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Innsbruck 2018


Stéphane DOURLENS

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T'y vas trop fort.

Pourquoi pas discuter sur "Bardet aurait du être au marquage et Pinot au dernier relais au cas ou défaillance d'Alaphillipe, vu que Pinot ne sprinte pas mal". Pourquoi pas essayer de polémiquer là dessus. Mais penser que Bardet se soit retenu d'être à fond et de lacher Valverde... Il a été à bloc, Valverde et Woods ont tenu et fin de l'histoire.

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Aaaahhhh!?!

Tu nous expliques que Bardet était le plus fort dans la partie la plus difficile; mais que comme Guimard ne lui avait pas dit qu'il avait le droit de gagner, il aurait pris la décision de ne pas "se mettre à fond" pour gagner ou qu'il est un peu idiot au point de ne pas savoir quoi faire en pareille circonstance!

Ah,... s'il t'avait eu comme manager! Il aurait visualisé mentalement une ligne d'arrivée en haut de la "bosse",... Ouf! C'est du lourd! Il aurait fait qu'une bouchée de ses adversaires. Tu aurais également pu ajouté, qu'en fin de saison, ne voulant pas monter de catégorie, il ne vouvait pas faire mieux que 2. (je te prie de m'excuser Joaquim, mais c'était trop tentant).

La réalité est que Bardet et Alaphilippe n'ont pas mis un coup de pédale jusqu'à la montée finale, ils sont tombés sur un "immense" Valverde. A titre personnel, je serais incapable de dire, entre Valverde, Bardet et Woods, lequel était le plus fort. Je pense que toutes stratégies, face à "ce" Valverde, soutenu par une excellente équipe, étaient vouées à l'échec.

 

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Dans ce genre de bosse très très raide (8km/h au plus fort de la pente si on en croit le strava de Bardet), il est quasi impossible d'attaquer et de faire une grosse différence, sauf défaillance de l'adversaire bien entendu. Autant le gars qui craque perd un paquet de secondes, autant je crois que Bardet ne pouvait vraiment pas aller plus vite. Il a maintenu la pression pour tenter de faire craquer Woods et Valverde, mais il ne pouvait évidemment pas passer de 8 à 12 km/h sur une pente à plus de 20%. C'est d'ailleurs pour ça que ce qu'il a semblé vouloir tenter, c'est attaquer au moment de la bascule, en espérant que les autres aient le souffle coupé et ne puissent pas relancer. C'est à ce moment-là qu'il a déraillé. Mais il ne le pouvait pas au plus fort de la pente, c'est évident.

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Beaucoup ont salué les performances de Valverde, évidemment, Bardet, Woods, Dumoulin et Molard. Je m'y associe.

J'aimerai également attiré votre attention sur Valgren, qui a fait un beau solo jusqu'au début de l'ascension finale, et, qui ne s'est pas effondré comme on pouvait s'y attendre, arrachant même une 7ème place.

J'aimerai également parlé de Laengen, qui a passé toute la course échappée, et qui trouve les ressources pour monter le "mur" final. Très joli course.

Et enfin, un mot pour Warren Barguil. On ne peut pas gagner des grandes courses en étant dans une équipe "Continental Pro". Ta place est en "World Tour".

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Beaucoup de blabla pour pas grand chose, le plus fort à gagner et c'est Valverde.

Admettons que Bardet puisse prendre 10 secondes dans la grimpée , aurait il pu rejoindre l'arrivée en solitaire ? rien n'est moins sur !

nos petits français ont fait la course , la déception est légitime mais c'était le jour de Valverde ! enfin ... 

la récompense d'une belle et longue carrière , avec ses hauts et ses bas, mais quel coureur. 

Perso j'en redemande , deux ans qu'on vibre enfin dans les championnats avec les coureurs français.

Comment en vouloir à Julian , il a répondu présent tout au long de l'année avec panache, son statut de leader était logique. Valverde a mis 15 ans , souhaitons lui de décrocher le titre bien avant. 

 

 

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Sans compter que s'il faut avoir gagné des courses soi-même pour avoir le droit de commenter et de conseiller celles des autres, où met-on le curseur de l'ouverture de ce droit?

A 5 courses gagnées? 10? 30? 50? en amateur? en pro?

Mais en pro une classique remportée donne ce droit ou faut-il un grand Tour?

Mais lequel, TDF, Giro, Vuelta?

Et encore si un grand Tour, face à quels concurrents?

De même et toujours selon cette logique merveilleuse, pour être critique de cinéma ou de musique il faut avoir soi-même eu un Award ou César du meilleur réalisateur ou avoir vendu des millions de disques?

De même et aussi, pour être journaliste politique et critiquer l'action des gouvernements faut-il avoir été soi-même ministre ou député?

 

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