-
Compteur de contenus
2 919 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Galeries photos
Calendrier
Articles
Tout ce qui a été posté par Michel CREPEL
-
J'espère, j'apprécie lorsque ce sont les acteurs qui en parlent car évidemment, ce sont eux qui en parlent le mieux : Et ce même si nous avons eu des différents par le passé ! Je respecte tous les coursiers !😉
-
Justement, il le sait et accepte, c'est donc qu'il se sent capable de leur inculquer la méthodologie pour le passage des 200 bornes ! A moins que ne soit que pour la "fraîche" ! Et moi, la seconde solution me botte ! 😉😃
-
Il était une fois … le défi de Bernard Lecoanet. Quelle douce folie, quelle sourde extravagance, en un mot quelle mégalomanie peut amener un homme, fusse-t-il pugnace et «?abnégationiste?» invétéré à franchir le «?Rubicon?» à savoir, participer au «?Derby?». Bordeaux-Paris fut, à l’époque de sa splendeur, «?consensuellement?» considérée comme une épreuve atypique, certes, mais au-delà des clivages de pensées, cette randonnée, ô combien effrayante de plus de 600 bornes, sortie tout droit de l’abomination d’un journaliste de «?Véloce-Sport?» en l’an 1891, fut longtemps affublée du peu honorifique slogan de «?Course de la Mort?». Cette épreuve d’un autre âge prisée des jusqu’au-boutistes pédalant fut toujours l’apanage des besogneux de l’effort dans tout ce qu’il suggère d’excessif. Au-delà, des «?sautes ruisseau?» de renommés qui ont jalonné son palmarès, je me suis attaché à privilégier le témoignage d’un des sans grade qui concourt au sein d’un peloton prestigieux et, sans lesquels, Bordeaux-Paris ne serait pas devenue, au fil du temps, le rendez-vous incontournable des «?Forçats de la route?». Bernard Lecoanet a vu le jour à l’aube du second conflit mondial dans l’Est de la France. La situation économique dans les Vosges à l’aube des années 40 se trouve en plein marasme. L’industrie textile, fer de lance, de la région, depuis plus d’un siècle, est imperceptiblement mais inexorablement victime de la décolonisation et, par voie de conséquence, de l’importation, constante et à grande échelle, de coton. Les usines, hier opulentes, s’éteignent les unes après les autres, générant un chômage grandissant. C’est dans ce contexte de précarité exacerbée que l’insouciant Bernard s’emploie à apprendre les tables de multiplication ainsi que la conjugaison. Ajouter à cela, un père professeur qui dispense une éducation stricte voir rigoureuse pour ne pas dire spartiate, inhérente aux hommes de devoir de cette période noire de l’histoire, donne, plus que mille et un clichés éculés, un aperçu de l’atmosphère austère mais néanmoins heureuse dans laquelle baigne notre ami, surtout quand on est membre d’une fratrie de huit membres. A l’instar de tous les gamins de son âge en cette période trouble, Bernard est un passionné de la «?Petite Reine?». «?Gino le Pieux?», le «?Campionissimo?», «?Biquet?», le «?Boulanger de St Méen?» et autre «?Pédaleur de Charme?» bercent ses rêves les plus fous depuis sa plus tendre enfance. L’été, la TSF grésille au rythme des exploits de ces «?Géants de la Route?». Bernard, victime d’une conjoncture pour le moins précaire, née de cinq années de disette, exerce sa passion en façonnant et rafistolant de bric et de broc une vieille et misérable «?bécane?». Souvent en cachette du «?paternel?», qui voit d’un mauvais œil sa progéniture opter pour les chemins de traverse, le gamin doit exercer des trésors de roublardises afin de fuir le carcan familial et s’évanouir dans la campagne Dijonnaise, chevauchant fièrement sa monture. C’est à l’occasion d’une de ses escapades héroîques que Bernard allait contracter le feu sacré, pour la compétition tout d’abord, pour le «?Derby?», ensuite. En effet, déambulant sur les routes de Côte d’Or, département au sein duquel sa famille et lui avaient immigré quelques temps auparavant, l’intrépide garnement fut soudain aspirer par un groupe de cycliste qui filait bon train. A peine avait il eut le temps de se rendre compte qu’un peloton, en pleine joute, l’absorbait inéluctablement que Bernard tirait déjà des «?bouts droits?» en faveur de compétiteurs passablement à l’agonie. Après cinquante bornes de ce suave breuvage, les meilleures choses ayant une fin, Bernard, dans une demi-inconscience due à la jouissance de l’instant, s’aperçut qu’il était affreusement en retard et que le chemin serait long et semé d’embûches pour regagner ses pénates. Il fit, lors de ce retour imprévu, pour la première fois la connaissance de la «?Sorcière aux dents verts?». Victime d’une fringale carabinée et d’un vent de face opiniâtre et rebelle, le «?jouvenceau?» pédalant s’offrit, ce jour- là, une leçon de courage et de vertus des plus bénéfiques pour l’avenir. A 18 printemps, sevré de doutes et armé de certitudes mais aussi riche de ses erreurs passées, Bernard fait le serment de participer, un jour, à Bordeaux-Paris. En attendant et après avoir terminé troisième dès sa première compétition, il écume les courses de sa région et d’ailleurs pour devenir assez rapidement un excellent amateur (1470 compétitions, 530 places dans les 15 premiers, 6 victoires). A l’arrivée de cette première levée, le Vosgien se verra décerner une médaille, son premier trophée. Celle-ci trône toujours en bonne place dans son bureau tel un porte bonheur, témoin privilégié des sacrifices passés. Car si, le jeune Bernard a appris une chose, lors de ses pérégrinations prohibées, c’est que seul le travail en amont lui permettra d’assouvir son désir d’apprivoiser puis de dompter le «?Derby?». «?Monsieur Bordeaux-Paris?» à savoir, Bernard Gauthier, ne lui affirmera pas autre chose. Dessinateur dans un bureau d’étude, Bernard est un sportif accompli. Outre, sa passion sacerdotale pour la «?Petite Reine?», ce stakhanoviste de l’effort possède également des diplômes d’éducateur FFC au CREPS de Bordeaux (Ce qui lui permit de devenir entraîneur au VC Médocain du comité d’Aquitaine en 2006), des brevets de parachutisme, des médailles honorifiques décernés pour son dévouement à la collectivité et j’en passe. Cet altruisme tout azimut démontre, si cela était encore nécessaire, sa propension à dénicher des défis. Au printemps 1987, à l’âge de 48 ans, Bernard Lecoanet saute le pas. La Société du Tour de France lui adresse un bulletin d’engagement à l’épreuve Bordeaux-Paris 1987. «?Je n'ai pas hésité, en étant bien conscient que c'était un ''truc'' sans pareil. Si on y réfléchit un peu trop, on est capable de mettre le bulletin dans la corbeille. Pensez donc ! La super classique qui tue, un mythe !?Quelle gageure» s’exclame- t-il anxieux et excité à la fois. En effet. En outre, Bernard est devenu un régional en résidant, aujourd’hui, du côté d’Angoulême, passage obligé et emblématique du «?Derby?». Tout en sachant que le peloton principal était composé de «?sans grade?» comme lui, il ne pouvait s’empêcher de penser aux «?cadors?» auxquels il allait être opposé. Et cette situation, sincèrement, le faisait vibrer de tout son être. L’immense respect qu’il voue et éprouve toujours pour ses «?maîtres?» le transcende au plus haut point. Imaginez, Bernard Vallet, «?Gibus?» et Guy Gallopin, dans cet ordre à l’arrivée, que du beau linge. Ses craintes, en dehors de la cadence infernale que ne manqueront pas d’imprimer les «?pros?», sont plus d’ordre physique. Comment un coursier qui n’a que très rarement flirté avec les 260 bornes allait-il se comporter lors d’une épopée avoisinant les 620 kilomètres et dans quel état de fraîcheur apparaitra- t-il lorsque la course se débridera. Pas à la prise des entraîneurs, du côté de Châtellerault, par exemple. Effectivement, les organisateurs, privilégiant la formule «?Open?» ont dispensé les «?sans grade?» de ce numéro de funambulisme. Bernard Gautier, toujours «?Si l'on n'a pas fait le nécessaire avant, c'est l'abandon assuré ! Le dossard étant automatiquement enlevé, le coureur descend de machine et se retrouve dans la voiture balai ou peut être emmené par son directeur sportif.?» Bernard était angoissé à l’idée d’abandonner à Carbon Blanc ou Libourne comme certains membres, peu scrupuleux, de son entourage le lui prédisaient. Pourtant, il avait mis toutes les chances de son côté et n’éprouvait pas le besoin et encore moins le désir de servir, une nouvelle fois, la soupe à la «?Sorcière aux dents vertes?». Ainsi, il s’était rendu chez son médecin et s’était appliquer à suivre scrupuleusement toutes les recommandations et conseils de ses amis «?pros?». Il s’était de surcroît assujetti, dès janvier, à un entraînement drastique de trois sorties copieuses par semaine agrémentée de sections derrière «?moto?». Une assistance de deux véhicules, où figureront une partie de sa tribu, veilleront, nantis des yeux de Chimène, sur la progression du présomptueux mercenaires du macadam. Le départ était donné du côté de Lormont dans les faubourgs périphériques de Bordeaux. On assistait alors à une chevauchée nocturne. Le peloton en goguette, s’imposant un train de ''sénateur' du plus bel effet, emprunta alors la direction du nord-est. En traversant Angoulême, à plus de 40 km/h de moyenne et après une centaine de bornes, Bernard commençait déjà à se polluer l’esprit de questions pourtant maintes fois réitérées. Un exemple?: «?On m'a raconté que les abandons se faisaient souvent par KO avec chute dans le fossé ; on ne s’en rendait pas compte et en tout cas je cherchais à rester le plus longtemps possible vers l'avant de la course.?» Pas vraiment réjouissant au moment d’affronter la nuit et ses pièges insidieux. Toute la nuit du samedi au dimanche matin, les voitures suiveuses tentent d’éclabousser la chaussée de leurs falots vaporeux mais l’acheminement des groupes épars demeure incertain et emprunté. Aux abords de Montmorillon, Bernard est soudain surpris par le sommeil tout en pédalant. Moulinant de guingois, séquelles d’une fatigue avancée, Bernard laisse ses pensées vagabonder. C’est ainsi qu’il éprouve une immense amertume au fait de ne plus s’accoupler au burdin. Aussi, se remémore-t-il les années fastes de la prise des entraîneurs. «?A Châtellerault, sauter promptement dans la roue d'un entraîneur juché sur son derny, n’est pas une mince affaire pour qui n’est pas habitué à ce genre d’exercice périlleux. Se coller, se frotter même, prendre l’aspiration de l’engin motorisé pour se retrouver lové, abrité à 100% et ainsi donner le meilleur de soit même pour atteindre Paris dans les circonstances et conditions les plus optimales, voilà le défi qui attend les néophytes de l’épreuve.?» Hélas?! Bernard et son petit groupe aborde bientôt Ruelle sur Touvre et son ravitaillement salvateur. Il s’étonne de la présence de nombreux badauds venus les encourager à une heure aussi matinale. Même les boulangers délaissent un bref moment leur pétrin pour sacraliser l’instant. Ca fait chaud au cœur, pour le moins trépidant, de notre ami. Tous crapahutent désormais entre 40 et 50km/h, seuls les «?cadors?» s’escriment un ton au-dessus. Les écarts sont déjà abyssaux mais là n’est pas le souci pour les «?fantassins?». Bernard, pour sa part, s’était arrogé le droit à la prudence afin de ne pas, comme de coutume, aborder les côtes et «?raidars?» du parcours à fond les calles. C’était son péché mignon or, aujourd’hui, il n’avait pas l’intention de se cramer et d’arpenter seul le no man’s land de la Beauce voir l’opacité des forêts alentours. Il faut bien avouer qu’aux deux tiers du parcours, les abris sont rares et tout aussi rares les copains qui désirent servir de cobaye à leur prochain. Le vent de face est le pire ennemi d’un «?saute ruisseau?» au bout du rouleau et les plaines, théâtres des ultimes sacrifices des rescapés, regorgent de rafales revêches et assassines. Les bordures et éventails générés par ces situations climatiques font et défont les essaims de coureurs à loisir. Bernard, dans ce contexte, ne faillit jamais. Le bougre, prend les relais, relance, encourage tel un vieux briscard. C’est Bernard Gauthier qui lui a dit?! Respecter ses adversaires, faire preuve de solidarité dans l’adversité car tous, à ce moment de la course, sont passablement entamés nerveusement et surtout physiquement. Des moments de doutes, comme les copains, Bernard n’en a pas été avare?: «?J’ai eu par moments de véritables blocages et je commençais à entrevoir ce que signifiait ‘’la course qui tue’’ en coinçant toutes les demi-heures et bizarrement par vagues successives.?» ou encore?: «?A la faveur du lever du jour, les professionnels attaquent car pour eux il s‘agit de remplir un contrat, leur contrat. Le plus mauvais moment pour moi en tous les cas. On doit s'accrocher et on se sent seul au milieu des autres. On m'a raconté plus tard que les voitures affichaient entre 50 et 60 kilomètres par heure. Le passage du sommeil vers le réveil s'est fait dans un laps de temps trop court à mon goût ! C'est la course et pédalage oblige. J'ai quand même encore envie d'abandonner et je me demandais bien ce que pensaient les autres à cet instant ô combien fatidique. Je ne dis rien et tant pis si je commence à subir. Pensant toucher le fond, je regarde les autres de tous gabarits et je vois qu'ils souffrent aussi ; ce genre de chose ne trompe pas. Bon je continue.?Bernard Gauthier m’avait dit : à la fin les jambes tournent toutes seules bien qu'on ne peut plus rien avaler ! Je commençais à m'en rendre compte pour mon plus grand plaisir.» A 100 bornes de l’arrivée, plus question d’absorber du solide, la déglutition devient impossible mais l’approche du final aide à faire abstraction de beaucoup de choses. En passant chez la «?Pucelle?», les «?bagnards de l’asphalte?» changent de fripes et exhortés, choyés puis propulsés par des bras vigoureux mais ô combien compatissants, reprennent leur chemin de croix. La signalisation est obsolète et les carrefours se franchissent, nez dans le guidon sous le regard bienveillant d’une police nationale qui veille au grain malgré une désinvolture d’apparence de bon aloi. Plus ils convergent vers Paname, plus les rangées d’?«?aficionados?» se densifient et s’épaississent. La rançon de la gloire, ceci dit en toute humilité. Ces «?grognards?» sont des privilégiés malgré la douleur qui les étreint. Leurs membres sont meurtris, leurs muscles carbonisés et leurs crânes conjuguent avec parcimonie un enchevêtrement de pensées hétéroclites et recèlent même parfois des variantes «?suicidaires?». Une ambulance file à vive allure. Une infirmière, cheveux au vent, s’enquiert de la bonne santé de notre «?Spartacus?». Ce dernier se fend d’un «?j’ai mal au dos?!?» débonnaire sitôt réprimé par la remise in extenso d’un cachet réparateur, avalé, tout aussitôt, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. La fin de parcours accidenté et plus que tourmenté ne donne nullement l’envie de terminer en roue libre. La côte de Nogent est là pour rappeler à Bernard que la course est terminée sitôt la ligne d’arrivée franchit, et surtout pas avant. Lors de l’ascension de cette dernière, il est surpris par les pavés sablonneux. Sa roue arrière entame une «?salsa?» de choix, de courte durée, néanmoins. Après ce patinage en règle, le Vosgien recolle à son petit groupe mais non sans avoir fourni un effort gargantuesque. Dans un état de «?semi-coma?», Bernard se laisse aller à des pensées régénérantes, telles?:?«?J'avais fait une promesse à mes suiveurs, si je finis, je vous paie le restaurant à l’arrivée. Sans eux, cela eût été mission impossible ! Ils le méritaient bien en me faisant confiance ! Mais s'il avait plu………. ??». Le panneau Fontenay-sous-Bois apparaît alors comme une délivrance. Le speaker vocifère tel un damné et scande à l’unisson les noms du maigrichon groupe de rescapés auquel Bernard appartenait depuis un long moment déjà. Le mot de la fin à Bernard Lecoanet?: «?Derniers efforts pour un public «?parisien?» des plus chaleureux et on termine à petite vitesse les ultimes hectomètres, avant de passer pour de bon la banderole d‘arrivée. En descendant de vélo, la ligne franchie, on s’étonne de pédaler en marchant, incroyable mais vrai ! Retour à la maison, le lundi au petit matin, fatigué mais satisfait. Ayant participé aux deux dernières éditions open 1987 / 1988, je dois dire que ce fut un ''truc'' vraiment spécial. En arrivant à Fontenay-sous-Bois après dix- neuf heures de selle, je crois avoir vécu une des courses les plus folles de ma carrière de coureur cycliste. J'ai gardé précieusement le classement paru dans «?L'Équipe?» et le diplôme de la société du Tour de France, parce que je savais que l'épreuve allait disparaître définitivement et que je ne me sentais pas capable de recommencer ( J'avais reçu un courrier de J.F.Pescheux nous indiquant que l‘organisateur venait de supprimer l‘épreuve). Ce lundi a été le «?jour le plus long?» car je suis parti travailler comme d’habitude….. La direction m'avait refusé un jour de congé ! Si Bordeaux-Paris ne tue pas forcément les coureurs, cette course pourra-t-elle un jour ressusciter ??» C’est tout le mal que l’on peut souhaiter à ASO. Le «?Derby?» est par essence l’épreuve de tous les excès. Les drames et les exploits jalonnent sa légende. «?Maître Jacques?» y a réalisé une de ses plus extraordinaires prouesses en 1965. Bernard Gauthier et Herman «?Buster Keaton?» Van Springel demeureront à jamais les symboles de l’âpreté d’une course acariâtre à nulle autre pareille. Je rends, ici, un hommage vibrant à un ami qui s’est accroché, comme un aliéné, à son rêve utopique. Mais utopie ou chimère ne rime aucunement avec «Nanard» Lecoanet! Michel Crepel
-
Pas de medailles pour la france aux mondiaux???
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Christian PERU dans Discussions Route
Pas faux, "Danilo", le Tour est une "vtrine" aux vitres déformantes, un peu comme au Musée Grévain, par exemple ! 😃😉 Pardon, c'est pas drôle ! -
Pas de medailles pour la france aux mondiaux???
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Christian PERU dans Discussions Route
Je suis un gros néophyte, c'est vrai, mais je me suis laissé dire qu'un certain "Mimosa" allait tout péter en l'absence de Cancellara, Wiggins et Froome ? C'est vrai en France on est baleze en calcul ! On prend le chrono du Tour et on ôte les absents, fastoche ! Alors, si tu ôtes Wiggins, Froome et "Cancel", il ne reste plus que Tejay et "Mimosa" dans l'élan trompeur du chrono par équipe devtait être Champion du Monde de la même manière qu'il devait être ceint de laurier il y a un mois ! Résultat ? 28ème aux JO et 15ème aux Mondiaux ! Certains devraient trourner plus souvent sept fois la langue dans la bouche de leur copine respective avant d'avancer des inepties. 😉 Chavanel un "super cador" en contre-la-montre, cela se saurait depuis le temps, non ? -
😉
-
Ha ha ha pardon l'Eneco cette épreuve incontournable digne des plus grandes courses de par sa topographie accidentée au possible, ses cols infranchissables, sa participation hors norme et sa durée extraordinaire. En une semain ici, à Valkenburg, il en aura fait deux fois plus que lors de cette épreuve légendaire, "MImi" ! 😉
-
C'est une mascarade cette épreuve ! Même le vélo a besoin de courses pour "people", c'est navrant ! Ils suppriment les 100 bornes par équipes nationales, la poursuite par équipes nationales et nous fourguent un "petit" chrono par équipe de marque à l'issue duquel personne ne pourra être ceint du maillot irisé. En outre, ce chrono ne rime à rien avec toutes les absences et les forfaits, absurde !!! Que ce soit Chavanel ou Tartempion c'est pas très significatif ! En outre ce derner se repose depuis son abandon au Tour. 😉
-
Je me trouvais à l'Ile d'Oléron, lorsqu'il a été Champion de France en 1967, avant de .... ! Bizarrement, les "France" étaient au mois d'août. Il participa au Tour avec la formation des Bleuets ! D'ailleurs c'était assez osé de monter une équipe de France avec "L'échassier" et deux autres, "Bleuets" et "Coqs" avec des "Damiers" tels Letord, Delisle ou Raymond ! Tour 1967: Roger PIngeon champion consensuel. Bien des interrogations subsistent après le triomphe inespéré car inattendu de Lucien Aimar lors de la Grande Boucle 1966. Hissé à bout de bras au sommet de la pyramide de la notoriété par son leader initiatique Jacques Anquetil, il n'en demeure pas moins vrai que le méridional a assumé, nanti d'une grande et étonnante maîtrise à la suite de l'abandon du Normand, son nouveau rôle de rassembleur. Invariablement, depuis cinq saisons, Jacques Goddet et Félix Lévitan ont cru déceler chez une grande majorité du public un certain agacement à la reconduction immuable des formations de marques. Aussi, ces deux adeptes du consensus s'apprêtent ils à adopter une politique qui, dans un passé récent, s'est avérée génératrice de conflits belliqueux. Mais pour être tout à fait honnête, il serait, néanmoins, réducteur de ne pas mentionner et omettre, par la même occasion, les effets bénéfiques engendrés par les équipes nationales lors des Tours de l'après guerre et du début des années 50. Toujours est il, que la charge incombant à Marcel Bidot, promu, en ce début d’été 67, directeur en chef de l'Equipe de France, s'annonce des plus improbables. En effet, le Champenois se trouve confronter à un dilemme cornélien. Devant, dans l'urgence, tenter de faire cohabiter des coureurs dont les "patrons" respectifs et habituels se retrouveront aux commandes de formations adverses, sa marge de manoeuvre devient, de ce fait, d'une faiblesse et d'une minceur déprimante. Excepté, Antonin Magne qui s'est désisté, les deux plus grands managers des deux plus importantes écuries de l'hexagone, Raphaël Geminiani et Gaston Plaud, ont?, en effet été élus pour administrer les destinés des Bleuets et des Coqs de France. Lorsque l'on sait que Lucien Aimar, pour BIc, et Roger Pingeon, pour Peugeot, représentent, en compagnie de Raymond Poulidor, le triumvirat incontournable et gagnant de l'équipe de France, on est en droit de subodorer les cauchemars qui ne manqueront pas de tourmenter les nuits agitées de ce malheureux Marcel Bidot. Finalement, seul notre "Poupou" national se retrouvera orphelin de "Tonin" et ce sera une première pour le Limougeaud. Une innovation vient, en outre, alimenter les chroniques de la cohorte de journalistes. Ces détracteurs invétérés, réfractaires à toute mutation ponctuelle, car édictée par les "boss" sans concertation préalable, n’apprécient guère ce hors d’œuvre des plus folkloriques. Malgré leur aversion supposée, le prologue était né. L'idée de cette brève mise en bouche musclée a germé dans l'esprit vif et inventif de l'organisateur de la "Course au Soleil", Jean Leulliot. Le directeur du journal "Route et Piste" et accessoirement précurseur, il y a un demi-siècle, du "Tour Féminin", a eut vent de l'instauration, par le démagogique et ambitieux Vicente Torriani, d'un "Sprint du Centenaire" afin de marquer, de son empreinte, le cinquantième anniversaire de "son" Giro. Une malencontreuse manifestation de tifosis récalcitrants viendra, cependant, mettre un terme à une expérience qui, depuis lors, ne cessera de figurer à l'ouverture des Grands Tours et autres épreuves d'une semaine du cyclisme moderne. La hiérarchie qui émanera du prologue, estimait on dans les hautes sphères, devrait permettre de dégager un premier nivellement des valeurs pas le bas. Dans cette optique les commentaires et pronostics vont bon train et Raymond Poulidor semble bénéficier des faveurs de tous, suiveurs, journalistes, partenaires et adversaires inclus. En effet, le tracé devrait convenir à merveille à ses aptitudes et à sa polyvalence coutumière. Le prologue puis l'acheminement du peloton en direction des pavés du Nord est loin de rebuter un "Poupou" qui a énormément progressé dans ces secteurs de la course tout en conservant sa dextérité montagnarde. Désagréablement surpris par l’Espagnol José Maria Errandonea, lors du prologue d'Angers, le résidant de Saint Léonard de Noblat ne s'en retrouve pas moins en position idéale au soir de l'étape qui empruntait le final de l'"Enfer du Nord". Installé dans le sillage direct, au général, du "Professeur" Jan Janssen, Poulidor s'est rarement trouvé en si avantageuse posture. L'incursion en Belgique, le lendemain, allait mettre un frein à l'enthousiasme ambiant. Roubaix - Jambes, cent soixante quinze bornes d'une demi étape nerveuse jalonnée de pavés et de routes étroites propices aux échappées fleuves et traquenards de toutes sortes. Un groupe d'une quinzaine d'homme fausse compagnie à un peloton apathique et prudent au premier tiers de la course. Parmi les fuyards figurent de sacrés clients tels le Belge Rik Van Looy, les Français Raymond Riotte, Guy Ignolin, Désiré Letort, Roger Pingeon et le Champion de France Jean ClaudeTheillère, l'italien Giancarlo Polidori et l'Espagnol Fernando Manzanèque. Peu après la mi-course, le groupe de tête possède déjà une marche de manoeuvre conséquente de l'ordre de plus de trois minutes sur un peloton, apparemment moribond mais habité d’une confiance déconcertante. Il est vrai, pour leur défense, que les principales nationalités étaient représentées à l'avant. Pourtant un homme, aux commandes de la course, ne se satisfait nullement de l'évolution de la situation, et il le montre. A la faveur du Mur de Thuin, Roger Pingeon place une mine qui, immédiatement et brutalement, aura raison de la timide réaction de ses compagnons de fugue. L'Echassier" est en train de s'offrir un raid en solitaire de plus de soixante bornes en terre hostile. A l'arrivée, devant une foule incrédule, le Français hilare devance ses poursuivants, et anciens camarades de sortie, scindés en deux groupes, de une trente, et deux trente. Le peloton où figure tous les autres favoris déclarés franchira la ligne d'arrivée de Jambes à plus de six minutes de "La Guigne". Roger Pingeon rayonnant et facétieux dépossède le Belge Joseph Spruyt, futur fidèle et dévoué du "Cannibale", de sa rutilante tunique jaune. L'après midi, consacré à un contre la montre par équipe, verra les représentants d'outre Quiévrain sauver la face en remportant l'épreuve devant l'équipe de France et la formation Néerlandaise. Dix secondes de bonification de plus dans l'escarcelle et voilà le coureur d'Hauteville nanti d'un matelas de minutes appréciables sur ses adversaires escaladeurs. Ce crime de lèse majesté aura, au moins, eu le don de faire exploser le triumvirat et, par conséquent, de redistribuer les cartes dans la perspective éventuelle du choix d'un leader. Raymond Poulidor, une sempiternelle fois piégé, et Lucien Aimar, un brin désinvolte, se retrouvent, tout de go, auréolés de l'étiquette peu flatteuse d'équipiers de luxe. S'en accommoderont ils ? Toute la question est résumée dans cette simple interrogation ! En attendant, l'"Echassier" à damier, peut parader. En réalité Roger Pingeon est un coureur méconnu car d'une extrême discrétion. D'une timidité maladive, il n'a pris conscience de ses énormes possibilités que lors de ce Tour 67. Excellent rouleur, comme le démontre son escapade "Jambienne", la "Guigne" s'avère être, en outre, un escaladeur émérite, doté d'une grande faculté d'adaptation aux circonstances de la course. Un soupçon querelleur, c'est un soliste qui dédaigne, trop souvent diront certains, le travail d'équipe. Introverti, jusqu'aux bouts des orteils, il lui arrive, paradoxalement, d'"échanger le coup de poing" avec des partenaires tel le Normand Raymond Delisle, coupable selon lui, de trahison. Lauréat d'une Vuelta (1969) devant un certain Luis Ocana, Roger Pingeon aurait fait, sans ses atermoiements répétitifs, un fringant alter ego d'un Louison Bobet, triple vainqueur de la Grande Boucle. L'étape du Ballon d'Alsace coïncidera avec le retour en grâce d'un Lucien Aimar irrésistible, comme à ses plus belles heures. Vainqueur en solitaire, le Hyèrois, a, par sa chevauchée solitaire, définitivement et involontairement, anéanti les dernières illusions d'un Raymond Poulidor à l'agonie dont le débours avoisinera les douze minutes au sommet du géant Vosgien. A défaut de victoire finale à Paris, le Limougeaud se promet de faire cause commune avec l'ancien plombier zingueur afin de lui permettre de caresser le rêve que lui n'a, encore jamais pu concrétiser. Lors de l'étape suivante, qui menait les coureurs à Divonne les Bains, Roger Pingeon démontra un certain panache en s'adjugeant une vingtaine de secondes supplémentaire sur ses principaux adversaires. S'extirpant du peloton dans la descente des Rousses, flanqué de Mugnaini, Reybroeck et Letort, l'"Echassier" se lança à la poursuite d'un groupe de fuyards sorti à la faveur de la dernière difficulté de la journée. Le regroupement effectué dans la vallée permit à Guido Reybroeck de s'offrir le bouquet du vainqueur et à Pingeon d'asseoir, un peu plus encore, sa main mise sur l'épreuve. Il faut bien avouer, cependant, que la route s’avèrera encore longue et truffée de pièges jusqu'au Parc des Princes. Après avoir dompté les pavés du Nord, les Vosges et le Jura, se profilaient déjà les hautes cimes Alpestres. Puis comme l'appétit vient en mangeant, les rescapés de ce Tour 67, terriblement inhumain de par son tracé, grimperont le "Géant de Provence", traverseront le massif Pyrénéen, en empruntant ses cols légendaires, et enfin se mesureront aux pentes surchauffés du "Volcan Auvergnat". Une sinécure qui rebuterait nombre de nos coursiers contemporains. Les Alpes et le Galibier furent un véritable cauchemar pour ce fils de viticulteur. Attaqué de toute part, il ne pu que s'incliner face aux assauts, maintes fois réitérés, de l'Espagnol Julio Jimenez et du "Bergamasque". Raymond Poulidor, un moment en compagnie de Félice Gimondi, passablement éreinté se laissa volontairement décrocher pour se porter à la hauteur de son leader. Aidé, en outre, par André Bayssière des Coqs de France de Gaston Plaud, le trio s'achemina cahin-caha vers Briançon sans trop y laisser de plumes. Pour la petite histoire, Gimondi précèdera Jimenez pour la victoire d'étape près de trois minutes devant nos héros. Le Mont Ventoux, qui suivra deux jours plus tard, donnera lieu à la tragédie dont nous portons, encore aujourd'hui et sans doute à jamais, les stigmates indélébiles et qui n'est pas utile de narrer ici (voir article sur le "Major" ndrl). Sachez, simplement, que l'ascension fut dantesque animé par un Gimondi virevoltant, un Jan Janssen surprenant et un Roger Pingeon opiniâtre et appliqué. Raymond Poulidor, en délicatesse, c'est Lucien Aimar qui s'y colla et en compagnie de Désiré Letort hissa l'"Echassier" au sommet du "Mont Chauve" dans le même temps que ses adversaires patentés. A propos du "Bergamasque", il n'est pas vain de rappeler que celui-ci venait de triompher de haute lutte de son premier Giro. Ce qui démontre l'étendue de la classe du "bonhomme". Après une attaque en règle des Ibères, Manzanèque et Jimenez, lors de l'étape de Luchon, les Français, unis et solidaires comme rarement, parviendront à sortir des Pyrénées sans trop de perte. Nanti de deux minutes d'avance sur Julio Jimenez, Roger Pingeon peut se permettre, alors, de savourer enfin la vie en jaune même si l'épouvantail Puy de Dômes et ses pentes abruptes, ses lacets tourmentés, ses pièges insidieux, reste encore au menu du peloton. La Formation de Marcel Bidot semble parée à toute éventualité, en outre l'apport gracieux de membres des Bleuets et des Coqs de France, qui à longueur d'année oeuvrent pour le maillot jaune, est un gage supplémentaire de sérénité. Le festival du "Bergamasque" sur les rampes de l'abominable volcan est certainement, en dehors de la probable victoire finale de Pingeon, l'exploit le plus retentissant de cette Grande Boucle 67. Le Lombard, au sommet de son art, pulvérise partenaires et adversaires pour s'octroyer une victoire de prestige au sommet du monument Clermontois. Avec une avance océanique de quatre minutes et cinquante secondes sur son dauphin du jour, l'épatant Limougeaud Henri Rabaute qui, lui coiffe Jimenez d'un souffle, et plus de cinq minutes sur un duo composé d'un Poulidor, requinqué, et d'un maillot jaune éreinté mais ô combien soulagé, Gimondi peut nourrir de légitimes regrets. Harassé, en début de Tour, par les retombées d'un Tour d'Italie seigneurial puis victime d'une intoxication alimentaire lors de l'étape de Luchon, Félice Gimondi nous laissera pourtant un goût d'inachevé. On peut, en effet, supposer que le Transalpin en pleine possession de ses énormes moyens aurait été d'une tout autre consistance pour le Bugiste et que cet état de fait n'en aurait été que plus révélateurs des indéniables mais controversés capacités de ce dernier. La remontée vers la capitale ne bouleversera aucunement une hiérarchie bien campée et Raymond Poulidor, tel "monsieur loyal" qu'il est devenu puis demeuré malgré une amertume tenace née de ses déboires passés, clôturera ce Tour de France de fort belle manière. Dans un Parc des Princes, archicomble et enthousiaste, voué à la démolition imminente, l'idole de tout un peuple remporte le dernier chrono de l'épreuve, vingt cinq secondes devant le "Bergamasque' auteur, lui, d'une fin de Tour époustouflante et quarante cinq secondes sur l'"Echassier", tout de jaune vêtu, et emprunt d'une joie non dissimulée du plus bel effet. La Formation Française ne fera pas preuve, hélas, du même état d'esprit, la saison suivante, en se sabordant insidieusement et honteusement au profit d'un "Batave à Lunettes", routier sprinter de son état. Quel gâchis ! Michel Crepel
-
Prono Vuelta: classement finaux
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Les pronostics
Te souviens tu de l'émail du mois de juillet ? 😉 -
Vuelta 2012: prono n°10
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Les pronostics
Ou là, j'allais oublier de poster ! Si je souhaite qu'un garçon remporte cette étape, "Mimi", c'est bien l'ami Thomas de Gendt ! Ne serait ce que pour la copie rendue lors de cette Vuelta où il a été omniprésent et à la planche presque chaque jour ! 1 A Contador 2 A Valverde 3 J Rodriguez 4 I Anton 5 N Quintana -
Vuelta 2012: prono n°9
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Les pronostics
1 J Degenkolb 2 D Bennati 3 G Meersman 4 A Davis 5 B Swift 6 E Viviani -
Le Tour de France est plus dur que la Vuelta
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
Certainement ! je loue les qualités hors norme de rouleur du Britannique ! Sastre, à l'instar d'un Peirero voir d'un Evans ont profité, avec raison, de l'absence cruelle d'un "fluoriclasse" ! 😉 -
Sans doute, mais chaque organisateur concocte une épreuve en fonction des us et coutumes locales. Ainsi, on ne verra jamais de col au Tour de Belgique excepté le col d'une bonne blonde au zinc d'un estaminet ou bien le col de chemise de "Mimi" Roth convié au mariage d'un de ses "potes". Maintenant, il est vrai que trop de montagne tue la montagne mais il est à noter également que trop de prudence par manque d'audace instaure l'ennui et le désintérêt !😉
-
Salut "Mimi" ! Hier, les descentes vertigineuses et dangereuses du Giro, aujourd'hui les montées infernales et assassines en pourcentage de la Vuelta, à quand les plats désuets, anachroniques et en un mot, un seul, chiants, de la Grande Boucle ? Je suis tout ouie ! 😉😃 Et ce même si ce n'est pas faux mais peut être un soupçon existentiel, non ?
-
Alberto CONTADOR est un SEIGNEUR
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Laurent GAUTHIER dans Discussions Route
En effet, lorsque le seuil de positivité n'est pas atteint je ne vois pas pourquoi on n'en parle d'ailleurs, parle t'on des familles en dessous du seuil de pauvreté ? Non, tout le monde s'en tape et les "politiques" prioritairement, sinon à quand une annonce d'un "gus" qui s'est pris un jet de "croquignol" dans le fion mais qu'on annonce non positif car le dit jet était sous le seuil de la positivité ? C'est la dénonciation à tout va, l'anarchie !!😉😃 -
Vuelta 2012: prono n°8
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Les pronostics
1 J Rodriguez 2 A Contador 3 A Valverde 4 D Moreno 5 I Anton -
Le Tour de France est plus dur que la Vuelta
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
Ta plus belle course du monde a accoucher du vainqueur le moins "bandant" de la planète !!!!😃😃 -
Le Tour de France est plus dur que la Vuelta
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
Je savais, bien évidemment, que tu aimais les trois, mais je pensais que tu aurais plus de monde pour te répondre, c'est pourquoi j'en ai mis une tartine pour faire avancer le "smilblick", en vain !😉😃 -
Le Tour de France est plus dur que la Vuelta
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
A propos pour Johnny et Brel c'est une image ! Un Johnny au "France" c'est le Tour en juillet avec tout ce que cela comporte de publicité, d'aura médiatique et tout le tralala, Un Brel chez Coquatrix, c'est le Giro et la Vuelta, parents pauvres, en "médiation des masses" mai et septembre, pas grand monde à motiver pour si peu de place, en outre. Songes maintenant à Brel au Stade de France et Johnny à l'Olympia.........😉 -
Le Tour de France est plus dur que la Vuelta
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Michel ROTH dans Discussions Route
En effet, "Mimi", il y a également des "pèlerins" qui raffolent d'écouter "Johnny" au Stade de France devant 100 000 "Péquins" déchaînés et moi qui préfère "voir" Jacques Brel, en petit comité, à l'Olympia ! PS : Wiggins s'est "baladé" sur le Tour alors qu'il a fini "muerte" sur la Vuelta l'an dernier. Perso, je ne me permettrai pas de juger aucun des trois Tour mais il est indéniable que je me sens beaucoup plus serein, affable et enjoué lorsque je suis devant le Giro et la Vuelta ! Enfin, les écarts de temps que tu proposes ne tiennent pas la route lorsque tu sais que sur le Tour, tu as 50 bornes de clm plats comme la main qui avantage évidemment les rouleurs qui creusent alors des écarts abyssaux. Mets un 3ème catégorie et les écarts se ressereront à l'image de ce qui s'est passé sur la Vuelta. Le terme passion est largement galvaudé ! Le Tour n'a pas été plus passionnant que le Giro ou que la Vuelta, disons qu'il été terne comme d'hab depuis un certain nombre d'années. De suspens, il n'y en eu point ! Et le suspens génère de la passion c'est élémentaire, mon "Mimi", alors ? Enfin le Tour s'est aussi déroulé en l'absence de coureurs de talent tels Contador, Rodriguez, Valverde, en forme, Gesink sans pépin, Moreno, Anton, les Schleck, Scarponi et Basso sans le Giro dans les pattes, Hesjedal, Evans sans problèmes viraux ...... Tu sais on m'aurait dit, il y a 20 piges qu'un garçon tel que Wiggins, un jour remporterai un grand Tour, j'aurai pissé de rire !😉😉 Bonne fin de vacaciones "Mimi" ! Amitiés -
Vuelta 2012: prono n°7
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Les pronostics
1 J Degenkolb 2 D Bennati 3 N Bouhanni 4 G Meersman 5 E Viviani -
Vuelta 2012: prono n°6
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Les pronostics
1 C Froome 2 T Martin 3 A Contador 4 R Gesink 5 A Valverde -
Prono Vuelta 5: classement
Michel CREPEL a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Les pronostics
Tu vois Bertrand, le pire est que j'étais sur que Gilbert la remporterait celle-ci ! C'était écrit !!!! ha ha ha La preuve ? La voilà ! http://www.***.net/article?sid=68532 -
Je souhaite pour toi que tu connais le sens du tezme "Acocat du Diable" ? Lorsque tu auras percuté le sens de ce dernier et bien tu auras une petite idée de certains de mes propos acerbes. 😉 Maintenant il est vrai que démagogie et hypocrisie ne font pas partie de ma panoplie.