Ce garçon possède un talent et un sens de la course qu'il n'a pas à envier à son aïeul. Lorsque nous courions avec le dernier nommé, dans les années 50, ses jambes faisaient la différence, uniquement ses jambes bien sûr. Amateur, il était sympa, il était courtois, mais les conversations étaient vite limitées. Le gamin, lui, il court avec la tête. Ce ne sont ni Alaphilippe, ni Fuglsang, qui diront le contraire. Dommage qu'il est couru avec les tripes mais sans l'estomac pour le maillot arc-en-ciel.