Maurice AUTOBUS

Chamallow power....

Ben si, ça a fonctionné pour moi. J'ai du relancer plusieurs fois, mais ça a fini par marcher, sur le premier lien je crois...

Tu t'ennuies le dimanche ? Il existe des solutions... https://videosdecyclisme.fr

Ca ne vaut peut-être rien comme idée, mais j'ai parfois eu des trucs bizarres avec des Garmin (mes deux premiers) selon le cable usb que j'utilisais. En changeant de cable (fallait parfois en essayer plusieurs), ça redevenait normal. Quelques errements aussi, dus aux contacts qui se salissent (pluie, boue). Un coup de bombe "nettoyant contacts" suffisait généralement à résoudre le pb.

Salut Y'a peu de choix. J'ai trouvé un fabricant qui me convient, c'est Spécialités TA, gamme Zéphyr. Ca descend jusqu'au 33 externe en 5 branches (110). C'est pas cher, tu peux remplacer souvent, ce qui est nécessaire vu l'usure rapide en gravel. C'est indiqué 9/10 vitesses, mais ça fonctionne sans pb sur du 11. Tu trouves ça, notamment, chez le vendeur en ligne dont le nom commence par Matériel et finit par Vélo... Juste pour poursuivre sur le braquet idéal, j'ai rencontré les mêmes limites que toi dans les raidards sur chemin irrégulier J'ai coincé parfois en 34/36, sans même avoir mis les roues à la montagne. L'an prochain, je monte un pédalier de VTT pour le très dur ou le bikepacking.

C'est pour courir ou faire du chemin dans l'esprit gravel ? Enfin quelle que soit la réponse, un 53 n'a aucun intérêt. En course, le plupart aujourd'hui sont en monoplateau et les couronnes sont 38-40 ou 42 selon les coureurs. Pour ceux qui ont du double, il y a effectivement le 46-36 monté en série sur les vélos. Ca va pour un bon coureur, mais tous les "modestes" sont plutôt en 34/42. Pour du gravel, après plus de 20 000 bornes en 3 ans, je réduis peu à peu les braquets. Mon grand plateau est un 44 en été, un 40 en hiver. Ca me suffit largement pour faire du 32/34 km:h en vitesse de croisière sur la route vent dans le dos. Le reste du temps, sur la route, je récupère, je n'ai pas envie de faire le malin tellement c'est dur.

C'est le lavage. Faut pas en abuser...🆒

C'est juste un chemin de terre large avec de l'herbe au milieu 😆. La majorité des chemins carrossables en fait. En fait, je précise, parce que ça s'oppose souvent à la notion de single (donc monotrace) qui est le must pour un vététiste... mais pas pour moi. Même si je ne les refuse pas quand ils se présentent. Je rebondis sont ta conclusion liée aux chaussures. Je suis surpris que tu ne sois pas déjà en chaussures et pédales VTT. En partant à l'aventure, il y a toujours un moment ou on finit par marcher : chemin impraticable, mur à 20 % sur de la caillasse instable et autres surprises du genre.

33 Tubeless aussi, mais j'ai mesuré 35 réels (vittoria terreno dry maintenant et wet en hiver). Ca me suffit largement. Je ne suis pas attiré par des pneus de 40 ou 45, comme c'est la tendance. Pour faire quoi ? Dans ma pratique, je prends majoritairement du chemin rural "double trace" ou du chemin calcaire. Ensuite de la route. Ensuite seulement du single roulant. Et enfin des chemins compliqués. Je choisis mes pneus en fonction de la majorité de mes parcours et non pas en fonction du plus difficile. Si parfois c'est trop compliqué, je passe à pied, mais c'est toujours bref. Un gros 33, c'est le parfait compromis pour moi. je préfère jouer sur la pression de gonflage plutôt que sur la taille du pneu lui-même.

Tiens, je retombe sur ce fil. Du coup, quelques observations liées à ma pratique gravel qui s'est notablement renforcée au détriment de la route. Concernant la pression des pneus, l'objet initial du sujet, je suis maintenant à 2,5 de façon constante et très attiré par les basses pressions. Moyennant une jante de roue avant qui a pr!s cher (mais ça se redresse à la clef à molette). 😃 Pour le vélo dans sa globalité, je suis plus que jamais convaincu que l'alu est le meilleur rapport qualité/solidité/prix. En gravel, le matos prend très cher. On va presque aussi vite qu'en route,sur des terrains défoncés. A moins d'être très à l'aise financièrement, ça ne sert à rien de prendre du haut de gamme.

Un vélo Méral, c'est marrant. Maintenant, si ta question c'est de savoir si tu es millionnaire, la réponse est non. Emile, c'est Arbes, comme Hubert, sans D. Il sera surement ravi sur tu veux lui offrir. 😆

Les messages de Voeckler et rien c'est pareil. Il fait de la radio à la télé. Et un truc que les gens ne peuvent pas voir en même temps qu'ils l'entendent, ça ne sert à rien. C'est pourtant la base de la télé. En plus, ses messages, il les récite sans conviction, depuis une moto, sans avoir trop préparé. C'est un peu pourri finalement. La même chose, préparée, réalisée par un pro et enregistrée en amont avec lui aurait un autre impact au moins sur les automobilistes de bonne foi. Là, c'est tellement laborieux qu'on zappe comme pour la pub...

J'aime bien les dernières réponses, provenant pourtant de gens avec qui on s'est souvent accrochés. Il y a quand même un élément important, c'est la capacité à ne pas tout attendre de l'autre. Certes on a payé, mais on n'est pas obligé d'être idiot. Si je fais une rando, une cyclosportive, peu importe, avec ou sans classement, dans un endroit que je ne connais pas, je sais toujours ou je peux trouver un cimetière, une supérette, une fontaine. Parce que j'ai passé un peu de temps sur Street Wiew à suivre le parcours et à repérer les points d'eau ou de ravitaillement possibles. J'ai aussi appris à m'embarquer avec un peu de poids (jusqu'a 3,5 litres de flotte) pour ne pas m'arrêter trop souvent parce que je n'aime pas ça. Alors oui, on peut toujours se plaindre que l'organisation n'est pas à la hauteur "parce qu'on a payé". Et on peut aussi gérer son affaire, en s'arrêtant loin des autres, ce qui n'est jamais néfaste en terme de chrono dans une épreuve de montagne. Après, pour les morts, ce n'est peut-être pas non plus la finalité que de les éviter. On n'est jamais à l'abri du gars qui va gruger sur le certif, ou se surestimer, ou assumer le fait de mourir de sa passion. C'est comme ça, c'est la vie... Mais en tout cas, ne pas tomber sur l'organisateur. Ils font ce qu'ils peuvent, donnent à chacun un bout de leur vie. C'est parfois maladroit, pas toujours parfait, mais toujours sincère.

Bon, je ne vais pas te dire que Pinot va gagner. Mais je viens de voir la liste des engagés et je trouve que c'est peut-être lui qui a la meilleure équipe, dans l'hypothèse ou les autres manqueraient de discipline. Lui, clairement il a une équipe à son service. Les autres, soit ils ont plusieurs leaders, soit ils courent plusieurs lièvres à la fois. Il a l'air costaud, en confiance, alors bon, pourquoi pas...

Ton argument sur les "constats" du procureur est assez surprenant. D'ordinaire, la justice n'est pas si prompte à se prononcer. La lenteur est même une de ses caractéristiques. Après, je suis d'accord avec toi, ça peut arriver à tout le monde. Et justement, c'est bien d'en avoir conscience. Le problème c'est quand même avant tout de savoir si l'on est conscient de ses capacités. Et je pense que dans l'ensemble, sur les cyclosportives, beaucoup de gens les surestiment, y compris hors canicule. C'est pourquoi je parle d'orgueil. J'en ai assez vu dans un état pitoyable, allongés dans les cols, finissant à pied en titubant, s'effondrant en larmes dans les bras de leur femme à l'arrivée, comme s'ils avaient monté l'Everest. La plupart ne sont pas assez entraînés pour faire cela dans des conditions raisonnables de sécurité. Pourquoi aller mettre un tel poids émotionnel sur une pratique sportive ? Pourquoi une telle prise de risque ? Qu'est ce qui peut bien se jouer dans leur tête pour ne pas vouloir se mettre en sécurité en abandonnant ? En tout cas, chacun a son libre arbitre et peut décider de prendre le départ ou de rester chez lui. Je suis entraîné, aguerri, suivi par mon médecin et tout ce que tu veux... et en été je cours peu parce que je ne me sens pas très bien quand il fait chaud, sauf pour me promener. Donc effectivement, je suis un peu en colère contre ceux qui attendent tout des autres, y compris de prendre les décisions à leur place. Ca va finir par l'arrêt de toute pratique organisée. Il n'y a déjà plus beaucoup de bénévoles, ça finira par dégoûter les derniers.

Mon dieu ! Tous ces gens mal préparés, qui ont découvert qu'il faisait chaud, qu'ils étaient trop gros, pas assez entraînés, quand les organisateurs, sous une pression probablement intenable, ont décidé d'arrêter les frais... Ce n'est ni au préfet, ni aux organisateurs de décider, mais à chacun de savoir ce qu'il est capable de faire. Et d'assumer. Je suis consterné de lire les innombrables messages mettant en cause l'organisation et un soi-disant amateurisme. Bien sûr que c'est plus ou moins amateur, parce que ça repose sur des bénévoles. Mais chacun est libre de prendre le départ ou non. Je suppose que chaque cycliste est suffisamment adulte pour juger de son niveau et de ses capacités, sans que le Préfet vienne lui expliquer ce qu'il doit faire. Ce sport de vieux est en train de crever de l'orgueil des pratiquants.

Tu es un sage. Savoir faire preuve d'une grande capacité d'adaptation est encore la meilleure solution...

N'ayant aucune vocation à éduquer les cons j'ai choisi le gravel. Je fais encore quelques courses sur route pour garder un peu le niveau. Pas plus tard que cet après-midi, on s'est fait doubler plusieurs fois (un peloton de 40 gars), par des voitures qui ne supportaient pas de rester derrière et qui slalomaient entre les différents groupes, séparés de quelques mètres par des rafales latérales. Un coup à droite, un coup à gauche. Ca fait bien peur. Comme toi, je baisse un peu les bras. le %@!? n'est jamais fatigué. Tu n'es jamais déçu, il répond toujours présent.

Sur la simple donnée des largeurs max de pneus, j'éliminerais d'emblée le Votec et je ne suis pas chaud pour le Triban. En gravel, beaucoup souhaitent mettre du 40/42. Je ne suis pas en recherche en ce moment, donc je ne peux pas te recommander un modèle en particulier. Mais, à mon sens, tu trouveras ton bonheur dans les modèles alu de marques telles que Focus, Scott, Cannondale ou Giant. On est surement un poil au dessus de ton budget en neuf, mais on commence à trouver de l'occasion. Ne te ferme pas aux modèles cyclo-cross, c'est globalement la même chose, quoi qu'en disent ceux qui gobent les discours marketing. Il faut juste vérifier, là-encore, les largeurs max pour les pneus. Pas d'inquiétude non plus sur le fonctionnements des Apex ou Tiagra qui sont généralement montés sur les vélos premier prix. Ca fonctionne très bien et c'est moins cher à changer quand on a massacré un dérailleur dans la boue.

A Barcelonnette, tu n'es pas dans les Hautes-Alpes, à Guillestre si... Sinon, pour répondre à ta question, c'est difficile. Tu y es combien de temps, combien de sorties tu prévois ? Quelle longueur, quelle difficulté ? Guillestre, je connais, je m'y sentirais vite limité question choix, mais à condition d'y rester longtemps. Si c'est pour une semaine et trois sorties, ça le fait sans problème...

"Maurice AUTOBUS ==> Donc en gros, des qu'on se fait lâcher d'un groupe, il faut baisser les bras et rouler en mode touriste?" Je ne te parle pas de baisser les bras, mais visiblement, tu as beaucoup à apprendre sur la vie du peloton. J'essayais juste de te donner quelques clefs. En l'occurence, la première des choses, c'est de ne pas se faire d'illusions sur son niveau. Généralement, si on est dans un peloton et qu'on peut mener, c'est qu'on est à sa place. Si tu étais dans le peloton de devant, tu serais probablement parmi ceux que tu appelles les ratons, déjà bien content de suivre. Et comme je te lai dit plus haut, rentrer sur un peloton de gens plus forts que soi, c'est une débauche d'énergie dont on ne se remet généralement pas. Et il ne faut pas se faire d'illusions. Dans ton exemple, tu dis avoir maintenu la distance avec le peloton précédent. C'est que probablement, il n'y avait pas grand-monde à rouler non plus. Et le peloton de derrière ne devrait pas t'inquiéter non plus. Pourquoi reviendraient-ils ? Ils ont craqué avant vous... Ensuite, revoir ses priorités en fonction des circonstances, ce n'est pas baiser les bras, c'est faire preuve d'une certaine capacité d'adaptation, donc d'intelligence. Tu peux accuser les autres d'avoir un comportement qui te déplaît et ruminer ta déception. Ou tu peux décider de t'amuser quand même et de faire du mieux possible avec les gars de ton niveau. Si vous roulez, pour la 100 eme place, il faut remettre les compteurs à zéro. Cette 100 eme place devient votre première place. Et pour la décrocher, rouler comme un bourrin ne suffit pas. Si tu ne peux pas obtenir la collaboration des autres (et même s'ils collaborent d'ailleurs), il va te falloir t'en débarrasser. Et ils ne vont pas se laisser faire. Enfin c'est toute l'histoire du vélo en groupe avec un dossard. Les autres ne roulent jamais comme tu l'aimerais et la capacité d'adaptation est la première vertu à travailler.

Je ne vais pas revenir sur ce que peut être la nature humaine au moment ou il s'agit de partager l'effort. Mais je vais essayer de t'apporter un autre regard sur l'effort que tu accomplis dans un peloton "de lâchés" (les guillemets parce que c'est juste réaliste, pas péjoratif). La vraie bonne question à se poser, c'est da savoir si ta place est dans ce peloton. Ou si elle est dans celui de devant comme tu sembles vouloir le croire en chassant pour revenir. Mais si tu es là, c'est qu'a un moment, tu n'as pas pu suivre (ça va trop vite) ou il y a eu une cassure (problème de placement). Or, quand on s'est fait virer une fois, en général, même si on rentre, c'est très provisoire. A la bosse suivante, on lâche de nouveau, etc Il vaudrait peut-être mieux aborder le problème en te disant (comme doivent faire les autres) que ta course à toi, c'est d'être le mieux placé possible dans ton paquet, qui correspond à ton niveau du moment. Et là, tu verras les choses autrement et tu comprendras pourquoi il n'est pas forcément idiot de ne pas trop en faire (j'ai pas dit ratonner)...😆

Sans parler de gravel, qui est la pratique de l'initiateur du post, j'ai pas mal de copains qui ont de temps en temps un pb de connectique sur de la pratique route. Ca leur fait les cuisses quand ils essaient de finir sur le 53x11 ! 😆 Et en cyclo-cross, je vois très peu de monde avec, à l'exceptions de quelques coureurs qui ne doivent pas payer le matos (merci les parents). Sinon, je retiens ton conseil sur les embouts de gaine avec cet espèce de "téton" étroit. J'en ai vu passer, je ne m'étais même pas demandé à quoi ça servait. J'espère que ce n'est pas trop difficile à trouver.

Sans refaire le débat sur l'électrique ou l'hydraulique, je trouve ça démesurément cher, surtout pour aller le broyer dans la bouillasse un jour de malchance.

Vu qu'on fait sensiblement la même chose à vélo, j'ai le même constat que toi, gaines et cables ne font pas long feu en usage gravel. En route, je change une fois par an ma cablerie et tout va bien. J'en suis à trois fois par an en gravel, ce qui est insuffisant. Sous la flotte et dans la boue, on pourrait rechanger toutes les deux semaines si on voulait obtenir un résultat fluide. Je n'ai hélas aucun matériel à te conseiller. J'ai essayé différentes marques, je n'ai pas vu de différences notables. Ma politique pour les mois à venir, c'est d'acheter le moins cher possible et de changer dès que ça coince un peu. L'avantage, c'est que je me suis déjà bien amélioré en mécanique et je vais de plus en plus vite. Dans le même ordre d'idée, je n'ai pas gardé une chaîne plus de deux mois cet hiver et je m'en félicite.