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Raymond Poulidor ...


Paul MARPAUD

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n oublions tout de meme pas que la place de second figure aussi au palmares.Un coureur simple sans histoire;satisfait de sa situation avec un leger manque d ambition face aux 2 requins spécialistes des coups tordus et donc l ethique ne les ettoufait pas à savoir Anquetil et Geminiani.Poulidor a aussi été champion de France gagné les boucles de la seine et j en passe puisque c est mentionné plus haut.Un demarrage terriblement efficaceet de plus un brave type que j ai eu l occasion de côtoyer quelque fois,un champion simple que nous avons été des millions a adorer

bravo raymond pour tes 80 ans et je te souhaite longue longue vie,tu es aussi l exemple d'un cyclisme qui cree des bien portants qui vivent vieux et en bonne santé,par contre en course la malchance ne t as pas epargné

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J'ai préféré mettre un article dans billets d'humeur ça correspond bien aussi à l'esprit de Poupou et Blondin

Son palmarès a plus de places de 1er que de 2è. Sur le TDF c'est Zootemelk qui a le record de 2è places.

http://www.memoire-du-cyclisme.eu/palmares/poulidor_raymond.php

http://velopalmares.free.fr/rpoulidor.html

http://www.poulidor.fr/raymond_poulidor.html

http://www.genealogie87.fr/pages/genealogie-celebre/raymond-poulidor.html

 

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Ah le Raymond ! Un personnage, et c'est vrai plus de premières places que de 2. Personnellement je me suis toujours trompé sur son âge, le voulant toujours né en 1938. Et bien NON, et quand je l'ai vu pour la première fois en action, c'était dans le TDF 1962, il avait laissé tout le monde derrière dans le trio de la Chartreuse, et allait faire 1 à Aix les Bains, et donc il avait déjà 26 ans. Doté de nombreuses qualités humaines, mais son plus grand défaut de sportif était l'avarice. Et cela lui a coûté énormément de pépins de course ( crevaisons dans Paris-Roubaix et autres).

UN GRAND tout simplement.

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Sauf erreur, j'étais dans le même peloton en 1964 au critérium de Quimper (y'avait aussi Baha, Anglade et bien d'autres) mais j'étais un anquetilliste inconditionnel, comme pratiquement tous les cyclistes, et ça ne me faisait ni chaud ni froid.

Les sans nom nous avions droit à une prime de départ de 150 francs (15 000 anciens), ce qui était très généreux puisque le ticket repas au restau U était à 1,10 franc et que 100 francs c'était plus courant.

En 1974 j'étais sur la bosse du Mont Royal à Montréal pour assister aux championnats du monde sur route et il m'avait bien bluffé dans son duel avec Merckx.

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J'étais, comme 1 français sur 2, un poulidoriste convaincu!! Pourquoi??? un peu à cause du TDF 1964, où j'avais réussi à avoir quelques infos lors de l'étape célèbre du port d'Envalira, Poupou et ses malheurs!! Mais beaucoup à cause du championnat du monde de la même année à SALLANCHES, où scotché devant l'écran noir et blanc, j'ai vu et vécu le dernier tour, accroché à l'extrème, hurlant devant les attaques qu'il contrait avant de se faire taper au sprint... Comment ensuite ne pas espérer que la roue tourne enfin à sa faveur, mais que de déceptions, soit par malchance, soit et surtout à cause de la rivalité stérile avec Anquetil. Mais bon, Poulidor a eu la carrière qui lui était destinée, point. Ses perfs, lors de son 3ème âge (à partir de 1972) ont définitivement convaincu tout le monde, il a arbitré (notamment dans le ventoux du TDF 1972) le duel OCANA-MERCKX, il a souvent été le seul à se mettre au niveau de MERCKX, dommage qu'il n'ai pas gagné de grandes courses ces années-là!!!  

Bon anniversaire quand même

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