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Rémy LORIOT

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Tout ce qui a été posté par Rémy LORIOT

  1. Tu m'étonnes ! Je l'avais fait en fin de boucle Larceveau-Larceveau, après Osquich et Ahuski depuis Aussurucq. Mes cuisses en gardent un souvenir ému...
  2. En fait, je crois que Gamia est le nom du lieu-dit qui surplombe le col d'Askonzabal. Comme Ahuski correspond au lieu surplombant le col de Burdin Olatze. Dans les faits, c'est la même chose. Sinon, pour Pierre, Burdinkurutxeta, c'est "la petite croix de fer". La "croix de fer", c'est Burdinkurutx.
  3. Ouais, mais je vais quand même devoir continuer à courir l'essentiel de mes courses en 2/3, à cause du calendrier local, assez pauvre en épreuves 3 ou pass (même si ça tend à s'améliorer sur ce dernier point). Par exemple, cette année, sur 15 épreuves FFC, alors que j'ai une licence en 3°, je n'ai couru qu'une seule course dans cette catégorie, les autres se répartissant en 4 épreuves en 1/2/3, et toutes les autres en 2/3, dont une (semi nocturne) ouverte aux 1°. C'est donc difficile de courir à son niveau... (ce qui explique que beaucoup vont en Ufolep dans le coin). Mais bon, comme je n'ai pas marqué de points (je précise, sans freiner...), la possibilité de pouvoir prendre une pass va me permettre d'avoir un peu plus de choix, et surtout de pouvoir courir des épreuves plus "à ma main".
  4. Pour répondre à la question, j'ai du mal à trouver une idole dans le vélo, ou dans le sport en général. J'avoue trouver que Philippe Gilbert est sans doute le coureur qui a le plus de classe actuellement, ou avoir été enthousiaste gamin en regardant Chiapucci lors de ses exploits sur le tour de France, mais de là à en faire des idole... Je n'en trouve que dans l'art, plus particulièrement en musique, et citerai donc, pêle-mêle : Jimmy Page, Jimi Hendrix, Mark Knopfler et le Caravage.
  5. Voilà mon dernier CR de la saison en matière de course FFC. Il s'agit du tour des Landes, les samedi 6 et dimanche 7 septembre derniers, en 1/2/3/J, avec au départ les équipes DN de Blagnac, Occitane, Périgueux, Marmande, St Martin de Seignanx et du VS Valettais. D'autres belles formations du SO, type Castelsarrasin et autres locaux affûtés... Quelques beaux noms sur la liste, avec Herbreteau, Mespoulède, Labbe, Patanchon, Chétout... 2 étapes au programme, l'une très vallonnées en Chalosse, sur 112 km, et l'autre plus plate, mais avec des côtes pentues de 124 km. 1° étape, ça part très fort. J'ai du mal à me placer, et je navigue dans les 30 dernières positions du peloton. Je manque une ou 2 fois de sauter, et je dois parfois boucher des trous. Je laisse beaucoup de jus. Vers le km 25, je me retrouve dans les voitures, et je rentre tant bien que mal sur les derniers du peloton. Je me dis que ça va être dur... Et puis quelques km plus loin, à la faveur d'un point chaud, une échappée fleuve part avec une trentaine de coureurs et pour ainsi dire toutes les équipes sont représentées. Du coup, rideau derrière. Ca roulera plus peinard jusqu'à la fin de la course où le rythme s'accélère. Je termine au peloton, pas trop entamé. Ils arrivent à 4 devant, puis un groupe à quelques minutes, dont un de nos gars, avant quelques esseulés qui précèdent le peloton. 2° étape, à nouveau très rapide au départ. Je fais l'effort d'être placé dans les 30 premiers km, et "ramène" même le paquet sur un groupe où nous ne sommes pas présent. Du coup, je le paye et essaie de récupérer dans les roues. mais ça roule toujours fort, et je recule. Avant la première bosse (500 m à 12%, puis un replat et à nouveau un gros coup de cul), j'essaie de me replacer. Mais ça ne marche pas, et je me retrouve encore trop à l'arrière du groupe lorsque nous abordons la côte. Comme c'était à prévoir, chaînes en travers etc... du coup, grosse cassure et même si on roule pendant plusieurs km pour tenter de rentrer, ça ne suffira pas. La première heure de course s'est déroulée à plus de 43 km/h de moyenne... Bref, notre gruppetto récupère quelques lâchés et s'en va sereinement vers la ligne, zappant les 3 petits tours en ville, pour assister à l'arrivée. Maigre consolation, je suis accompagné par du beau monde. Bâchage donc. Bon, je n'étais pas très motivé pour faire cette course, sachant que ce n'est pas mon niveau. Mais il fallait du monde pour le club, et de toute façon, il n'y avait rien d'autre au programme, ou alors trop loin. Voilà, fin de saison FFC, avec du coup au bilan de la saison 13 courses en 2/3/J, dont 3 placettes dans les 20, 1 course en 3° et 1 course "corpo". Au rang des satisfactions, on dira que j'ai beaucoup roulé pour l'équipe, et que j'ai aussi parfois officié en "capitaine de route". Mais en fin de compte, pas de points FFC (aucun regret à ce sujet d'ailleurs), et l'année prochaine, ma licence sera une pass open.
  6. Ah, pasque sinon, il faut nettoyer systématiquement les jantes ?
  7. C'est pour engraisser le haut niveau. c'est le principe de fonctionnement de la FFC. Tout est dirigé vers le haut niveau. C'est là où vont les engagements, les licences etc... Comme il y a moins de courses, moins de frais d'engagement qui rentrent, faut bien compenser... Moi, l'an prochain, sauf accident, j'aurais assez peu de points pour prendre une pass, ça va me faire baisser mon tarif... De là à prendre une Ufolep, faut pas exagérer... 😃
  8. Depuis ma sortie de dimanche, je rajoute : - Cols d'Hégantzo et Elhursaro (ce dernier 1,5 km après l'autre), dans la même grimpée. - Cols d'Arthe, Asqueta et Arthaburu (pareil, ces 3 s'enchaînent), dans la même grimpée aussi. Ces 2 montées sont sans doute les plus dures de ma vie cycliste... - Cols d'Irau et de Sourzay, qui s'enchaînent entre Arthaburu et Burdincurutcheta.
  9. Oui, et surtout, si quelqu'un peut apporter une réponse à la grande question que tout le monde se pose : (Façon L Fernandez) : "Est-ce que Marcel *** est-il ou n'est-il pas sacré champion du monde de sa catégorie des cyclosportifs ?"'
  10. Bon, t'as déjà pas mal de conseils avisés. Pour ma part, je rajouterai une montée au pont d'Espagne en aller-retour. C'est moyen jusqu'à Cauterêts, mais ensuite, c'est sans doute une des plus belles ascension que je connaisse. Sinon, dans le même genre, un aller-retour pour grimper Hautacam (et pousser jusqu'à Tramassel).
  11. Hier, je prend mon combi pour me rapprocher de Garazi. Au programme, du col Basque velu. Je me pose sur un parking à hauteur d'Irouleguy et me prépare. Départ 15h, 30°C au mercure. Des nuages sur les hauteurs, mais beau dans l'ensemble. Direction, les montagnes au dessus de Garazi. Echauffement jusqu'à Arneguy, et de là, à la sortie du village, on débute l'ascension du port d'Elhursaro, par le col d'Hégantzo. La montée débute à Baxoa. Elle dure une dizaine de km et est, jusqu'au col d'Hégantzo, proprement affreuse. c'est l'enfer. La route ne rend pas, et les pourcentages sont impressionnants. Presque tout le temps à 2 chiffres. Régulièrement au dessus de 15%... 8,5% en environ 9 km, en sachant que le dernier km est "facile" et qu'il y a 2/3 portions descendantes (à 10%) de 200 m chacune... En réel, c'est du quasiment 900 m de dénivelé en 9 km. Les paysages sont magnifiques. Des panoramas fabuleusement sauvages. De sinistres vautours tournent au dessus de moi... Je mettrai environ 42'30'' pour Hégantzo, et 47' pour Elhursaro au total (1,5 km plus loin, à 7%). Vous connaissez cette impression que votre corps vous dit : "mais arrête voyons, ce que tu fais c'est n'importe quoi !" ? Je suis en plein dedans. De là, je prend la D428 en direction de Garazi. La descente est hallucinante. Si la route est meilleure que celle empruntée pour grimper, on a l'impression d'être parfois en chute libre tant la pente est forte. Imaginez du 10% de déclivité... qui bascule nettement ! Arrivé en bas, je suis déjà cuit. Je prend à droite direction St Michel et Esterençuby pour aller chercher le col d'Arthaburu par les cols d'Arthe et Asquéta. Si Elhursaro était déjà l'enfer, je me demande carrément si ce que je suis entrain de grimper est humainement possible... A la bifurcation D301/D428, on prend à gauche sur la D301. Et là, on peut sortir piolet et crampons. Si je trouvais mon 39x28 presque limite lors de la montée précédente, je me rend compte maintenant qu'il est carrément trop gros ! Des portions à 15% sur des centaines de mètre, des ruptures de pente, des lacets sur lesquels la route se cabre, sans jamais descendre au dessous des 9%... c'est ça pendant 6 km jusqu'au col d'Arthe. On devine le sommet de l'Arthaburu, au milieu d'une crête rocheuse de toute beauté, mais encore bien haut... De là au col d'Asquéta, c'est plus sage pendant un petit km, avec même un toute petite portion descendante et 400 m de plat. A la fin du replat, je croise une bagnole qui m'encourage : "allez, courage !" me lance le conducteur. J'ai envie de l'envoyer sur les roses. Je pense que le plus dur est derrière moi. Il ne me reste qu'un petit km pour arriver à cette fameuse crête. mais qu'il est long ce km ! la pente moyenne doit avoisiner les 15%. C'est l'horreur. D'autant qu'une hypoglycémie pointe le bout de son nez. Dans les 300 derniers mètres, j'ai l'impression d'être Ghislain Lambert quand il a sa défaillance et zigzague... Mon corps qui me reprochait tout à l'heure mes excès de confiance m'invective maintenant contre ma folie ! C'est horrible, mais encore une fois, les paysages qui se dévoilent devant moi me récompense de ma souffrance. 920 m de dénivellé en 8 km... dont une portion qui descend un peu et 400 m de plat ! le tout en 44'44'' De là, direction le col de Sourzai par le col d'Irau. Petite descente, faux plats descendants et montants. Sourzai est facile. 1,5 km à peut-être 8% ? J'ai perdu de ma lucidité, et ça me parait interminable. J'en ai des crampes.. De là, descente vers le laquet d'Iraty, et remontée vers Burdincurutchéta pour 3 km de montée relativement douce sur une route excellente. Un regain d'énergie me pousse même à relancer, sachant que c'est la dernière bosse de la journée. Les montées les plus dures de ma vie cycliste. Spandelles, Hautacam, l'Alpe, Le Galibier ou autres Soulor et Glandon ne sont que des "faux plats" en comparaison (j'exagère à peine). Pour l'anecdote, en 2 réelles ascensions, j'ai "passé" pas moins de 8 cols (9 si on compte le col d'Haltza dans la descente du Burdincurutcheta) ! Enrichissant mon palmarès de façon notable (lol). Descente façon Super G ! Pointes à 75 km/h, un vrai régal. Le plat est avalé à 38/40 km/h de moyenne à la faveur d'un vent de 3/4 favorable. Retour au camion pour une belle sortie de 3h57' pour 95 km. Même pas 24 km/h de moyenne ! Sur les rotules, mais avec cette sensation de béatitude zen que seule ce genre de sortie peut apporter.
  12. Bonjour, je vais fair un CR de mes 3 dernières courses. - 15 août, Arengosse, course 2/3/j, circuit tout plat d'un peu plus de 2 km à parcourir X fois pour faire nos 95 km. 65 au départ environ. Je n'aime pas trop l'exercice... Au début, dur de me placer. L'échappée part en début de course, avec un junior en forme (qualifié pour les France en CLMn, dont il est champion régional, et course en ligne). Bref, va falloir aider. Du coup, je remonte. Quand j'arrive, un coup à 12/15 vient de partir, et le copain qui en faisait beaucoup pour contrôler n'a pas pu suivre. Du coup, je m'y colle, et ramène le paquet. Je le paie cash, retour en fin de paquet pour quelques tours le temps de me refaire la cerise. Sauf qu'en fin de paquet, compte tenu des 2 relances, je ne me refais pas vraiment la cerise. Je remonte un peu plus tard, et là, rebelote, il faut y aller à nouveau. Encore une fois c'est dur. A l'approche de la fin de course, je vois le champion des Landes 2° caté démarrer. Je saute dans sa roue. Un bon rouleur suit. Au passage, petite prime, puis un début de contre se dessine. On est 5, dont 2 du club. On contrôle pour ne pas revenir sur l'échappée. On est repris. Le junior du club gagne ! Youpi. Je termine 30° environ. Un peu plus de 41 de moyenne au peloton. - 17 août, St Martin de Seignanx en 1/2/3/J, pour 100 km sur un circuit d'environ 4 km, vallonné. 1100 m de dénivelé sur la course. Un peu plus de 60 au départ. David Le Lay de Brest prend rapidement la course à son compte, et ils sont quelques uns devant, dont des pensionnaires de la DN3 locale. Ca ne part jamais vraiment, et ça roule. Je fais l'effort de courir placé, et tente même de sauter dans quelques coups au fur et à mesure de la course. Au bilan, environ 30° (encore), bonnes sensations, un peu plus de 40 de moyenne. J'étais mieux que le 15. - 22 août, semi nocturne à Uzein, en 2/3/J ouverte aux 1° caté. Circuit tout plat, un peu plus de 2 km pour 84 km en 40 tours. Un peu plus de 60 au départ. Pluie. 2 relances au cours du circuit. J'essaie de me placer devant en début de course. J'y arrive à peu près, et je sors dans un coup à 3 en début de course pendant quelques km. On est repris. Aucune tentative ne sera couronnée de succès. Je paie mon effort de début de course et lutte pour ne pas sauter. Je passe un bonne partie de la course dans les dernières positions du paquet. Arrivée au sprint. A noter une grosse chute à 300 m de la ligne. Je me classe dans les 20 pour une moyenne horaire de plus de 42 km/h. Sensations moyennes. Maintenant, direction la fin de saison avec le tour des Landes en 1/2/3/J les 6/7 septembre... ça va être dur...
  13. Bonjour, pour moi, course FFC 2/3/J l'an dernier, Salies-Oloron-Larrau. J'en avais fait un objectif. Pas pour la gagne, mais pour une place. La fin de course est constituée des 3 premiers km du Port de Larrau. Bien placé en début de course, je suis devant lorsque la bonne part. Mieux que ça, je suis "dedans"... jusqu'à ce que je me relève pour économiser mes forces en vue du final, pensant qu'on les reverra avant le pied... sauf qu'on ne les reprend que dans la montée, et que je ne grimpe pas assez bien pour me placer correctement... Bref, une belle démonstration de "comment laisser passer sa chance connement..." D'autant que j'étais fort ce jour là.
  14. Méf', beaucoup de vent dans l'Aude. Pour les Petites Pyrénées, je ne connais pas. Mais les seuls grands cols accessibles quasiment toute l'année sont ceux du Pays Basque, ou de l'autre bout de la chaîne, en P-O (plus sec comme climat, mais là aussi, beaucoup de vent). Je serais toi, je testerai 2/3 endroits en louant des meublés pendant au moins un mois à chaque fois (hors saison, tu peux largement négocier et trouver à pas cher des logements qui sinon seront vides de toute façon). Plus facile après de se décider.
  15. Salut ! Le Sud Ouest, bon choix. Mais ce n'est pas vraiment un choix... Entre Le Bordelais, le Périgord, le Tarn et Garonne, Le Béarn ou encore l'Ariège, en passant par le Comminges, le Toulousain, les Landes et le Pays Basque, autant "d'univers" différents... Bref, sans vouloir t'orienter, dis-toi que : - là ou c'est moins cher (il n'y a pas de hasard), c'est qu'il y a une raison. Ca ne veut pas dire qu'on n'y trouve pas son bonheur, mais c'est que c'est soit sinistré, soit paumé, soit les 2... - si tu veux tout "concilier", tu seras loin de rien, mais près de rien non plus. Donc, fais un choix. Il vaut mieux être à la montagne et loin de la mer (ou l'inverse) qu'entre les 2... A penser aussi, les commodités pas trop loin. Une ville où il y a tout à moins de 20mn me semble indispensable. Pour le reste, il y a de quoi faire du beau vélo dans beaucoup de coins du SO. Indépendamment de mes origines, si je devais faire ce choix, essentiellement sur des critères vélo, je me dirigerais soit vers la Basse Navarre (Bidarray/Ossès/St Jean Pied de Port), soit vers le Périgord. Toujours est-il, bonne installation.
  16. Bon, 2013 est une année spéciale. Dès la mi-février, il avait presque autant plu que la moyenne annuelle des 10 années précédentes. Ca a duré jusque mi juin d'ailleurs... Et en même temps, de fin juin à fin octobre, une météo des plus clémentes. Et ensuite, peu de pluie aussi. Beaucoup de pluie au Pays Basque, c'est indéniable. Bien au dessus de la moyenne nationale. Mais en même temps pas mal d'heures de soleil. Bien au dessus de la moyenne nationale aussi.
  17. Bon, Jean-Pierre, il reste quand même aussi la course de Bagnères, qui est une belle course. Sinon, dommage que le tour des HP ne soit plus... Pareil pour le Vic-Bilh...
  18. En quelque sorte. Si mes souvenirs sont bons, c'est Gamia, mais en passant par la petite route qui passe devant l'auberge. Ou l'inverse...
  19. La route dont parle Michel reste en Soule et va directement au col de Burdin Olatze (en dessous d'Ahusquy) par le col d'Arhansus. Toi, il me semble que tu as continué "tout droit" (pour basculer en Basse Navarre), jusqu'à l'intersection qui te fait choisir entre le col d'Asqueta sur ta gauche, et Burdincurutcheta sur ta droite, et tu as pris à gauche. Puis à droite plus loin. Non ?
  20. Ben rien d'étonnant à ce qu'Absalon puisse courir en toutes, puisque ces dernières sont ouvertes aux 1° FFC (il n'est pas pro route). Par contre, je suis en effet étonné de voire que des types qui sont dans le top 20 national de VTT (XC ou Marathon, peu importe)puissent s'aligner sur des 3 en route... Comme dit plus haut, c'est quand même un gros niveau.
  21. A noter que sur ce même "moyen", Egoï Martinez (ancien meilleur grimpeur de la Vuelta 2006) ne fait quand même "que" 13°... Bon, il n'était sans doute pas à bloc, ni entrainé au max de ses capacités, mais ça donne une idée de la difficulté...
  22. Le moyen, c'est le même que la Larra-Larrau le 13 septembre à venir, mais dans l'autre sens. Qui est à peu de chose près le même que lors de la Pierre Jacques, au départ d'Aramits cette fois. Le parcours long de la Pax avant rajoute donc "juste" un 2° passage sur Issarbe, par le Soudet. De mon avis, il aurait été plus intéressant de gravir ce 2° passage par Lanne, qui aurait permis un passage par toutes les faces du Soudet, et surtout de ne pas gravir ce même Soudet par la même face 2 fois. Ca devait sans doute poser des soucis de croisements de concurrents trop compliqués à gérer. Encore qu'en descendant par la D441/D341, ça doit aller. Mais ça rajoute sans doute un peu de km et de d+...
  23. Un peu moins d'un an d'intervalle, c'est toujours moins ridicule que l'aut' naze d'Holtz, qui était passé de l'emploi de tous les superlatifs connus au jet de l'anathème pour ce qui concerne cet andouille de Ricco, en à peine 24 heures...
  24. Erratum : La Belle Auberge. Je me demande s'ils n'ont pas changé de nom... J'étais persuadé que ça s'appelait bien la vieille auberge...
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