Qu'en penser...?

[Bernard LUC]

qu'en penser. plutot quand penser ....

[Bernard MOREAU]

Tandis que 

quand panser

c'est après l'accident💋

[Jean-Pierre FOURNIER]

c est un peu ce que je me dis quand je suis seul car je suis un petit peu malentendant , une voiture qui arrive doucement derrière moi me surprend souvent et je me dis que parfois si je fais un écart (un trou) je prends un risque alors que si je suis un peu décalé ils vont klaxonner pour moi si c est fait calmement aucun souci , mais parfois on me dépasse a ras alors que faire , mettre un tee shirt représentant une grande oreille ,non , ça la fout mal 🙁

[Carlos ALVES]

+1 , complètement d'accord avec toi!

[Georges MAILLET]

"A vrai dire, cette année, y'a tellement de c..s que je me demande si les c..s de l'année prochaine ne sont pas déjà là.....

(Merci Michel Audiard)"

J'ai finassé pour pouvoir te répondre, Patrick ...

Cette formule peut très bien être le fait du regretté Audiard (note que ce patronyme rime avec le tien ...) - et je te demande : les intéressés roulaient-ils en escadrille ? Là, c'est du Chirac ...   😉

[Patrick Friess]

En escadrilles compactes, oui ! Et j'ajouterais qu'ils fleurissent et font de fort volumineux bouquets !

[Georges MAILLET]

"En escadrilles compactes, oui ! Et j'ajouterais qu'ils fleurissent et font de fort volumineux bouquets !"

Alors ce sont des vrais ... sollicite ta mémoire - qui ne doit pas être movèze, Patrick - et souviens-toi d'une difficulté qui a longtemps été au menu du Tour des Flandres (alias le "Ronde") et qui portait le nom de "Mont des Faucons", c'était dans les années 60. Le grand Rik Van Looy doit bien s'en souvenir ...

A l'époque, il n'y avait pas de web, pas de fesse-bouc ni de twitter, pas de ce kon appelle "réseaux sociaux".

Mais un type, soucieux de s'épancher auprès du "grand public" de l'époque, avait lancé une pétition demandant que cette difficulté soit rebaptisée le "mont des faux cons"; il s'appelait Laszlo Mouyar et revendiquait sa nationalité hongroise - apparemment, ses parents avaient fui la Hongrie en 1956, mauvais "cru" pour celles et ceux qui avaient cru pouvoir échapper à la main de fer soviétique. Et, dans la foulée, il insistait pour faire appeler une descente casse-gueule qui suivait "le plongeon des vrais cons" : pas khon, dans le fond !

Là-dessus, plusieurs types avaient bondi et "pris la roue" de ce Mouyar, et c'est très intéressant de rapporter leurs identités : Gilbert Garreau, André Pastor, Samuel Stene, Roger Hennuy, Robert Leroyer, Célestin Moreau ... le monde est vraiment petit, Patrick, qu'en penses-tu ???      

[Patrick Friess]

Il me semble avoir connu un Hongrois nommé Rezzo Soszio (je n'en jurerais cependant pas) plus ou moins des connaissances de ce Laszlo dont à propos au sujet duquel ta mémoire semble faire quelques vagues, façon rouleau de printemps sur la côte Basque.....

Tout ça remonte tellement loin, tout au plus ai-je quelques menues réminiscences remontant par petites giclées prostatiques... Il me semble que ce Stene était déjà retraité en ces temps reculés et que ce bon docteur Moreau s'était déjà retiré sur son ile, mais peut-être confonds-je...

Gilbert Garreau, je ne vois pas non, et pourtant j'y vois encore clair, étant aux petits soins avec mes mirettes...

J'ai connu un Leroyer qui répétait sans cesse "à éviter de se battre on évite les hennuys", mais il était pastor protestant de son état et ne faisait pas de vélo. Si tu as davantage d'infos, la mémoire me reviendra peut-être ?