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Pendant qu'on est tranquille chez soi....


Ja B

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la derniere année que j ai fait la marmotte et avant d arreter pour 20 ans;je me suis entrainé le samedi avant en montant un col pres de montpellier de 7,5 km et je l ai monté 6 fois de file;ça n a rien a voir avec le ventoux,c est un 6.5/7 % et j avais trouvé ça long et pourtant je grimpais fort a cette epoque;alors 13 fois le ventoux je trouve ça ubuhesque

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Jean-Pascal Roux n'a jamais prétendu s'attaquer à autre chose qu'à un record d'ascensions. 

Ce n'était pas une course, c'était un record d'ascensions.

T'es capable de comprendre ça quand même! NON?

Bien sûr libre à toi de penser qu'une montée sans descente ça ne vaut rien. Libre à toi.

Pour ma part, je pense que c'est raisonnable pour un père de famille de ne pas prendre le risque d'un endormissement sur le vélo ou la collision de nuit avec un animal, mais ça c'est moi.

Je ne juge pas Walther pour avoir pris ce risque, c'est sa vie.

Moi je n'ai pas assez confiance en moi pour tenter de telles descentes, mais cela ne m'autorise pas à porter un jugement sur d'autres, ils doivent se connaître aussi bien que je me connais.

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Rubio 11 montées côté Malaucène, env 1h plus vite que J-P Roux côté Bédoin. Pas assez vite pour tenter une 12ème en 24h.

voir détails sur velo-concept  (Master series)

wikipédia

Masterseries[modifier le code]

Le Masterseries est un défi organisé chaque année fin juin ou début juillet, qui propose d'escalader le Ventoux un minimum de 5 foisMaster, 3 ou 4 fois Expert, 1 ou 2 fois Challenger durant les 24 heures, avec ou sans assistance personnelle.

Les résultats :

  • 2009 : 9 ascensions par Bédoin pour Mark Haycraft. 7 autres participants réussiront 8 ascensions par Bédoin. Le record féminin est établi par Isabelle Esclangon avec 8 montées par Bédoin.
  • 2008 : 5 ascensions par Bédoin pour Pascal Bride et Joachim Mendler (épreuve sur 12 heures seulement).
  • 2007 : 9 ascensions pour Jacky Deconihout.
  • 2006 : 10 ascensions pour Stéphane Rubio. Les records de Jean-Pascal Roux et de Stéphane Rubio à 11 ascensions ont été réalisés indépendamment des Masterseries.
  • 2005 : 8 ascensions pour Paul Moog et Jacky Deconihout.

(Jean-Michel Robert a réalisé 6 ascensions par Bédoin).

  • 2004 : 10 ascensions pour Jean-Pascal Roux et Dominique Briand.
  • 2003 : 7 ascensions pour Hervé Morel et Dominic Rose15.
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Ca n'empêche pas le gâteau d'être bon.

T'as lu Jean-Pascal? Joachim, juge suprême des élégances dans tout ce qui touche au cyclisme admet, certes d'un air pincé, mais admet que ce que tu as fait dans ces 24 heures du Ventoux, eh bien, cela a une certaine valeur sportive.

Il a toujours le dernier mot, tu auras la vie sauve, ainsi en a décidé le César de Vendée.

Il n'a pas remarqué que tu avais fait 10 ascensions en 24 h , avec descentes à vélo comprises, dans le cadre des Master Series.

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Décidément tu ne comprendras jamais rien mon pauvre Bernard.

 

Tu as sans doute raison Joachim.

C'est dommage car j'avais rêvé que l'on puisse se rencontrer pour que tu m'expliques la question des courants neutres avec changement de saveur dans le modèle standard au-delà du niveau dit des arbres et pourquoi ce changement de saveur est fortement inhibé par le "mécanisme" de Glashow-Iliopoulos-Maiani.

Tant pis, si j'insiste on me reprendra peut-être en maternelle grande section.


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Merci Guillame, ça fait plaisir de lire ce CR. Je ne me souviens pas avoir lu ce CR particulier, mais d'autres, oui.

Ce qui est étonnant dans son tableau de marche c'est la régularité. 

Sur 24 h bcp passent par un creux marqué après 14-18h puis reprennent un peu de poil de la bête.

(Si Dominique Callard lit ce forum il peut nous en dire plus.)

Rien de tel pour J-P, juste une baisse très régulière de la puissance.

Pour ma part, je n'ai roulé 24 h qu'en 2 occasions (1 fois clm plat, autre fois en bosse, défi personnel) et malheureusement les 2 fois en prenant le départ avec déjà un déficit de sommeil.

Si bien que la nuit je me suis endormi sur le vélo 2 fois (sur le plat), réveillé par les secousses des bas-côtés.

L'autre fois, en côte, je me suis arrêté 2 fois qq minutes en pleine ascension parce que voyais que je m'assoupissais.

(Il m'est aussi arrivé par temps chaud et avec un déficit de sommeil de sentir que j'étais sur le point de m'endormir en descente -avec peut-être même une "coupure" de la vigilance sur 1 ou 2 s, un peu comme cela peut arriver en voiture parfois. Le remède, s'arrêter au 1er café)

Sur l'un de mes 2 Bordeaux-Paris, je me suis mis en serre-file de notre échappée pendant env. 1 h en pleine nuit, sentant que je n'étais plus très alerte et ne voulant pas causer de chute. 

Sur ce forum c'est sûrement J-Cl Mercier qui a la plus grande exérience sur 24 h, lui qui a gagné une bonne 20aine d'épreuves de cette durée.

Ses commentaires seraient appréciés.

 

 

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Je rejoins Joaquim sur cet avis, certes ce qu'il a fait c'est remarquable, mais faire les descentes aurait rajouté une autre dimension. Parce que il se donne a fond 2h puis passe 1/2h tranquille en voiture à se reposer, personnellement je ne pense pas qu'on puisse dire "en 24h", parce qu'il suffit que le chauffeur y aille à fond dans chaque descente il aurait pu en faire 1 de plus peut être. Après, c'est clair que c'est grand ce qu'il a fait, mais ça sort un peu du cadre du vélo vu qu'il descend de la selle plusieurs fois.

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Parce que il se donne a fond 2h puis passe 1/2h tranquille en voiture à se reposer,

Les descentes se faisaient plutôt en 20 mn, donc à fond, c'est-à-dire vachement balloté sur une route très sinueuse.

Personnellement quand j'ai fait ce genre d'ascensions multiples

1) descente à vélo, temps passé en ascension = 78 %

2) majorité de descentes en voiture, temps passé en ascension : 76%

Tiens, je pourrais même comparer mon rythme cardiaque sur la descente dans les 2 cas pour voir si ce que tu dis est vrai (qu'on se repose en voiture mais pas à vélo). J'ai pas le chiffre sous les yeux, mais le soleil qui tape c'est plus de 10 pulsations en plus dans ce genre d'exercice par rapport à un soleil caché.

Dans mon expérience, le seul vrai avantage de la voiture (en dehors de la sécurité *) c'est pour manger et boire.

* Il y a quand même l'atout de pouvoir programmer la chose plus tard dans la saison quand les températures sont généralement plus basses, avec moins d'heures de soleil (qui est un gros handicap car il chauffe le corps, un intrant calorifique qu'il faut bien éliminer, mais qui a envie de faire ça un jour de pluie).

Donc on élargit la fenêtre de tir à septembre, au lieu de juste mai-août. En choisissant octobre Walther a vraiment choisi la difficulté.

Un autre "avantage" c'est pour l'authentification de la performance car il y a forcément des témoins dans ce cas.

Dans mon cas, quand j'ai relevé mon défi personnel sur 10 000m de D+, mon seul témoin était mon cardiofréquencemètre POLAR.

 

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Si tu me dis comment estimer je le fais.

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Un autre truc que j'ai fait c'est de reconnaître seul le parcours de la RATA (sauf le col le plus facile), donc en me conduisant du sommet d'un col au col suivant et en faisant montées + descentes à vélo (ou l'ordre inverse, selon le cas) sur 2 journées.

PS , le plus facile c'est l'Aprica

http://www.raceacrossthealps.at/downloads/profil.pdf 

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PS Comme je l'ai déjà dit, j'aurais bien aimé pouvoir monter 20 000 mètres de D+ d'affilée, sans descente, juste une ascension, mais il faudrait un tunnel depuis le fond de la fosse des Mariannes jusqu'au sommet de l'Everest (le compte y est à peu près). Malheureusement le plus haut que j'aie eu l'occasion de monter avec un vélo de route c'est 5230 m.😕

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Comme tu es très jeune et que tu n'as pas encore eu le temps de faire toutes les expériences possibles sur un vélo je pensais que ce serait bon que j'ajoute que dans ce genre de tentatives de très longue haleine, l'élément essentiel et de loin, c'est l'énergie totale que l'on doit produire pour la mener à bien. Or l'énergie que tu dépenses en descente (il ne s'agit pas d'une course, on s'économise), est infime, juste quelques relances en sortie de virage pour réaccélérer de 35 km/h à 55 km/h.

Par exemple, la Faucille, il me faut environ 560-570 kJ par ascension, mais je peux faire la descente à une bonne vitesse en ne dépensant que 10-20 kJ, soit rien pratiquement.

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les raideurs dans la nuque

C'est quoi ça?

Tu crois vraiment que ça arrive quand on est assez entraîné pour faire 10 000m de dénivelé (quand l'entraînement s'est fait dans les cols?)

Si oui, je suis juste chanceux que ça ne m'arrive pas.

Mais je m'arrête car tu prétendras toujours avoir raison alors que tu n'as jamais essayé, contrairement à moi, les 2 méthodes.

Ca n'empêche pas que monter 10 fois le Ventoux ce sera toujours difficiles.

ça dépend si tu le fais en 24h ou en 24 mois.

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