Campagne choc sécurité routière.

[Georges IGOR]

Avec tout ton vécu que tu étale à longueur d'année tu es quand même sacrément ignare des différentes cultures dans le monde. Ce qui démontre que ton esprit est loin d'être ouovert.

Donc je te résume pour toi (c'est mon jour de bonté)

le latin est rebelle, il prend plaisir à ne pas respecter les règles, au nom de la liberté, comme ce que tu prône  avec constance d'ailleurs. Code de la Route inclus. Et au final, et malheureusement, seule la répression peut fonctionner pour obtenir un résultat, celui que les règles du bien vivre ensemble puissent être appliquées, à défaut d'être respectées.

[Bernard VAILLANT1639476554]

Je n'ai pas bien compris. Aurais tu l'obligeance de t'adresser à moi dans un français correct.

La seule chose que je dis, au fond, est qu'il faut changer les mentalités vis à vis des cyclistes et des faibles en général en leur donnant, en toutes les circonstances, une priorité qu'on qualifiera de courtoise.

Pour arriver à cela, véritable acte militant, lorsque je pratiquais, quotidiennement, le vélo urbain ... je me sentais libre de ne respecter que ce que je voulais du code ... avec la volonté première de m'amuser. Le côté ludique devant être encouragé pour favoriser la culture du vélo urbain.

Jamais, strictement jamais, je n'ai eu d'accidents et jamais je n'ai été verbalisé !

50 ans de vélo derrière moi ... une très grosse gamelle dans les Alpes ... où j'ai failli y laisser la peau à 18 ans ... et c'est tout !

C'est pas criminel ça ... enfin ... je pense !

[Thierry GEUMEZ]

La difficulté Bernard, c'est que chacun a le droit d'exister, de respirer, de se déplacer. Ou plutôt, le problème n'est pas que chacun a ce droit mais que tous ont ce droit en même temps.

Imagine un carrefour. Trois ou quatre voitures s'y présentent en même temps.

Première méthode, la tienne : mais passez donc, cher monsieur ! Qui ça ? Moi (1) ? Ou moi (2) ? Euh... je ne sais pas, j'ai pensé à vous (3) en premier. Pendant ce temps, les files s'allongent derrière ces personnes pleines de courtoisie...

Deuxième méthode : c'est moi qui décide seul de la conduite de ma vie, aujourd'hui je suis pressé, après moi les mouches, je m'impose, qu'ils aillent se faire voir ailleurs si ça ne leur plaît pas.

Troisième méthode : afin de ne pas être obligé de se retrouver chaque fois devant la même question, on invente un code de la route. Entre la sauvagerie des uns et l'extrême courtoisie des autres, on fait intervenir un "moyen terme", un troisième élément qui arbitre le débat. Si tu n'as pas compris ça, il est encore temps, tu n'as que 66 ans.

 

[Jaky BALLET]

Au boulot nous avons le service sécurité et prévention routière , les inspecteurs du permis de conduire, les contrôleurs des transports terrestres, les concepteurs des aménagements routiers et urbains

ce ne sont pas les plus doués en matière de respect du code de la route, surtout en comportement piéton, tous les jours j'en vois qui traversent n'importe comment au feu et au passage piétons devant le boulot, à vélo certains sont dangereux pour eux et les autres

quand je leur fais remarquer leur comportement certains se moquent de moi , haussent les épaules, d'autres font pire en tenant rigueur au boulot à tous ceux qui leur ont fait une observation

On voit bien que l'humain est avant tout souvent un égoïste.

 

[Sébastien GUERRAZ]

J'ai entendu hier à la radio que cette semaine à Chambéry (où je bosse) une altercation avait eu lieu entre un cycliste et une voiture pour un refus de priorité, il semblerait qu'après quelques minutes d'explications musclées chacun soit reparti sur sa route sauf que l'automobiliste a eu la bonne idée de se venger en faisant valdinguer le cycliste avec sa voiture. Le cycliste s'en sort avec de grosses blessures et après un délit de fuite (quel courage vraiment) le caisseux verreux a été arrêté, il semble qu'un bracelet électronique lui ait été posé. Ce genre de conneries me désole...