Patrick RICARD

+ 2, Et on fait pareil pour le palmarès de tous les sports ou le physique intervient dans la performance. Faut pas être naïf.

Bonjour Rémy, Il ya des domaines ou l'on n'y connait rien et ceux qui te concernent directement. J'ai 52 ans. Opéré le 03/09/2012, je me suis intéressé aux publications sur les ménisques et je suis en mesure de faire un 1ier bilan in situ. Tu peux être affecté au niveau des ménisques internes (c'est mon cas)ou externes (c'est ton cas et celui d'un copain à peine plus jeune que moi qui a concouru sur des "courses open" (ancienne appelation) avec les pro de l'époque. dans tous les cas (interne ou externe), dans l'hypothèse de simples fissures l'intervention n'est pas systématique. Son opportunité est appréciée au cas par cas par le chirurgien en concertation avec le patient, en fonction de l'âge, la gravité et le mode de vie. L'ablation totale du ménisque est susceptible d'entraîner de l'arthrose une dizaine d'années plus tard. Pour léviter et/ou la retarder : pas de sport violent ou tu portes ton corps. Même si l'on marche très vite et si l'on peu rouler sérieusement à bref délai, 3 mois la récupération à 95 % prend u peu de temps (de 3 mois à 1 an). Courage, car le pire n'est jamais certain. Sportivement.

Moi aussi, je trouve la piscine complémentaire (1 h de 1 à 2 fois par semaine), que ce soit : - L'hiver pour maintenir la condition physique et éviter de rouler lorsqu'il pleut ou qu'il fait trop froid, - L'été pour décontracter les muscles. Et si en plus ça fait plaisir au fiston !

Bonjour Jean, Les symptômes que tu décris (et que j'ai bien mémorisé) ressemblent exactement à ceux de la tendinite que j'avais eu. Si c'est le cas, il t'appartient de trouver la cause. le plus souvent : usure des cales, pédale ou manivelle endommagées. Le remède : kiné + repos (au minimum 1 mois, sauf quelques pros qui parviennent à guérir plus vite). Mais seul le toubib pourra poser un diagnostic. Bon courage.

Bonjour Jean, Concerné, je me suis intéressé aux publications sur les ménisques. Tu peux être affecté au niveau des ménisques internes (ceux qui se font face)ou externes En cas de simples fissures l'intervention n'est pas automatique. Son opportunité est appréciée au cas par cas par le chirurgien, en fonction du mode de vie du patient. L'ablation totale du ménisque est susceptible d'entraîner de l'arthrose une dizaine d'années plus tard. Cela étant, après l'ablation, totale de mon ménisque gauche interne en 1985 avec des techniques qui n'ont rien à voir avec celles d'aujourd'hui), je ne souffre pas d’arthrose (j'ai 52 ans). Courage, car le pire n'est jamais certain. Sportivement.

Merci à tous pour vos témoignages qui ont un dénominateur commun. Je vais m'en inspirer. En ce qui me concerne j'ai pu rouloter sur le plat sans entraîner de douleurs ni de gonflements (mais en "play back" c a d à la vitesse d'un escargot asthmatique). Mon problème résiduel : lorsque je verrouille le genou debout (jambe tendue), je ressens une forme d'instabilité, susceptible d'entraîner des douleurs, notamment si, par mégarde, je pivote légèrement le buste en appui sur la seule jambe opérée. Avez vous le souvenir d'un tel phénomène ? Merci d'avance. Sportivement.

Salut Laurence, Trépignant d'impatience dans l'attente de recouvrer mes moyens suite à mon opération, j'attendais aussi la suite de cette histoire qui manifestement en a remué quelques uns. En attendant, 337ième sur 1035 - 30 km/h de moyenne sur un dénivelé dont je crois me souvenir qu'il est de l'ordre de 1400 mètres, c'est quand même une performance. En tout cas, ça fait beaucoup de mâles derrière, sans compter tous ceux qui ne se risqueraient pas à participer et qui se contentent d'impressionner leur voisin de pallier ou leur collègue de bureau lors d'une sortie "entre amis". Encore bravo et à l'année prochaine peut être. Sportivemement

Merci pour ton témoignage. Il va dans le sens de ce que j'avais imaginé. Le patient doit arbitrer entre les professionnels qui poussent à reprendre le plus vite possible et à appuyer tant que ça ne fait pas mal, et ceux qui conseillent de ne rien faire ou presque pendant des lustres. Entre le trop et le passé, qui croire ? Personnellement, j'ai recommencé à rouler, mais à dose homéopathique et à la vitesse d'un escargot. J'écoute mon corps. En tout cas, ton message me donne un bon espoir pour la saison prochaine.

Bonjour, J'ai fait l'objet d'une intervention chirurgicale visant à l'ablation partielle du ménisque le 03/09/2012. Je suppose que je ne suis pas le premier, ni le dernier. J'ai 52 ans. J(zi récupéré la marche à pieds sur des distances jusqu'à 300 mètres. Je suis déjà remonté sur le vélo pour de très courtes sorties (20 km). Pas de douleurs pour l'instant. Je n'ose en faire beaucoup plus pour l'instant. Quelle est la progression normale sans risquer de se blesser ? Dans quel délai peut on espérer recouvrer totalement ses moyens pour un niveau cyclosportives ? Merci pour vos témoignages et vos suggestions. Sportivement.

Bonjour à tous, J'en étais l'année dernière et j'en garde un bon souvenir. Presque 34 km/h de moyenne pour moi pour 900 mètres de dénivelé positif quand même. Ca ne montait jamais très longtemps mais ils avaient déniché ce qu'il y avait de mieux comme bosses dans le nord ouest de Toulouse. Tempo assuré 😄. Je vous invite à participer (surtout si vous habitez à proximité) d'autant que si mes souvenirs sont bons le montant de l'engagement est moindre que sous d'autres cieux. Pour moi c'est rappé. Fracture du ménisque de retour de vacances en Himalaya, j'ai été opéré il y a juste une semaine.📢 Comme j'aimerai avoir mes 2 jambes valides. Vous en avez de la chance. Profitez en ! Sportivement.

Salut, Il pleuvait au départ de la Barousse Balès 2011 et comme j'étais logé sur Luchon (sur place), j'avais quand même pris le départ avec la convictiion de mettre la flèche. Du coup, j'ai grillé le 1ier ravito avec rien dans les poches. Comme je n'étais pas trop mal placé à la fin du 1ier tiers et que la pluie s'était estompée, j'ai changé d'avis pour continuer. Coup de fringale mémorable. Une concurrente en m'a dépannée et ses mots m'ont encouragé à terminer. Après avoir dévoré le 2ième ravito et récupéré beaucoup de force le temps de le descente, j'ai terminé dans son groupe ou avec 2 autres féminines, elle était en bagarre pour la 2ième place. Finalement, un de mes meilleurs souvenirs. Moins impulsives que les hommes, les féminines ont en général une bonne science du rytme à adopter, mais pas toujours du placement dans un peloton. A+

Salut et merci pour ta réponse, Par curiosité, j’ai recherché les statistiques sur les vents dominants en septembre à Marseille. 20 % de chance pour des vents de secteur Sud Est 80 % de chance pour des vents de secteur Ouest - Nord Ouest et même Nord Nord Ouest. Ce que j'en désuis : vent de cul ou venant de gauche en 1ière partie et vent de face ou venant sur le côté droit au retour. Conclusion : Un peu plus ici qu’ailleurs, en garder beaucoup sous la pédale en 1ière partie quitte à perdre des places, pour éviter d’être cramé sur le retour, sauter des roues, et se retrouver isolé. C’est vrai que les « stars des clochés » n’en ont cure. Ils sont trop forts pour se poser ce type de question ! Eux, ils arrivent, ils vissent, ils se retournent, c’est même pas le peine d’ailleurs, car il n’y a plus personne. Qu’ils pensent quand même à freiner en arrivant. Au fait, il y a peut être de l’embauche chez les british. Qu’ils fassent gaffe à pas faire de l’ombre au patron ou qu'ils enlèvent les oreillettes avant 😲 A + peut être

Salut, Et le vent dominant par rapport au parcours ? Et l'état du bitume ? Les descentes nécessitent t-elles de pédaler, freiner ? Merci d'avance.

Comme je le subodorais certains ne savent pas lire, ou sont des enrhumés chroniques du cerveau déplorer un brouillard dans le cerveau Laurence s’est simplement fait l’écho de situations qu’elle a vécu, à savoir : · « j'ai rencontrer parfois des cyclistes qui jouent le jeux et partent avec moi chercher le groupe plus loin (je les remercient) par contre cela m'arrive de me retrouver dans un groupe où pas un n'avance, t"essayes de les motivés tu prends des relais, t'essayes de faire tourner, impossible. certains tu ne les vois jamais devant mais ils seront fiers eux de LEURS resultats …/… Elle n’a jamais dit qu’elle entendait se coller à la roue de son lièvre durant toute l’épreuve. Personnellement, j’ai des copains qui ont couru avec les pros. Lorsque nous roulons ensemble, je me sens très en sécurité en leur compagnie, y compris dans un peloton (à cause des risques de chute), et pas forcément seulement dans leurs roues, même si c’est plus souvent le cas que l’inverse. Laurence a déjà participé à cette épreuve, et pour un lièvre qui serait d’un niveau à peine supérieur, cela peut aussi lui servir. Ce qui me gène aussi, c’est que je ressens un peu de misogynie dans certains post.

Salut, Je fais le 97 km. Logé à 5 – 7 km du départ, cette distance permettra un léger échauffement. J’ai cru comprendre qu’il ne fallait pas arriver au dernier moment pour ne pas être trop mal placé. J’ai eu à connaître cette situation, et à force de remonter, j’avais finit par me faire sauter tout seul avant d’exploser complètement. Un de mes souvenirs les plus cuisant. Toulousain, je n'ai pas d'info sur cette manifestation autre que ce qui figure sur le site. Toi qui connais cette épreuve, peux tu nous donner quelques tuyaux ? Vent dominant par rapport au parcours …/ ... Lorsque l’on anticipe sur les difficultés (ascensions, direction du vent par rapport au parcours, …/…, il est plus aisé de gérer ses efforts, et la différence de performance est énorme (pour ma part de 23 à 33,5 de moyenne). A l’Albigeoise, je me souviens avoir laissé filer à 500 mètres dans la dernière grosse difficulté sur information erronée d’un concurrent qui m’avait indiqué que le sommet était encore loin. Ensuite, la pluie glaciale m’a congelé car j’étais tout seul vent de face pendant un moment. A + peut être

Bonjour, J’espère que tu ne te formaliseras pas de quelques réactions inappropriées ou pas très pertinentes. Comment ceux là peuvent t-ils ignorer (sauf s’ils sont aveugles, sourds, et/ou imbéciles) que la grande majorité de celles qui ambitionnent de faire une place, disposent au pire d’un poisson pilote, et au mieux d’une équipe dévouée. J’ai été témoin de belles parties de manivelles entre leurs poissons pilotes. Comment feignent ils d’ignorer, qu’à l’inverse de ce que les non pratiquants peuvent imaginer, la compétition cycliste, à quelque niveau que ce soit, ne consiste pas à appuyer sur des pédales comme un demeuré, sauf à réserver ce sport à des QI – 4 auquel je serais contrarié d’être assimilé. N’en déplaise à ceux qui jouent les vierges effarouchées, tu accompliras ton meilleurs résultat si tu parviens à naviguer dans le peloton, à conserver ton sang froid en toutes circonstances (c’est quelquefois très chaud) à accomplir des efforts à bon escient (la connaissance du parcours est importante), et de pas mal de chance, et de beaucoup de voile. A ce petit jeu, j’ai souvent noté que les filles n’étaient pas les plus maladroites. Alors que tu cherches à t’associer un cycliste d’un niveau supérieur, susceptible de te guider dans les méandres d’un peloton ou toutes les roues ne sont pas dignes de confiance, rien de plus normal. Rentrant de 2 semaines et demie sans vélo le 22/08/2012, je serais en principe aux Bosses du 13, pour participer pour la 1ière fois à cette épreuve qui se déroule sur les terres de ma naissance. J’ai cru comprendre qu’elle bénéficiait d’une participation importante, situation qui en principe permet de ne jamais se retrouver isolé, mais qui à l’inverse décuple l’incidence du placement au départ. J’ignore dans quel état physique je serais au départ, mais même si je suis déjà parvenu (1 fois/4) avant la 1ière féminine, il m’est arrivé également d’arriver bien après, et en toutes hypothèses, je n’ai plus le niveau pour jouer ce rôle. Ton post a non seulement eu le mérite de la franchise, mais également celui de permettre de poser un diagnostic sur quelques tares incurables qui n’épargnent ni les pratiquants de la petite reine, ni les autres : aveugles, sourds, enrhumés du cerveau, et plus surement hypocrites. Cela étant, j’aime beaucoup les posts qui font polémiques. Sportivement et bonne chance.

Bonjour, Pas forcément ignare en matière de diététique, je ne comprends rien à toutes ces appellations. Comme je n'aime pas vraiment le goût de ces poudres, je ne les utilise qu'à l'occasion des épreuves cyclosportives, plus commode que les aliments solides qu'il est quelquefois difficile d'aller chercher dans la poche. A cetet fréquence, j'ai terminé la boite que j'avais ces derniers jours, non sans avoir dépassé la date limite de consommation. Alors, même si je ne crois pas trop à ces produits, je suis allé dans une grande enseigne et j'ai acheté l'une des nombreuses boite contenant ces poudres (de perlimpinpin ?). J'ai choisi la mienne surtout à cause du goût "citron vert", et aussi au su des mentions qu'il y a marqué dessus : maintient la performance. Je suppose qu'ils évoquent la durée "de la performance". 'est : ISO +. Est mentionné sur l'emballage : Carbohydrates + glucides + antioxydants, 6 vitamines et 3 minéraux. Quelqu'un connaît ce produit? Vous en pensez quoi?

Salut, Si je fais comme toi, je dégueule toute l'épreuve. mais si j'ai peur de me tromper de route, c'est mieux que la balise "argos"; On me suivrai à la trâce et à l'odeur !😲

Intéressé par cette question, je suis d'accord avec l'esprit de la réponse de Julien, car j'ai l'impression que j'ai personnellement tout faux depuis toujours. Il faut manger selon son appétit, mais pas trop, et d'autant moins que l'on ne respecte pas les fameuses 3 heures avant le départ. je ne connais rien des gâteau sport dont vous parlez, manifestement objet d'une certaine polémique. POur mon petit déjeuner à la maison, c'est comme tous les jours (café en moins depuis peu), précision que comme je ne mange des pates que la veille d'un épreuve, mon appétit est moindre : Kiwi et/ou orange et/ou pomme et si possible banane + céréales sans sucre mélangées à 50 % de lait et d'eau et/ou pain avec un peu de beurre + yaourt nature sans sucre + noix et basta. La question initiale concerne le petit déjeuner à l'hôtel servi forcément trop tard. j'aurais à résoudre ce problème en septembre pour les bosses du 13. La solution envisagée : à priori rien de chaud car ce n'est pas possible ; se débrouiller tout seul pour se concocter ou avaler quelque chose de mangeable, énergétique et pas trop lourd à digérer qui ressemble à ce que je consomme d'habitude. A vos menus

Bonjour, Je m'invite à ce POST pour vous faire part de mon vécu et donner un avis subjectif sur les + de 50 ans dont je f'ais partie. Avec lâge le force et l'explosivité diminue sensiblement. Seule l'endurance se maintient, à condition de la travailler. Impossible de produire les mêmes accélérations. On devient beaucoup plus diesel, et on découvre les crampes, jusque là inconnues. la déshydratation est plus fréquente chez les vieux que chez les jeunes, dont le corps contient naturellement plus d'eau. Une explications ? La VO2 max consommation maximale diminue également très régulièrement, mais dans des proportions qui permettent encore de participer aux cyclosportives et de se faire plaisir, à condition de ne pas vouloir faire "comme avant". Sur les parcours difficiles, et les ascensions de col, le vieux ne peut pas faire illusion, car rien ne remplace le jeunesse. Un exemple : 42 x 24 et même moins, me suffisaient pour gravier sans problème les passages les plus sévères des cols de Menté ou du Portillon. Aujourd'hui, c'est 34 x 27, surtout s'ils interviennent après d'autres. Je me souviens avoir grimpé les derniers km du Menté avec un breton, sur 42 x 20 avec un fréquence de pédalage élevé. Aujourd'hui, cela me semble invraissemblable. Je me souviens aussi avoir pris des éclats car je ne savais pas bien gérer mes efforts. Sur des parcours relativement plats, le vieux peut encore faire illusion. Cela dit, il faut veiller aussi à se respecter davantage, au risque d'hypothéquer sa santé, en évitant de tomber malade l'hiver, ou de trop faire monter les pulsations car l'effort maximal n'est pas recommndé. Les malaises au cours des épreuves arrivent rarement sur des jeunes. surviennent rarement chez les jeunes. Mais le vieux se connaît mieux et apprend au fil du temps à gérer ses efforts (pas toujours). Cela dit, vieillir est la meilleure des choses qui puisse arriver, car l'alternative revêt un caractère définitif. Mais on ne peut être et avoir été. Gardez l'espoir, ça vaut la peine de vieillir. s

Bonjour à tous, Je suis content que ce post suscite autant de réaction. Au delà du consensus sur le refus de prendre des risques qui animent tous ceux qui se sont exprimés (que je partage), subsiste le clivage des craintifs (que je comprends pour l'être aussi un peu) et de ceux qui pensent (à tort ou à raison) être capable d'apprivoiser la vitesse (que je partage également), la limite relevant d'une appréciation personnelle et forcément subjective. Pour autant, si nombreuses sont les explications qui ont été avancées pour abonder ou au contraire infirmer l'hypothèse que j'avais avancée (les anciens plus talentueux que les jeunes), aucun de vous n'a évoqué l'une des raisons suggérée dans mon post initial, de crainte peut être de la polémique ou du politiquement incorrect. Or les "anciens" ont eu l'habitude (dans leur jeunesse) d'être passagers ou conducteurs de véhicules à la tenue de route aléatoire, et à des vitesses qui les conduiraient aujourd'hui à perdre leur permis en moins de 15 jours. personne ou presque ne roulait à 90 km/h sur les routes dans les années 70 - 90. C'est un fait. Il demeure que cette acoutumance à la vitesse leur permettrais aujourd'hui d'être plus décontracté, et donc plus adroits. Qu'en pensez vous ?

Bonjour à tous, Je ne m'atendais pas à autant de réaction sur le sujet ; je dois vous dire que j'approuve toutes vos remarques. Ayant usé beaucoup de 2 roues à moteurs, et ayant goûté au bitume, j'en retire la retenue de ceux qui savent. D'autre part, je ne prendrais jamais le risque de couper un virage sans visibilité en jouant à la roulette russe. Pour autant, il me semble que sans prendre aucun risque, sauf le cas de force majeure d'un bris de matériel, il y a moyen d'éviter d'être sur les freins en ligne droite, et d'être plus décontracté dans les descentes car la crispation est source de chute. A l'inverse, en VTT je suis particulièrement maladroit ou prudent, car les obstacles sont beaucoup plus imprévisibles. 89,6 km/h est la vitesse maximum que j'ai atteinte dans la descente du Port de Balès, mais rares sont les fois ou j'ai dépassé les 80 km/h. A vous.

Les anciens plus doués que les modernes dans les descentes ? L’objet de post ne concerne pas l’élite, mais le niveau moyen dont j’ai pu me rendre compte sur les cyclosportives. En course, j’ai le souvenir d’avoir été, ni meilleur ni pire que mes camarades, en descente, lorsque j’étais plus jeune (15 – 20 ans). J’ai aujourd’hui 52 ans Ayant concouru à quelques cyclosportives depuis l’année dernière, j’ai le sentiment que la jeune génération est particulièrement crispée sur les freins à la moindre déclivité. Mais peut être que je me trompe. Qu’en pensez-vous ? Si vous êtes d’accord avec moi, quelles peuvent en être les raisons ? L’habitue de la vitesse en général ? La culture qui use des termes « violence routière » pour qualifier les « excès de vitesse » y serait t-elle pour quelque chose ? A vous !

Merci encore à tous. Au début, j'ai fais ça pour analyser mes impressions, et accessoirement pour encourager ceux qui hésitaient à se lancer à franchir le cap de ce qui reste une aventure humaine : le sport. Et puis, j'y prends goût. Et si ça distrait ou si ça fait rire, tant mieux.

Tu écris : "le gars est un gros Co....D! c'est a moi de téléphoner. même pas il demande comment je vais , il me balance directement "c'est vous qui vous êtes jeté sur ma voiture" il s'est vite calmé quand j'ai parlé de tribunal je le vois cet après midi pour le constat .../..." S'il n'avait pas le même âge, j'aurais imaginé qu'il s'agissait du même : "un décanilleur de cycliste quoi .../... En ce qui me concerne, il y avait litige sur le point de savoir si j'étais entré avant ou après lui sur le rond point, précision que cela importe peu, car il ressort de sa déclaration auprès de son assureur que l'accident s'est au moment ou il a décidé d'emprunter la sortie suivante du rond point à droite, tandis que je poursuivais sur le rond point. En plus, le 1ier impact est intervenu à l'arrière de mon vélo ! Une discussion s'est engagée alors que j'avais mis plus de 5 minutes à me relever et que j'avais la roue AR très voilée. Comme je n'abondais pas dans son sens, il a prétexté être pressé pour ne pas me ramener chez moi à 15 km. Au final, en desserrant les freins, la roue pouvait tourner et je suis rentré chez moi en vélo avec une pédale tordue .../... Pour ton indemnisation, s'il n'y a pas de discussion sur l'attribution des responsabilités, en ta qualité de victime, il ne peut être opposé une vétusté. C'est le principe indemnitaire. Par contre, le proverbe "Patience et longueur de temps, valent mieux que force et de rage, va être d'actualité. Ce qui est chouette, c'est que tu n'as pas besoin d'être indemnisé pour te racheter un vélo, car à défaut ... Par contre, si comme moi, quelques semaines après tu as des craintes lorsque tu entends un bruit de moteur derrière toi, ne t'inquiète pas, ça finit par passer. Bon courage.