Après, on ne peut pas obliger à tout le monde d'apprécier l'homosexualité. Je déplore que tout ce qui se déclare "lutte anti truc" bascule naturellement "pro truc" avec la police de la pensée qui déboule. Aujourd'hui, il faudrait presque dire qu'on trouve ça très cool pour ne pas passer pour un rétrograde. Non, les frontières doivent être respectées. Se faire respecter oui, agresser pour imposer non. Le débat doit rester vivant en toute chose, même si c'est parfois désagréable à entendre. Sinon, cela s'appelle une dictature de la pensée.