Emile ARBES Posté le 3 décembre 2019 Posté le 3 décembre 2019 Un vélo très léger pour l' époque "made-in-France"ici: http://velosvintage.over-blog.com/2019/12/velo-sabliere-1986.htmlBonne visite.
Eric MATTEIN Posté le 3 décembre 2019 Posté le 3 décembre 2019 Magnifique. Un plaisir pour les yeux. Merci Emile !
Bernard MOREAU Posté le 3 décembre 2019 Posté le 3 décembre 2019 Waouh! Superbe.J'ai peut-être encore ces freins CLB quelque part. Ils étaient très légers.Avec le même type de jantes, je me souviens avoir dû abandonner une course sous la flotte (à Crest) parce que je freinais tellement moins bien que les autres 😃. J'étais furax parce que c'était une des toutes dernières courses de la saison et je me sentais bien.Sur le sec ça freinait bien.
Jean-marie NICOL Posté le 3 décembre 2019 Posté le 3 décembre 2019 Belle machine ! Bravo pour les photos
Emile ARBES Posté le 3 décembre 2019 Auteur Posté le 3 décembre 2019 Je ne les ai jamais essayés, il faut demander à Jeannie Longo ! Mais peut être quelle ne freinait pas 🙄.
Jean-marie NICOL Posté le 3 décembre 2019 Posté le 3 décembre 2019 y pas de quoi ! Mon Cobra qui date de 1989, n'est pas aussi beau, même si c'est un vélo vintage !
Claude SIFFERLEN Posté le 3 décembre 2019 Posté le 3 décembre 2019 Bravo ! vraiment très très beau vélo, il donne envie de le toucher et de pédaler.
Alain COLLONGUES Posté le 4 décembre 2019 Posté le 4 décembre 2019 Oui c'est une belle machine et André Sablière était un artisan génial. L'alu poli est tellement soigné que beaucoup croient que le vélo est chromé. J'ai le même vélo à la maison et ce qui est le plus beau, c'est la tige de selle à serrage invisible. L'expandeur en sifflet a son serrage tout en haut de la tige, juste sous la selle. Du grand art !Les CLB ultra-légers sont en effet des freins de salon à cause des bras de levier trop courts. Il suffit de les remplacer par les CLB plus classiques pour être tranquille. Ceci dit sur la route ce n'est pas un vélo réputé pour sa rigidité. Peut-être est-ce seulement l'alu qui a vieilli...Merci Emile pour ce bijou.
Michel PENNETEAU Posté le 4 décembre 2019 Posté le 4 décembre 2019 Emile,Comme diraient les jeunes: " trop beau ! "....J'ai apprécié également ce détail du serrage de la tige de selle...la recherche de la perfection. Et puis, ça m'a aussi remis en mémoire la marque Spidel, que j'avais complètement oubliée.Merci pour ces belle images et bravo pour ton travail.
Michel DURY Posté le 4 décembre 2019 Posté le 4 décembre 2019 Un petit plateau de 42 dents... ça poussait du lourd à l'époque!Et la chaîne, avec les rivets en tube, trop bizarre, je n'avais jamais vu. Une belle machine, surtout l'alu brossé qui donne super bien.
Olivier THYM Posté le 4 décembre 2019 Posté le 4 décembre 2019 Du grand art, très belle restauration... souvenirs : les manettes Spidel à rétrofriction ou les jantes Mavic GP4... j'ai aussi roulé sur ce type de tige de selle avec cannelures.Encore du bon et beau boulot.@ Michel, plus jeunes on roulait 42 X 52...
Christian BRETIN Posté le 4 décembre 2019 Posté le 4 décembre 2019 Bonjour émile, le cadre est vernis ou brut ? merci
Jean-marc BEGAGNON1639476532 Posté le 4 décembre 2019 Posté le 4 décembre 2019 Mon Raymond Clerc lui ressemble beaucoup avec les soudures polies, les tubes ovalisés sur la boite.II faut dire qu'ils étaient les spécialistes de l'alu à l'époque. Les 2 hommes n'avaient pas beaucoup d'atomes crochus... lol
Emile ARBES Posté le 4 décembre 2019 Auteur Posté le 4 décembre 2019 Michel,La chêne est une Regina super légère sauf le prix à l' époque !
Emile ARBES Posté le 4 décembre 2019 Auteur Posté le 4 décembre 2019 Christian, le cadre est brut mais poli .
Olivier TÉTART Posté le 4 décembre 2019 Posté le 4 décembre 2019 Ce qui est incroyable c'est la fiabilité de ces cadres. Quand il y a eu le boom des alus légers soudés fin années 90/début des années 2000, et les débuts de la généralisation du carbone, il y avait encore des gars qui roulaient sur des Sablière qui n'avaient pas montré le moindre signe de faiblesse. Je me souviens avoir discuté avec une dame (Mme Sablière ?) au vélodrome Tête d'Or, il y a longtemps, qui m'affirmait que ces cadres alu polis qu'ils avaient faits roulaient encore sans aucun problème après des centaines de milliers de km même encore en compétition...André sablière a aussi commis des prototypes pour Vitus à une époque (j'en ai vu un, inconnu aux catalogues, et j'étais un fan de la marque, "signé" du côté du boîtier de pédalier dans un stock de cadres Vitus acheté par un grossiste roannais quand la marque a cessé ses activités). C'est peut-être pour ça que certains confondaient parfois les cadres Vitus et Sablière (comme dans l'article donné dans le lien d'Emile Arbes).On m'a dit qu'il a travaillé pour les fournitures de matériels sur mesure en chirurgie (titane), la précision de son travail y a été prisée, quand il a arrêté son activité dans le cycle...A+Olivier
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