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Votre sortie du jour 2014


Pierre BEZIZ

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Bonjour à tous  je suis rentré  de Valloire  d un week end  prolongé  avec 4 amis  et avec l  objectif  de monter le Telegraphe le galibier et autres cols du secteur.  Apres avoir loué  un trafic  Renault  nous voila sur la route pour les Alpes  et aprés 700km. environ de voyage  ( région  Lorraine secteur Thionville ) ,  arrivée  à ST Jean de Maurienne  à 17 h.00 et dans la foulée après un changement rapide dans le trafic  sur un parking et bien  oui  😄  montée du Télegraphe  en 1 h.10  sous le soleil descente vers Valloire et récupération  du logement  et deux de mes amis se  sont dévoués pour redescendre reprendre le trafic  étant le plus vieux ( 56 ans ) ,il fallait se ménager pour le Galibier et autres cols.Le lendemain  départ  pour le Galibier à 11h.00  et malgrés  un super soleil  à Valloire et en prévision d un changement de température  en haut du Galibier (2645 m)  la décision  de s habiller  en manches  longues  et coupe vent  dans les poches    pour la descente  était unanime.Bref montée du Galibier en deux heures sans mettre le pied à terre au milieu des marmottes  aprés plan Lachat  et de chamois sans oublier  un troupeau de mouton .Pour nous qui sommes de la Lorraine je dois avouer que le spectacle est juste superbe ,mais à l arrivée  en haut du Galibier la température  avait bien chuté  (2/3 dg. ) et la photo souvenir  vite fait. A savoir que deux  de mes amis  sont descendus  vite fait bien bien sur Valloire  à cause du froid et un de mes amis m aproposé de descendre le Lautaret et aprés une courte hésitation me voila dans la descente du Lautaret  .Oui mais voila il fallait rentrer à Valloire et donc remonter  du Lautaret et descente du Galibier 😲 total de la journée  4 h.oo de vélo avec 2800 kcal. et 1752 de deniv + . Bonne journée pour des petits amateurs et fiers de nous et en prime  tu en prends les yeux .

Le lendemain départ  vers 10 h00 et en   route vers le col du Chaussy pas trés connu mais au combien  pentu (7.4 % de moyenne avec passage  a 10/11/12/% ) sous un soleil de plomb et 14 km de montée  ( surnom:  Alpes d huez  des Alpes )  c est peu dire😬. Bref mais pour être  au pied du col de Chaussy il faut sortir  de Valloire et donc  5/6 km de montée  descendre le Télegraphe  se faire la vallée de la Maurienne  ( voie  rapide en faux plat montant et du vent ) et donc arrivée au pied du Chaussy et la tu prends de suite des rampes de 8/9 % voir plus  et quand le pourcentage chute à 6 % tu respires. Aprés  avoir fait une pause à mi parcours dans un petit café du coin et aprés avoir donné notre programme du jour au garçon de café du coin je comprends mieux maintenant qu  il nous a pas répondu de suite sur la difficulté du circuit et nous a simplement souhaité  bon courage. Arrivée  en haut du col il fallait redescendre par la Chambre se faire de nouveau la vallée de la Maurienne et remonter le Télegraphe  ( c est vrai que le col de la Madeleine était tout prés mais en ce me concerne  c était le col de trop) et pour mes amis également.  Bref aprés  108 km de velo    2386 m de deni +  et   4187 kcal nous voila  à Valloire  et bien rincé .Si je fais le bilan  de ses deux jours  174 km  74 de montée  8000kcal environ  et 5000m de deniv+ environ mais super week end à refaire sans hésitation  vivement l année prochaine pour accrocher d autres  cols .   

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Suis sortie cet ap-midi, un peu de moins boulot alors on profite. Départ à 13h30 pour aller direction du centre mondial du cyclisme. Bilan 90.9km et 30.3 de moyenne alors que j'étais encore à 31.5 de moyenne avec de traverses Montreux pour ceux qui connaissent...et 2200 calories.

Mais la vache pour tenir une telle moyenne tout seul avec le vent, faut se démener, pas vraiment une sortie détente.

170km et encore une sortie dimanche, bonne semaine.

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2 belles difficultés Pyrénéennes pour une sortie de 105km en 5h de selle. Mon compteur donne cette fois 2200m D+, Openrunner 2400m D+, mais qu'arrive t-il à Openrunner ? 🙄

Port de Bales par Mauléon: 19km à 6,3%, irrégulier

https://pbs.twimg.com/media/BrKB3k2CEAArF1l.jpg:large (un cyclo Breton d'un groupe résidant à Bordères)

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https://pbs.twimg.com/media/BrKCS-OCEAEhgEa.jpg:large (Superbagnères plein centre)

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https://pbs.twimg.com/media/BrKCcAMCMAAPUdt.jpg:large (Une vraie galère ce jour, du sables, des roches, du gravier ajouté par les services de la voirie, du GRAND n'importe quoi, à quelques semaines du passage du Tour... j'ai pesté en voyant ma roue arrière patiner dans ces graviers à la noix sur des pourcentages élevés. La descente, n'en parlons pas ! On se croyait en Ariège, où ils sont de grands spécialistes de l'ajout de gravier pour cacher la misère des routes !)

Station de ski des Agudes depuis Luchon: 14km à 6,4%

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Le retour jusqu'à Loures Barousse fût long avec de petites crampes aux adducteurs... heureusement, ce cyclo de Luchon m'a bien aidé !
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J'ai sur cette sortie fait une erreur dans ma nutrition en avalant 3 gels en 3h, ce qui m'a provoqué de bonnes nausées dans la station des Agudes. J'aurais dû comme d'habitude avaler 2 gels puis mon sandwich salé !

Bonne route à tous.

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Reprise du vélo après presque 3 ans d'arrêt (Mais de la course à pied pour compenser) :

Dimanche sortie de test et d'affinage de la position : 39km à 29.80km/h sur parcours plat mais sous la chaleur.

Mercredi : Sortie vallonnée de 62km à 28.70km/h mais parcours avec de nombreuses bosses avec des passages supérieurs à 10% et la je ressent ma douleur je plante à 10km/h. 


Ce soir : Sortie vallonnée de 62km avec 572m D+ à 28.11km/h. Les côtes à une allure d'escargot. Jusqu'à 1h15 j'avais une moyenne de 26km pas mal de cote et vent de face, le retour plat et vent de dos en majorité. J'ai pas mis la plaque pour l'instant je travail la vélocité donc 37km/h sur le 34.

 

Bilan : Dur la reprise sur le plat je tiens facilement les 33-35km/h malgré mon petit plateau de 34 donc je mouline souvent vers 110tr/min. Mais en cote je manque de force pour monter aisément et le cœur s'emballe, j'en ai fait l'expérience ce soir sur une cote de 1km que je descend à 55-65km/h avec 7 à 10% j’étais planter à 12-15km/h.

Ma reprise va être la suivante, je vais me faire jusqu’à 1 000 km sur le petit plateau pour travailler l'endurance ensuite je changerai de plateau pour un 39. 

Ensuite sur quoi je doit travailler séance de force en cote, séance de PMA ou autre ?

Cordialement

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De retour d'un petit séjour de 5 jours en Oisans ou j'ai pu découvrir les cols de hautes montagnes.

Dimanche nous nous somme donc attaqué à plusieurs gros morceaux de la région c'est à dire col du glandon, croix de fer, télégraphe, galibier et alpe d'huez. Une variante de la marmotte en somme. Le col du glandon est bien passé bien qu'il a fallu que je trouve mon rythme et un coup de pédales, la croix de fer c'est du gateau. Le télégraphe aussi mais j'ai fait un petit arrêt pour soulager mes pieds qui me font mal après 4h de selle, la montée vers plan lachat n'annonce pas vraiment la couleur, on a l'impression d'être dans un faux plat mais l'effort à la pédale correspond plus aux pourcentages annoncés sur les bornes kilométriques, je me suis senti bien mieux dans les pentes du Galibier. J'ai finalement plié bagage un peu après le virage 6 de l'alpe, dut notamment à la déshydratation. Parti du galibier avec moins d'un demi bidon, je me suis retrouvé au pied de l'alpe sans eau jusqu'à la Garde ou la chaleur a eu le temps de faire son oeuvre. A la garde j'ai eu la mauvaise idée de me gaver d'eau, plus possible ensuite de boire ou d'avaler quoique ce soit sans être mal. On connait la suite !!! Dommage à 4km du sommet !! Au total c'est une belle sortie de 185kms et 4978m de D+ en 9h59. Départ et retour au chalet compris.

Mardi : Nous décidons de partir regrimper le Galibier par le Lautaret, c'est très roulant  et bien plus facile que par Valloire même si le Lautaret est un peu usant, retour par la même route jusqu'au lac de Chambon ou j'ai pris la direction du col de Sarennes, le panorama est superbe et sauvages, la montée du col difficile, surtout que la sortie de l'avant veille me pesait encore dans les jambes dés le départ. Donc 134kms pour 4385m de D+ en 7h02.

Enfin jeudi nous allions pas partir sans avoir monté l'alpe donc après un bon échauffement dans la vallée on a commencé l'ascension de l'alpe dans le but de se faire un petit chrono : 1h02'51 pour la montée de l'alpe. Je suis assez content de moi. En tout 45.7kms pour 1283m de D+ en 2h03

Bilan 365kms et 10661m de D+ et j'y retournerai !! 🆒

 

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Je suis la 2ème moitié du "nous" de Gérald, puisqu'on a fait équipe pour toutes ces sorties, avec quelques variantes en ce qui me concerne.

Pour notre 1ère sortie, la montée du Glandon/Croix de Fer à l'aube a été une formalité. Moins épaté que l'année dernière car je connaissais déjà l'endroit, j'ai quand-même beaucoup apprécié les alpages et le site du barrage. Les 26 kms de l'ascension ont été faites sans difficulté en 2 heures + qqs arrêts photo.

La descente vers la Maurienne via St Sorlin est bucolique, toujours un troupeau sur la route, cette année, c'était les moutons. Sans oublier le ravitaillement en eau en cours de route.

Dans la Maurienne, je me suis souvenu du rythme trop fort que l'on avait pris l'année dernière. Aussi on y est allés prudemment à 23 de moyenne, en se faisant un peu aider par un troupeau de flamands dont on a pris la roue sans abuser !

Au pied du Télégraphe, nouveau ravitaillement à la fontaine qui se trouve juste en face du pont. Sous l'oeil curieux et les commentaires de 2 habitués bien spongieux (on se doute à quoi) qui discutaient volontiers de l'arrosage personnel qu'ils faisaient du jardin qui nous entourait ...

Nous voici donc partis à l'assaut du Télégraphe, bidons pleins et jambes encore fraîches. Je laisse Gérald partir devant sur son rythme, me souvenant que trop bien de ma mésaventure de l'année dernière. Les virages s'enchaînent sans difficulté, mais que ce Télégraphe est usant ! Il n'y a rien d'extrêmement difficile, mais une pente toujours soutenue aux alentours des 8-9% qui ne permet jamais de se délasser. Je trouve cette ascension longue et je hausse un peu le rythme car la chaleur monte et j'ai déjà bien chaud. Cette fois-ci, je m'alimente et bois régulièrement pour éviter les ennuis de l'an passé. C'est efficace, j'atteins le sommet en 1h10 sans aucuns ennuis. Avant d'y parvenir, je passe devant Gérald à 2kms de l'arrivée, il délasse ses pieds, je ne m'arrête pas pour garder mon rythme et il me rejoint en haut rapidement. 

A Valloire, l'aventure bascule, de nouveaux soucis me guettent sournoisement. Tout d'abord je sens mes intestins partir en vadrouille, ça gargouille et ça tire dans tous les sens dans le buffet. Il va falloir faire avec ça ... L'autre point qui m'ennuie plus, c'est un début de douleur tendineuse derrière les mollets, en haut et en bas des ischios, bref, les attaches musculaires arrières au niveau du genou. C'est bizarre car je n'ai jamais eu ce genre de pbs, et ces douleurs, bien qu'encore très supportables m'inquiètent un peu pour la suite. Le plat de résistance n'est pas encore passé ...

On démarre donc la montée vers plan Lachat, Gérald part sur son rythme et il m'est impossible de le suivre. Mes tendons sont trop douloureux. Je me paye une galère pas possible dans cette montée, avec un rendement catastrophique, pas aidé par la topologie des lieux qui, en cachant leur pente, donnent au cycliste l'impression de ne pas avancer sans savoir pourquoi. Usant, c'est exactement le terme qui convient, aussi bien pour le moral que pour les jambes.

Gérald m'attend patiemment à plan Lachat, et on fait une pause ravito bien appuyée, en se détendant au maximum, avec solide et liquide en bonne quantité. Nous voici parti dans les pentes du Galibier, Gérald toujours devant moi qui peine à avancer. Cette fois-ci, j'ai fait l'ascension sur mon vélo, pas comme l'année dernière ... Mais avec 2 arrêts pour soulager mes tendons. Chaque descente de selle est désagréable à cause de mes intestins qui insistent pour se vider de leur contenu, mais il m'est impossible de les soulager. Je remonte vite fait en selle à l'assaut de ce rude col, dont le sommet est toujours aussi impressionnant. J'y arrive 1/4 d'heure après Gérald, qui a fait une belle ascension. J'ai mon compte et je n'ai pas l'intention de faire l'Alpe d'Huez, vraiment pas envie de me payer une montée galère ...

La descente du Galibier et du Lautaret sont une partie de plaisir, avec tous ces lacets et toutes ces courbes qui s’enchaînent sur un ruban impeccable. Arrivés en plaine, on repart tranquillement vers Le Bourg. Au bout de qqs kilomètres, je hausse le rythme pour écourter la sortie, il me tarde de rentrer au bercail. J'ai déjà bien récupéré de mes efforts et mes tendons ne sont pas trop sensibles au coup de pédale de plaine, les muscles travaillent différemment. Je peux donc mettre de l'intensité, n'ayant plus rien à compromettre derrière. Au bout de qqs kms, je m'aperçois que Gérald m'a emboîté le pas. Un petit arrêt pour se reposer et je conseille à Gérald de repartir en récupération, les efforts qu'il vient de faire risquent fort de le mettre à mal dans sa montée de l'Alpe.

On se quitte au pied de l'ascension de l'Alpe. Je regarde Gérald partir courageusement au combat, mais avec le sentiment qu'il est mal barré avec son effort en plaine et ses bidons vides ... Pour ma part, je traverse Bourg d'Oisans et roule jusqu'à Rochetaillée, pour rejoindre notre gîte à Villard Reculas depuis la route d'Allemont. C'est un choix de confort, car de ce côté, la route est ombragée à cette heure, le vent favorable, et la pente moins difficile bien que plus longue. La remontée par Huez m'aurait imposé les 13% du départ, et vu l'état de mes tendons, c'était hors de question. J'ai eu raison car j'en ai quand même bien bavé par cet itinéraire. Arrivé au gîte, Gérald m'attendait ... il a bien souffert dans la grimpée de l'Alpe et a mis le clignotant à Huez pour rentrer. Quant à moi, je ne pensais qu'à me soulager sur le trône ...

Il me faudra attendre 4 jours avant de m'apercevoir que j'avais remonté ma selle dans une mauvaise position en sortant le vélo de la voiture. 8mm trop haut ... C'est sans doute l'explication de mes pbs de tendons et c'est bien ballot !! 

Le soir, on a récompensé nos efforts autour d'une somptueuse raclette à volonté ... ponctuée d'un p'tit coup de Génépi bienvenu. Jamais une raclette n'était restée si peu longtemps dans mon estomac.

Le surlendemain, le pgm de la journée consiste à refaire le Galibier par le Lautaret, puis redescendre sur la même face et revenir au gîte par le col de Sarenne. C'est encore un beau pgm mais ma récupération est largement insuffisante, et une fois parti, je dois rapidement me résigner à entreprendre qqchose de plus facile. Je quitte donc Gérald au barrage du Clapier pour faire un parcours plus compatible avec mon état de fatigue. Je pars sur la D530 pour rejoindre La Bérarde et me ballader dans le magnifique massif des Écrins. Cette route qui longe le lit du Vénéon est le point de départ de nombreuses randonnées à travers le massif. Elle monte pas mal jusqu'à St Christophe en Oisans. De cette route, on peut monter à qqs villages : Venosc, le hameau de la Danchère, dont on peut partir à pied vers le lac du Lauvitel. Après St Christophe, la pente devient bien plus cool pour se terminer en cul de sac à La Bérarde où je fais une pause déjeuner sur les rives du Vénéon.

Le retour se fait par la même route. Arrivé à Bourg d'Oisans, je décide de terminer ce que je n'ai pas fait hier : l'ascension de l'Alpe. J'y vais sans encombre sur un train modéré car j'ai tout de même au départ un peu plus de 2000m de d+ dans les pattes. Les 21 lacets sont parcourus dans un temps honorable d'1h22. Il y a du bien et du moins bien dans cette ascension. Le côté urbanisé et VIP de l'endroit n'est pas spécialement plaisant, mais le tracé avec tous ces lacets qui rythment l'ascension, et la rudesse des pentes à certains passages en font une ascension vraiment intéressante, que l'on refait toujours avec plaisir. Et puis le nombre de cyclistes est tel que l'on a vraiment l'impression d'être là où il faut, dans un temple de ce sport qui nous accapare tant.

Gérald me rejoint au gîte un peu plus tard, il a fait l'itinéraire prévu. Quel rude gars ! 4400m de d+, et l'avant-veille, 4700m ! Pour qq'un qui en est à sa première saison de vélo, c'est plutôt pas mal.

Le jour suivant, on fait une pause vélo en se contenant de faire l'ascension au lac du Lauvitel à pieds. Tout de même 3kms et 550m de dénivelé. Le décor est somptueux, surtout le panorama du lac.

Notre départ est prévu pour le lendemain. Mais nous avons autant envie l'un que l'autre de monter ou remonter l'Alpe en montée sèche. On décide donc d'y partir à la fraîche et on se lève 2h plus tôt que prévu, avant de se préparer au départ définitif.

Chose faite avec bcp de plaisir, et même si mon dérailleur capricieux me gratifie de 2 déraillages dans la première rampe, nous empêchant ainsi de monter ensemble et de se stimuler, on grimpe tous les 2 en un peu moins de 1h03 les 12 kms de l'itinéraire simple. C'est une belle manière d'achever ce séjour dans l'Oisans.

J'en profite pour témoigner mon estime de cycliste à Gérald, qui s'avère être un grimpeur très endurant avec une détermination sans failles. Avec une grande marge de progression devant lui, étant donné sa pratique récente et son jeune âge ... et mon meilleur souvenir à Luccio et Mika que des impératifs professionnels ont empêché de faire ce séjour avec nous.

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excellent récit.

Je me revois 4 ou 5 ans plus tôt avec mon ami Roger qui me guidait à l'époque! et sur les mêmes parcours en plus!

merci de te lire, j'ai un coup de blues, vu qu'il a raccroché le vélo suite à des soucis de santé!

maintenant, quand je suis seul en ces lieux d'exception, je ne pense qu'à lui.

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Trois heures de sortie ce matin, dans les vallonnements du sud-est de Bruxelles, notamment le Smeysberg à Huldenberg, la Ijskelderlaan et le Schavei à Overijse.

Me suis mangé les pavés d'un trottoir en plein centre de Tervuren parce qu'un 4*4, arrivant en face de moi dans une rue étroite à sens unique pour les voitures mais pas pour les cyclistes, n'a pas daigné se déporter sur sa droite pour me laisser passer. C'est bien connu, toute la route appartient à ces véhicules gonflés aux hormones, n'est-ce pas? Pas plus de mal qu'une légère écorchure au coude droit heureusement. Le chauffeur (ou la chauffeuse?) du 4*4 n'a évidemment même pas pris la peine de s'arrêter. Typique.

Les cinq dernière minutes de la sortie ont été agrémentées d'une «drache» monumentale qui a suffi pour me tremper jusqu'aux os, sans parler du vélo. Donc, corvée de nettoyage pour conclure cette sortie à oublier!

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202 hier avec 27,2 de moyenne, 7h30 et 2838 de D+ en allant chercher tout ce qui grimpe dans le coin (ben oui, c'est pas énorme mais dur de faire mieux chez moi!!!!. De la pluie pendant tout le parcours

201 aujourd'hui avec 27,5 de moyenne, 7h20 et 1660 de D+. Un peu  de vent, 1 averse d'orage, et un parcours bien casse pattes quand meme

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oui, assez content de mon week end, surtout que samedi j'ai pris de la flotte sur la figure pendant toute la sortie!

Pour l'année prochaine, oui, il faut que tu te décides, tu ne regretteras pas!!!  Moi au départ je voulais le faire une fois, et je pense que j'ai pris perpète!!! pas envie de rater ça!!!

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