Michel ,cela me ramène à l'époque de mes 14 ans ,quand on sortait du bahut à 17h,avec 2 copains nous allions chez un grossiste à Tarbes,et on lui demandait de nous montrer le matos campagnolo,ce grossiste était toujours bien habillé,et avec une cravate qui en jetait ,il mettait des gants d'infirmier pour sortir ces précieuses boîtes En plus dans ce magasin qui ne ressemblait en rien à un magasin de cycles,une odeur de boyaux, pneus, colle et autres,qu'on ne sent plus aujourd'hui,dans ces magasins modernes.Mais aussi la patience de ce Monsieur envers nous,il devait savoir qu'on ne pouvait se payer ce matos qui nous faisait rêver.Le nom de ce Monsieur aujourd'hui disparu ainsi que ce magasin, Martel,son fils était inspecteur des impôts.Une autre et belle époque.