les « bonnes moyennes », surtout quand on en parle au bistrot et ici, ça n’est pas très parlant, et ça dépend si on a poussé…ou suivi
ça dépend de tellement de facteurs .
Tout d’abord les jambes et l’état de forme du jour.
Ensuite qui roule avec toi, combien de cyclistes prennent des relais, et comment s’est-on relayé (parfois du n’importe quoi 😮 ).,
Enfin le type de route, le revêtement (comme le dit Michel), les nids de poule, les nids d’autruche, tous les dégâts possibles stressant le groupe, les bordures coupant la vitesse (quand les pistes cyclables sont obligatoires et pas très adaptées aux cyclistes sportifs).
Rien de tel qu’une belle route en bon état avec peu de carrefours, sans pistes cyclables, et avec des copains qui coopèrent.
Le relief aussi, j’ai oublié d’en parler. 😁
Ce samedi justement, tout était réuni en théorie pour avoir une belle moyenne, imaginez, un tracé relativement plat vers Zolder en Flandre, plus de 10 cyclistes dont au moins 5 jeunes costauds, un dénivelé faible D+707, total 162 km , du vent au retour constamment. Ce qui nous a cassé le rythme et les jambes c’étaient les relances régulières car freinages dans les villages, freinages pour monter ou descendre sur les pistes, des virages à 90°, quelques travaux, les voie vertes lentes et dangereuses (étroitesse, piquets, piétons, branches et orties envahissantes. Un lot d’excuses…
au final les jambes bien fatiguées, et la moyenne à 31.5 « seulement ».
Avec un parcours purement routier, propre et plus ouvert, on aurait fait sensiblement mieux.
(P 174W et 196 pondérée)
c’est vrai, l’un de nous a 64 ans, forcément on doit temporiser dans les faux plats et les montées. Il reste tout de même costaud , et ne se plaint pas.