soleil est revenu, la voie a eu le temps de sécher. Paule est là pour m'encourager et me lancer un: " Allez GG, c'est bientôt fini!" Oui, bientôt, mais pas encore tout à fait. Il reste le secteur N°2, celui après la ville de Chereng, 1400 mètres de pavés disjoints avec des trous et des bosses, des nids de poules et du goudron effrité, un classique en somme, que je négocie pour la seule et unique fois sur un bas côté lui aussi relativement défoncé mais plus roulant tout de même ( il n'est pourtant classé que 2 sur une échelle de difficulté de 5 ): je dois tout de même être un peu entamé. Enfin, j'arrive dans le faubourg de HEM et dans son long faux plat montant. Que de scénario dans cette portion! Rappelez-vous Moncassin échappé avec Andreï Tchmill. Ce dernier ne voudra plus rouler et tous 2 se feront rattraper par un petit groupe à l'entrée du vélodrome. Mais ce jour là, un Français inscrira son nom sur les tablettes de Paris Roubaix: Frédéric Guédon. Dans ce long faux plat, je roule avec un Hollandais qui veut vraisemblablement le monter très vite : nous le montons effectivement à bloc et passons le dernier secteur Crupeland ensemble. L'entrée sur le vélodrome est magique et ma gorge se noue quelque peu lorsque je pénètre sur la piste. Mon collègue hollandais monte vers les balustrades. Va-t-il vouloir faire le sprint? Il se ravise et nous passons la ligne ensemble et à ce moment là nos regards se croisent: ils en disent long sur ce nous venons de vivre. Je m'arrête un moment au bord de la piste, saoulé par plus de 9 heures de vélo et par trop d'images imprimées dans mon cerveau. Seul bémol, ma femme coincée dans quelques embouteillages, n'est pas au vélodrome pour partager cet instant, , j'ai été plus rapide qu'elle depuis Gruson: un comble! Je la retrouve quelques minutes plus tard et nous pouvons enfin partager nos impressions sur cette fabuleuse journée. Pour elle non plus tout n'a pas toujours été facile. Suivre son cycliste sur une telle épreuve n'est pas une chose aisée, car on sait jamais vraiment à quel endroit il se trouve et l'attente est parfois bien longue avant qu'il n'apparaisse au détour d'une voie pavée. Nous contemplons mon vélo recouvert de boue et qui ressemble à celui de Musseuw lorsqu'il a gagné cette course en 2002, la météo étant cette année là un peu comme celle d'aujourd'hui. Je suis heureux comme un gamin qui vient de faire son premier tour de manège, j'arrive en forme, je n'ai pas eu de pépins mécaniques, et j'ai réalisé un des rêves qui me tenait le plus à coeur. La douche aussi fait parti de Paris Roubaix et sera un moment inoubliable et là encore pas de bousculade, tour à tour chacun prend la place de l'autre dans l'intimité d'un box. Combien de larmes de joie, de défaites et de souffrances l'eau bienfaisante a t' elle fait couler entre ces trois petits murs de béton? Dans le mien y est inscrit VAN DER AERDEN. Il a gagné Paris-Roubaix en 1987. RESPECT... -
Bonjour C'est ce que te dirons les revues spécialisées pour te faire acheter une en carbone. J'ai fais l'échange d'une potence alu en carbone seulement pour un ajustement de position et je n'ai rien ressenti tant au niveau rigidité que précision de pilotage. Tu pourras par contre gagner quelques grammes
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Grosse frayeur en descente
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Nicolas GUYOT dans Discussions Route
François change de vélo prends un colnago😆 Au fait quand viens -tu nous voir a Montauban? -
Tarif d'un entretien de début de saison
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Axel BOITEL dans Le matos
Bonjour Cela fait belle lurette que je ne fais plus faire l'entretien par un vélociste et je vois que les tarifs n'ont pas ,eux aussi diminués mais ils faut bien qu'ils gagnent leur vie. -
Bonjour N'a tu pas roulé cet hiver sur des routes qui auraient été salées?
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Réglage de la selle en fonction du recul
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Axel BOITEL dans Le matos
En effet toutes ces valeurs de rs et hs sont des valeurs de base et il faudra sûrement que tu peaufines tout ça,mais quel est ce cadre 54 qui me parait bien relevé? -
Réglage de la selle en fonction du recul
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Axel BOITEL dans Le matos
Bonjour A mon avis si tu es en bout des rails la géométrie du vélo y est pour quelque chose et même la longueur du cadre,car 5cm de recul c'est peu(je ne connais pas ta taille mais pour 80kg tu dois etre grand, peut-être 1.80m) Mon épouse qui fait 1.62m a 5cm de recul (étude posturale Mecacote): Ce qui te donnera un plus fort recul c'est un déport de tige de selle plus important Attention aussi a la hauteur de selle qui va tant soit peu modifier le recul(ta hauteur de selle est-elle bonne?) Tiens nous au courant -
Avez vous dejà eu recourt à un coach?
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Vincent MILANE dans Les évènements route
Bonjour Un collégue de club m'a fait profiter d'un plan d'entrainement fait par un coach de la région Toulousaine. Il ne voulait pas s'entrainer seul et moi travaillant soit le matin soit l'après-midi,j'ai accepté car nous avons a peu de chose prés le même niveau.(pas le même boulot) Au bout de 4 mois il voltigeait(début du plan:janvier) moi j'étais a la rue et pendant toute la saison je me suis trainé et le moral est descendu trés bas,j'ai dû ralentir un peu et fin aout début septembre le coup de pédale est revenu(fin du plan juin) Si j'avais a le refaire je ne le referais pas car trop astreignant pour pas grand chose car a 54 ans on ne progresse pas comme a 20ans En conclusion un plan doit être individuel, tenir compte de la vie familiale et du métier que l'on exerce. -
Casse cadre carbonne vtt
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Cédric WENGERT dans Discussions VTT
Les cycles Salmon a Plouha réparent les casses de cadre carbone Envoie leur une photo de ton cadre cassé et ils te feront un devis approximatif. Mais le jeu vaut-il la chandelle? -
Où avez vous "mal" aux jambes ?
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Adrien FERRY dans L'entrainement et la santé
Tu devrais avoir 69 de HS suivant la "régle"a mon avis tu es un peu bas sur le vélo,et si tu as mal aux lombaires fais un essai avec une potence + courte et avec un angle un peu + relevé Mais tout ceci n'engage que moi ,une vraie etude posturale sera plus fiable. -
Où avez vous "mal" aux jambes ?
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Adrien FERRY dans L'entrainement et la santé
Vaudrait mieux reprendre toutes les cotes ,va chez ton vélociste ou fait une étude posturale,ce sera + sûr Pour info,quelle est ta taille et de combien est ton entrejambe? -
Où avez vous "mal" aux jambes ?
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Adrien FERRY dans L'entrainement et la santé
Bonjour Tout depends des braquets que tu emplois(peut-être trop gros, souvent ou longtemps ou les 2) Voir aussi le positionnement sur la machine(recul et hauteur de selle)et comme l'a dit plus haut Christophe manivelles trop grandes -
La beauté du vélo en vidéos
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Cédric PLANCHE dans Le matos
Je ne m'en lasse jamais -
Il fait combien chez vous ?
Gérard HOURDEBAIGT a répondu à un(e) sujet de Freddy MAERTENS dans Discussions Route
-7 a5h30 et le cable du dérailleur gélé ça le fait non?