Ah ! que voilà une analyse complète et pertinente, et puis, et ce depuis le départ du Dauphiné, le visage blême, fatigué, le regard sans expression du Kényan ne me paraissent pas être des signes annonciateurs d'invincibilité. Celui qui décramponnait son leader au train dans le Tour 2012 n'est plus tout à fait le même, et si on ajoute à çà que le Pistolero est de retour !...