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Posté

Il préférerait qu'il y ait un grave accident voir un décès. Ce serait plus crédible pour le spectacle !!!

Quand j'entend Merckx qui dit que ce sont des vedettes et qu'a son époque, on roulait quoi qu'il arrive, ce serait surement le premier a critiquer l'organisation si il y avait un grave accident. 

Posté

Moi je dis RESPECT aux organisateurs

Ils osent tracer des circuits en haute montagne avec le risque d'annulation si météo cata, ils prennent leusr responsabilités sans faire n'importe quoi coute que coute je dis RESPECT

vous GAGNEZ en CREDIBILITE

Posté

Si j'en juge par l'état physique des coureurs à l'arrivée de l'étape au-dessus de Bardoneccia, le temps effroyable d'hier valait bien un col supplémentaire pour ce qui est de la difficulté par rapport à une météo normale. 

Voilà le programme pour aujourd'hui :

http://www.ledauphine.com/savoie/2013/05/18/dans-de-droles-de-conditions

Ben, ça risque d'être encore difficile si l'on considère qu'il y a 2 semaines qu'ils trouvent la pluie presque tous les jours, je ne sais pas comment ils font pour encore avoir de la peau sur les fesses.

Dans la discussion certains ont évoqué le Giro 89 gagné par Fignon, sans doute parce que c'est un français qui a gagné. mais le Giro a connu largement pire dans l'édition gagnée par Charly Gaul, 1956 je crois, où sous la neige au Mont Bondone il avait totalement renversé le classement.

Plus près de nous, et bien pire que 1989, il y a eu le Giro 1988 et l'étape où Hampsten a forgé sa victoire. C'était la victoire de l'un des meilleurs grimpeurs, mais aussi d'une équipe qui avait mis tous les moyens pour s'équiper contre la pluie, la neige et le froid en s'enduisant le corps comme pour une traversée de la Manche à la nage.

Posté

En attendant, il est toujours plus crédible que le tour de france (et plus intéressant). Au moins ils continuent la course même pour des intempéries contrairement au tour où dès que ça glisse un peu faut tout annuler.

Posté

Les leaders ont décidé de neutraliser la montée du premier col, aujourd'hui, ce qui a privé les baroudeurs de l'unique chance qu'ils avaient de faire la course en s'échappant en début d'étape. C'est un fait qui visiblement t'a échappé.

Posté

Oui, je ne peux suivre le giro que par intermittence.

Pas de chaine pour regarder, la radio c'est très limite et sur le net juste des commentaires sur yahoo quand le reseau passe (512 kb de reseau).

Donc je loupe beaucoup de chose quand ça ne passe pas sur les chaine publiques. Mais des conditions comme ça (et d'autres années), les étapes auraient été carrément annulées sur le tour (que je ne regarde plus d'ailleurs à part les résumés).

Posté

Pierre,

Pour rappel, le 1er juin 1968, Merckx gagne sous la neige au Tre Cime di Lavaredo, une étape avec l'ascension finale comme seule difficulté; donc pas de descente dangereuses sous la neige. De plus, la neige ne tenait pas sur la route ce jour-là.

Cette année, la situation n'a rien à voir avec des volumes de neige beaucoup plus importants. Si  tu étais un minimum montagnard, tu saurais que la montagne, ça se respecte. Parfois, elle te laisse passer, parfois non; c'est elle qui décide... En montagne, c'est la base; parfois, il faut savoir dire stop. Ce sont des types comme toi qui veulent faire les durs et qui finissent par être redescendus par le PGHM...

Le manque de crédibilité n'est pas au Giro, mais dans tes commentaires...





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