Pour répondre aux différentes questions soulevées :
Je n'ai pas acheté le vélo neuf, mais je connais très bien le vendeur. Lors des échanges de mail, le vélociste m'a confirmé qu'il avait suivit l'entretient du vélo et qu'il était clean lors de la vente.
Et je n'ai subi aucun choc frontal lors de la chute.
J'ai demandé à mon assurance si j'avais droit à une prise en charge, comme il n'y a pas de tiers directement impliqué, elle ne peut rien pour moi. Il m'aurait fallu une assurance juridique pour être accompagné.
Je n'ai pas l'intention de faire appel à un avocat.
Un point soulevé en faveur de Bianchi est que la garantie ne s'applique pas aux vélos de seconde main, ce que je comprends parfaitement. Toutefois, il devrait assumer la possibilité que la fourche casse et ne pas justifier l'absence de prise en charge en invoquant un choc frontal.
Franchement le responsable Bianchi France a été professionnel, mais je pense qu'il a les mains liés et qu'il doit assumer la décision du siège même si elle est adhérente : à savoir mettre la poussière sous le tapis et se convaincre que cela n'arrivera plus.