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Antoine Demoitié


Jacques VANDEWIELE

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C'est triste, bien sûr.

Mais comme à chaque évènement dramatique, les pleureuses habituelles en profitent pour :

1/ se délecter de trucs morbides, comme l'a magnifiquement sous-entendu Benoît Sapin. Y'a plus de monde ici pour parler des morts du vélo que du vélo lui-même.

2/ revendiquer "que des mesures soient prises", sans réfléchir plus loin que le bout de leur pif.

Finalement, les réactions qu'on lit ici me choquent plus que la survenue d'un accident. Un accident, c'est un truc qui arrive dans la vie, quelle que soit l'activité à laquelle on se livre. Il faut l'accepter. On peut limiter les risques, certes, mais pas sans prendre en compte l'intégralité du problème.

Par ailleurs, il s'agit d'un accident très rare. Donc commencer à vouloir réorganiser toute la façon de gérer l'échelon course, en fonction d'un unique accident, ça me semble excessif. Comme on finit par le dire dans les débats sur le casque, finalement, y'a qu'a interdire le vélo.

Vous pouvez me traiter de connard, je préfère ça plutôt que de braire avec les... moutons.

 

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Claude meme si tu n'as pas tort les accidents mortels cycliste-moto en course restent  exptionnesl, trouve moi d'autres cas ?

Devrais t'on interdire les descentes de cols qui ont deja tués ?

Cest je jeu le cyclisme de compet et très dangereux comme le velo en general, des qu'on est dans la circulation...

 

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s il a été surpris et na pu rien faire c est qu une fois encore il etait trop pres des coureurs et c est lui et lui seul qui est responsable de la mort du jeune coureur.C est exactement comme une voiture qui passe a 50 cm d'un coureur et qui le renverse parcequ il afait une ecart (pour eviter un trou) de 50 cm

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si tu es d accord on pourra doubler d ici 20 ans le nombre motos;4 accidents connus au minimum en 1 an dont 1 deces,ca ne te suffit pas pour te dire qu il y a 1 probleme.A partir de combien d accidents et de deces tu estimes qu il faudra prendre des decisions?Quand on voit l evolution du nombre de motos sur une course et qui jouent sans arret avec les coureurs,il ne faut pas s'etonner qu il y ait des cartons.Alors continuons

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D'accord avec toi, Bernard.

C'est très triste, et c'est tout ce qu'il y a à en dire... à notre niveau du moins: personne parmi nous n'était sur place, ne peut dire s'il y a eu prise de risque de la moto, si la présence de cette moto à cet endroit de la course était légitime ou pas.

J'imagine de toute façon qu'il y aura enquête, mais il y aura des professionnels qui seront diligentés pour cela; et tout ce que l'on pourra penser installés devant notre poste ne leur servira pas à grand chose...

Franchement, j'ai assez de luttes politiques et syndicales derrière moi pour ne pas me considérer dans la catégorie de ceux qui "braient avec les loups" comme des moutons (excuse-moi, Maurice, je taquine...), mais j'ai du mal à comprendre cette propension actuelle que beaucoup ont à polémiquer à chaud, et à tout de suite remplacer l'émotion par l'émoi ou la râlerie.

Je le répète: de mon côté, juste très triste...

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Je suis choqué de voir aussi en toute impunité les coureur s'engager sur les trottoir pour remonter le peloton à très vive allure. Je n'ose imaginer si un gosse se trouve présent sur le dit trottoir au même moment.

 

Je suis totalement d'accord avec toi, hier encore les coureurs se sont engagés sur une piste cyclable et retournaient sur la chaussée au petit bonheur la chance des intervalles entre les haies de séparation et du flux du peloton.

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Entre être anéanti et être triste, il y a une marge...

Et là, en l'occurrence, ben ouais, on peut être triste: il y a un jeune de 25 ans qui meurt sur une course cycliste; on a beau ne pas le connaître, ça s'appelle juste la compassion que de penser que ce n'est pas drôle.

Bien sûr que dès ce soir (voire dès midi) on pensera à autre chose, et que ce qu'on peut ressentir n'a rien à voir avec ce que peut éprouver sa famille, ça n'empêche pas d'avoir un pincement au cœur quand on lit ce genre de nouvelles. Je ne vois pas en quoi c'est faux-cul...

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