Aller au contenu

Rémy LORIOT

Membre
  • Compteur de contenus

    3 177
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Rémy LORIOT

  1. Bien sur que c'est possible de faire 3h de vélo le dimanche. Même 5. Mais à jeun... Ce que je dis, c'est que dans un but d'entrainement, cette séance ne peut venir "qu'en plus", et dans le but unique de perdre du lard. Elle ne fera jamais progresser. Alors quand on a déjà, comme toi, une vie de famille, une vie professionnelle (je m'estime heureux, je ne fais pas 50h/semaine), et un entrainement déjà complet (j'en suis à env 10h/semaine), je ne vois pas comment rajouter ce genre de séance.
  2. Y'a aussi un test dans di re ct ve lo .be
  3. Oui, si c'est comme sur le 500, les pourcentages instantanés sont relativement imprécises, et assez optimistes. Pour comparer avec le VDO que j'utilisais, et qui lui semblait plus cohérent par rapport aux données "certifiées" (quoique très légèrement en dessous de la réalité), j'ai sur les mêmes pentes une différence de 1% environ en faveur du Garmin.
  4. Ok, mais ça implique d'avoir du temps... Parce que une séance de 2 ou même 3h (même si 3h "nickel" à jeun, j'en reste perplexe) à moins de 70%, d'un point de vue progression sportive, ne sert quasiment à rien (à part maigrir bien sûr). Donc, si tu veux t'entrainer "correctement", ces séances ne peuvent venir "qu'en plus". Personnellement, n'ayant toujours pas trouver comment prolonger les journées au delà de 24h... Je me passerai de ce type de séances.
  5. Ok avec l'efficacité pour perdre du gras, puisque le corps va puiser dans les réserves. Mais dès que tu vas faire un peu d'intensité, tu risque une "destruction musculaire", comme l'a expliqué Gérard. Or, l'entrainement, à la base, c'est d'abord fait pour progresser. Pas pour régresser. Si on doit rester en dessous de 70% tout le temps, je ne vois pas d'intérêt à un tel entrainement du point de vue sportif. Donc, excepté pour une pratique exclusivement "fitness", je reste sur mon point de vue : zéro utilité.
  6. Je choisirais les RS81 C24 ou les Fulcrum Racing 3. Les Zonda étant les plus typées "plaine" de tes choix. Sinon, sur un site bien connu (cité supra), possibilité de trouver en occase des roues de niveau supérieur. Par exemple, en 2011, j'y avais acheté des Shim Dura Ace C24 cl pour 450 euros. Et pour ta 2° question, oui, tu verras une différence notable.
  7. Rémy LORIOT

    Couvre chaussure

    T'as trouvé des sur-chaussures qui tiennent 2h sous la pluie !?! Ca m'étonne parce que de toute façon, quand on fait du sport, si on est sous la pluie, on est mouillé. Avec de l'imperméable, par transpiration, et sinon, à cause de la pluie. Pas de solution miracle à attendre de ce côté là. Comme pour les gants. Malheureusement ! Privilégier les surchaussures avec intérieur à touché "doux" type polaire, qui laisse dans la mesure du possible "respirer" le pied. Ca maintien relativement bien la chaleur, surtout avec une demi feuille de journal, comme annoncé par Joachim. Par ailleurs, empiler les couches ne sert à rien. C'est comme au ski quand il fait très froid. Un sous vêtement au contact, dans une matière qui ne stocke pas la transpiration, un gros pull (ou polaire), et une veste pour le vent et la neige. Rien d'autre. Ben là, pareil. La chaussette, la chaussure, et un surchaussure. Se faire à l'idée qu'on sera mouillé s'il peut, et qu'on aura un peu froid si ça gèle.
  8. Je n'avais pas lu l'intervention de Gérard Rollando, mais ça confirme ce que je pense...
  9. Bonjour, personnellement, je ne vois pas en quoi l'entrainement à jeun peut être intéressant. Peut-être dans le but exclusif de maigrir. Et encore... Sur le plan diététique, le petit déjeuner est déjà le type de repas qui n'est absolument pas stocké par l'organisme (aucun intérêt à le sauter). Or, un entrainement sportif à jeun va plonger le corps en état de "dette énergétique". Ce dernier va donc compenser en stockant ce qui va être ingurgité au retour. Ca risque donc d'être non seulement inutile, mais aen fin de compte peut-être même contre productif. Sur le plan sportif ensuite, je ne vois pas comment travailler efficacement après une nuit qui aura permit une digestion complète. A la rigueur, on peut l'envisager en se contentant de rester à basse intensité, sur des intensités type I1, et pas sur plus de 2h. Là, ça doit pouvoir faire, mais au delà, je ne vois pas comment éviter l'hypoglycémie. Or, un entrainement à I1, déjà, je n'en vois pas trop l'intérêt, et sur moins de 2h, encore moins !!! Bref, l'entrainement à jeun, à mon sens est une belle connerie.
  10. Rémy LORIOT

    BMC RM 01

    Te prends pas la tête. La taille BMC ne correspond pas aux mesures réelles. C'est un fait. Avant, sur le site, tu avais les côtes des modèles précédents sur un onglet "archives". J'avais remarqué, quand j'ai acheté mon Cannondale, que ce dernier, en 54, avait une géométrie plus compacte que le BMC RM01 en 53. Après, je pense qu'une EP est idéale pour être bien positionné sur son vélo, et permet quand tu changes de monture, d'être sûr d'être à nouveau bien posé. Sinon, pour le ressenti, c'est vrai que c'est un vélo qui a un excellent rendement, aussi bien en bosses que pour rouler (surtout là d'ailleurs). Par contre, au sujet de la descente, je ne connais pas les qualités de maniabilité du Foil, mais le BMC impose un calcul des trajectoires "au cordeau", à prendre en compte donc quand tu voudras "envoyer" dans ce secteur. Bonne route.
  11. Bof... la pipe, ça peut pas faire de mal...😇
  12. Bonjour. L'entrainement cycliste n'est ni une science exacte, ni un amalgame de recettes diverses. Il varie selon chacun, ses capacités, et ses objectifs. Tout d'abord, ce qui va suivre n'est que ma vision des choses, qui repose sur mon expérience, et celle que j'ai avec les juniors dont je m'occupe dans mon club. Bien sûr, j'ai essayé différents "modèles" avant de trouver ce qui me semble le plus efficace. Pour info, je cours en 2/3 FFC, avec quelques courses en 1°, et quelques cyclos. Pour te situer mon niveau cyclosportif, en 2014, je termine dans les 20 à la Vaujany, et dans les 130 à la Marmotte (avec une tendinite au tendon d'Achille qui se déclare dans les 3 premiers km du Télégraphe...). Comme cela t'a été dit plus haut, il est important de savoir ce qu'on veut préparer et d'établir un "programme" au moins dans les grandes lignes, pour dégager quelles seront les périodes où tu auras tes épreuves, afin d'essayer d'y arriver au max de tes possibilités. Un plan d'entrainement sert d'abord à ça. C'est bien plus intéressant que d'essayer d'atteindre un "certain niveau", et en plus, travailler pour des pics de forme permet d'élever son niveau. Mais, ce qu'il ne faut jamais perdre de vue, c'est que c'est la récupération qui permet la progression. L'entrainement cycliste repose en effet sur 2 principes généraux qui sont de stresser tes filières énergétiques, en travaillant tantôt sur l'intensité, tantôt sur le volume, puis d'alléger pour surcompenser. Ensuite, la performance cycliste, c'est d'abord la puissance. Et la puissance c'est force x vélocité. Plus tu es puissant, plus tu es fort. Mais ce n'est pas en se contentant de faire force/vélocité qu'on va arriver à être aussi puissant en intensité faible qu'en intensité élevée... Il faut donc bosser de différentes façons pour que le travail des 2 qualités fondamentales précitées soit efficace dans toutes les intensités. On lit souvent que l'essentiel, c'est de faire "du fractionné" ou "du seuil aérobie", "du seuil anaérobie" ou encore "de l'endurance". En fait, tout est important, et intéressant à travailler, mais selon tes objectifs, il sera plus intéressant de travailler une qualité plutôt qu'une autre, surtout selon l'évolution de ta saison. Tout en tenant compte de ce qui a été fait avant, et de l'état de forme. Ca s'appelle l'individualisation. Ainsi, une cyclosportive de montagne nécessitera de mettre l'accent sur les seuils, alors que pour une course de fédé façon vire-vire, on aura davantage besoin de développer les capacités de relance et d'intensités élevées. C'est volontairement schématique, mais ça donne une idée générale. Je construis donc mes entrainements sur des principes généraux qui sont les suivants. Au préalable, surtout si la saison a été longue et dure , il est important de lancer sa prépa en étant sur d'avoir récupéré physiquement et mentalement. Pas forcément obligatoire d'avoir coupé longtemps, mais il est bon d'avoir au moins observé une période de relâchement dans le volume, les intensités, l'hygiène de vie etc... pour "repartir" avec envie, motivation et que le corps soit suffisamment régénéré. 1) en première phase les capacités basiques de force/vélocité, de façon progressive dans l'intensité des exercice, pendant quelques(4 à 6) semaines, en allongeant progressivement la durée des sorties. Ce qui n'empêche absolument pas de faire des sorties en intensité de temps en temps. Ca permet d'éviter de trop se diéséliser. Et il n'y a aucune contre indication à faire des intensités assez rapidement après la reprise. Spécialement si la coupure a été brève. D'autant que les intensités peuvent se faire en vélocité, qui est souvent une qualité qu'on travaille en hiver. Avec en complément de la PPG, et un sport d'accompagnement (natation, aviron, CAP, surf...). 2) ensuite, tout en continuant d'augmenter la durée moyenne des sorties, axer sur le travail de puissance avec du travail par intervalles courts. Assez rapidement, coupler ce travail de puissance pure à du temps de soutien à intensité élevée. Dans cette période, on va être à 4 entrainements vélo, complétés idéalement par 2 séances de PPG et/ou natation. Une séance longue avec des bosses longues (où le seuil commence à être travaillé naturellement), une moyenne ou est un peu cool, 2 courtes où on travaille les intensités cibles selon l'évolution du programme. Je fais durer cette phase 4 semaines environ. 3) enfin, on passe dans la phase pré compétitive où les intensités courses deviennent prépondérante. Toujours 4 entrainements, voire un 5° "cool". Il va être là prépondérant de pouvoir préparer l'organisme à encaisser des épreuves plus ou moins longues à intensité élevée. Le travail par intervalles existe toujours, mais de façon moins spécifique, et toujours doublé de travail aux seuils. La force continue d'être travaillée naturellement, au travers des exercices d'intensité, notamment en bosses. Il n'est donc pas nécessaire de faire des séances spécifiques de ce côté là. Lors de ces 3 phases, il est important à chaque fois de bien veiller à respecter une certaine progressivité durant 3/4 semaines, tant en intensité qu'en volume, puis de faire la semaine suivant après ces cycles, une semaine allégée à 60% du volume et 70% de l'intensité de la plus importante. C'est là qu'on compense. On est alors "fin prêt" pour attaquer la phase de compétition, sachant que les premières compétitions ne sont pas nécessairement effectuées avec un niveau de forme optimal, et peuvent tout à fait être placées en fin du cycle pré-compétitif. La période a duré une quinzaine de semaines. A toi de voir donc, en fonction de tes objectifs. Ensuite, il est important de chercher à bien récupérer pendant des phases où il y aura les épreuves. La recherche de fraîcheur entre les épreuves est de rigueur. Là, pas de surcharge d'intensité ou de volume. Ensuite, pourquoi pas penser à programmer une mini coupure ( 4/5 jours de repos complet) qui sera suivie d'un mini cycle mixant des séances des cycles 2 et 3 avant d'attaquer une nouvelle phase compétitive. De plus, un "stage" 1 à 2 fois dans la saison, où le temps d'entrainement sera équivalent à 180% de la durée moyenne d'entrainement peut aussi s'avérer très bénéfique, spécialement 2 semaines avant l'attaque d'un cycle compétitif, et idéalement 3 semaines avant un objectif. A chaque fois, encadrer ce stage de 2 semaines "cool". Bref, tu l'aura compris, l'important, c'est la progressivité, l'absence d'exclusivité dans le travail, et l'individualisation. Et rester à l'écoute du corps pour ne pas se retrouver en sur entrainement, et se créer de pépin physique.
  13. Non mais ne te trompes pas. Je ne fustige pas l'équipe en tant que telle. Je trouve même que la structure "Vendée" dont elle fait partie est une structure sportive comme il y en a trop peu, qui vise essentiellement à promouvoir des jeunes locaux (ou du moins, du "grand Ouest" au sens large, de Dieppe à Hendaye). Je juge négativement certains "faits de courses" qui n'en sont pas et n'ont pas lieu d'être dans un peloton cycliste professionnel. C'est tout. Il est vrai que je n'aime pas Voeckler, et que je pense que l'équipe gagnerai beaucoup à son départ, mais je n'ai pas de problème particulier avec Europcar.
  14. Ben je ne sais pas si c'est normal, mais c'est un fait. Et c'est exactement comme la politique. Notamment dans le cas des décisions communautaires...
  15. Exactement. De la même façon, pour les dockers, pas de carte de syndicat, pas de travail. Le cas de l'Allemagne existe dans beaucoup de pays. Les accords ne sont pas des accords de branche, mais ne concernent que les adhérents. D'où le taux de syndicalisation bien plus fort. Je ne suis pas sûr que ça en fasse pour autant un meilleur système, notamment dans l'exemple des dockers US... Cet argument qui est de dire que "les syndicats ne représentent personne" est un pur mensonge. Il me semble d'ailleurs que c'est une attitude dangereuse de la part de la plupart de ceux qui le clament que de l'utiliser à tort et à travers, attendu que la plupart du temps, c'est l'argument d'élus de la République, ou visant à l'être... Mais, encore une fois, ils jouent (et ils ont malheureusement la plupart du temps raison) sur l'ignorance collective et l'abrutissement des masses, qui ne connaissent de l'info que le JT de TF1, entre le bigdil et le mauvais match de l'équipe de France de foot (ou Joséphine ange gardien)...
  16. Je ne te répondrai pas sur les cas particuliers. Le syndicalisme, comme beaucoup de choses, est l'affaire d'hommes, et donc varie beaucoup selon les cas. Qu'on parle de syndicat d'employés, de cadres ou de patrons, tout est en effet à géometrie variable. Il me semble important donc de ne pas tirer d'enseignement général à partir de cas particuliers. Ceci dit, je reviens sur tes propos d'un prétendu manque de représentativité des syndicats de par leur faible taux d'adhérents. Tu dis , à juste titre, que le taux de syndicalisation en France est de l'ordre de 7% (en fait, presque 8%, mais on ne va pas mégoter), loin derrière l'Allemagne, et même derrière les USA. L'organisation du droit du travail en France fait que les accords signés concernent toute la branche, et non les seuls syndiqués, à l'opposé de ce qui se passe en Allemagne (par exemple). Ceci est déjà un début d'explication. Vu d'un autre côté, quel est le taux de participation aux élections professionnelles ? Tu le connais ? Je crois qu'on en est à plus de 60%. Soit moins de 40% d'abstention, pas de non inscrits. Pour faire un parallèle, quel taux de participations aux élections politiques en général (de municipales à présidentielles) ? On est à moins de 60% en moyenne sur les 10 dernières années, soit plus de 40% d'abstention de moyenne. Sans compter les non inscrits, évalués à 15 % de la population adulte. Soit une abstention réelle de plus de 50% en moyenne sur les 10 dernières années. Et quel est le taux d'adhésion à un parti politique ? à peine plus de 1% de la population adulte !!! Pour autant, on n'entend jamais quelqu'un dire que c'est une bonne blague que 2 ou 3 partis politiques représentent tous les Français... Et c'est exactement la même chose. Bref, ton argument ne tient absolument pas.
  17. C'est ça... Ce qui n'enlève rien aux qualités des coureurs qui composent l'équipe. De Rolland à Sicard en passant par Gauthier ou même Reza, il est indéniable qu'il y a de la qualité dans l'équipe. Mais je trouve qu'agir de la façon que je cite, c'est galvauder le sport. C'est parodier le vélo.
  18. (réponse en retard) Loupé en course, ça m'est arrivé, ça continue et ça continuera sans doute. Entre mauvais choix et mauvais placements... Mais partir seul quand le coup est déjà parti depuis une plombe, pour le seul but de montrer le maillot, je n'appelle pas ça courir... Et même si faire de la pub fait partie des obligations, le but premier d'une équipe est de gagner... ou au moins d'essayer.
  19. Antagonisme non. Juste ne pas mélanger torchons et serviettes (attention, je ne dis pas qui sont torchons, qui sont serviettes, juste que ce n'est pas la même chose). Dire à des Luziens qu'ils sont Béarnais (ou à des Oloronnais qu'ils sont Basques), ce serait comme dire à des Nancéens qu'ils sont Alsaciens...
  20. http://lecamp.tv/recettes/item/braise-de-marmotte-a-la-moutarde ou alors http://www.envoiedugros.fr/wordpress/gastronomie/recettes-savoyardes ça a l'air très bon !!!
  21. 50/34, j'avais a sur mon 1° vélo de route. C'est tout à fait possible ! Ce n'est pas parce que Shim ne le propose pas (ce qui me semble curieux) que ce n'est pas possible.
  22. Justement, je te remerciais de ne pas avoir fait la confusion !😉 Adio !
×
×
  • Créer...