Bernard VAILLANT1639476554

J'ai déjà dit qu'il m'en fallait plus ... s'il n'y a qu'une belle "vision" ... je frôle l'impuissance ! Par contre, à propos de choucroute, j'ai déjà fait un réveillon de Noël avec ce produit ... 3 ou 4 jours à Strasbourg à l'époque de Noël ... un coup de fil à ma femme ... "t'enquiquine pas ... je ramène le réveillon" ... Incomparable charcuterie ... sans faire de pub ... K..n ... à Strasbourg. L'essentiel est dans la qualité.

Je ne sais pas dans quel sens il faut prendre cet éclat de rire ... mais, de fait, selon les circonstances -et éventuellement ce qu'on recherche- un minimum de classe s'impose ... exemple ... Hier je vais chez le volailler en ville. Je ne cherchais naturellement strictement rien d'autres que mes poulardes -volailles-. Mon épouse "s'habillant" de manière élégante elle me demande de faire de même -c'est loin d'être toujours le cas pour moi !-. Je mets donc mon duffle-coat de qualité et je mets mon magnifique chapeau anglais fait main. N'y plus ni moins que comme Charles d'Angleterre en tenue décontractée (voire Fillon qui est l'homme politique le mieux habillé de France ... (dont l'épouse est Britannique) et qui adore la célèbre marque anglaise "gentlemen farmer" dont je tairais le nom pour éviter la pub et qu'il faut acheter Régent Street ... comme les chemises à Jermyn street et les chapeaux et casquettes à Saint James Street) Dans le magasin : deux femmes d'une quarantaine d'années un rien snobs mais magnifiques quand même. Bien habillées, minces, vêtues relativement en court ... des jambes galbées et superbes. Juste derrière moi un homme habillé banal -comme moi d’ordinaire- probablement sympathique (y'a pas de raison). Eh bien l'habit fera toujours le moine contrairement au dicton ... les regards de ces deux dames, y compris sur mon épouse, ...classe pour le coup ... ne trompaient pas. Mais ça me fait plus marrer qu'autre chose en observateur ... car, désormais, tout ça est derrière moi et, en permanence "classe" ... je dépareillerais vis à vis de mon voisin ... où ça doit faire 30 ans qu'il ne s'est pas acheté un ... pantalon. ! ... comme moi bientôt dont les 2 dernier jeans remontent à l'an dernier ... ce qui me va très bien car je ne porte plus que ça.

Tu sais ... c'est très simple ... d'abord il faut aimer cela ... ensuite avoir un statut ... quelques sous ne nuisent pas -même si c'est ton patron qui paye- ... et vogue ...non la galère ... mais la découverte de l'autre -car avant le sexe ce qu'il faut aimer c'est la découverte de l'autre. Si tu sautes comme un malade après un bon steak ... évidemment ... t'arrives à rien. La générosité ne suffit même pas. L'élégance, l'humour, la séduction, le goût de la vie de l'autre, s'intéresser vraiment, ne pas juger, comprendre ... c'est essentiel. Avec la fille de Poznan ... j'aurais été ... l'éboueur du coin ... je crains qu'elle ne m'aurait même pas regardé !

Je sais pas ... mais ce dont je suis sûr c'est que la fille que j'évoque de Poznan ... n'est certainement pas restée longtemps dans son pays à gagner des clopinettes et avait le potentiel pour trouver un homme aisé, cultivé, pouvant la valoriser et lui donner le moyen de l'épanouissement dans nos pays ... ce qu'elle cherchait. Ça n'était pas une prostitution d'exploitation mais de choix. Un tremplin pour une vie meilleure. Je rajoute : c'est quoi la différence avec le "bon parti" qu'on recherchait naguère ?

Les courses sont faites -pour demain soir et dimanche- Réveillon. J'ai trouvé les volailles de Bresse mais finalement je me suis dirigé vers deux poulardes fermières que mon épouse fera cuire avec un peu d'estragon. Champignons : morilles -surgelées- et châtaignes -1 invité en raffole et moi aussi- avec un peu de gratin dauphinois. Entrée surprenante : boudin blanc de coquilles saint-jacques. Fromages affinés -rocamadour, brebis du Pays Basque, chaource, saint nectaire et chèvres très secs des Deux-Sévres. Bûche glacée artisanale. A noter que les poulardes que j'ai vues ensuite chez une grande surface ... n'ont rien à voir, déjà sur le plan esthétique, avec celle d'un volailler de centre-ville qui sait où il se fournit ! Le lendemain : - Pinces de crabe, langoustines, quelques huitres, saumon fumé ... avec la coupe de champagne ... chacun picorant ce qu'il veut. Marmite diépoise ... fromages ... bûche -le reste-. Je mettrai un billet de 10 euros à l'offrande de la veillée de Noël dont un des prêtres officiant sera Polonais ... La France ne pourvoyant plus à l'éducation spirituelle de ses enfants.

Poznan -mais je crois avoir déjà raconté- 1999. Ouverture du monde communiste. Je suis seul à la terrasse d'un café. Bien sapé et ... 48 ans. Une magnifique jeune femme vient s'asseoir à la table à côté. On entame la conversation. Je l'invite à dîner. On prend la direction de mon hôtel. Elle m'accompagne. Devant l'hôtel elle me dit -elle parlait français -moyen- et anglais et on se comprenait très bien- : "si vous me faites un beau cadeau je peux vous en faire un aussi". Elle était éducatrice ou un truc comme ça (à l'époque une fille sur 3 se prostituait !) ... en une nuit elles pouvaient gagner avec un occidental ce qu'elle gagnait en 1 mois. Mais ça n'était pas une prostitution vulgaire. Elles choisissaient et elles étaient cultivées et éduquées. Cette fille méritait le respect.

Tu n'as pas tout à fait tort (ni totalement raison). J'avais un statut. Celui de directeur -bien modeste et c'est d'ailleurs ce que j'ai voulu dire sur le post de Patrick quant aux "boss" : il y en a beaucoup ... mais enfin ... un directeur venait donner de la formation- ... Ça aide ... et, sait-on jamais dans l'esprit de ces dames ... peut-être y a t il un profit à tirer de ce ...bon ... en tout cas je l'espère ... bon moment. C'est une évidence qui ne m'a jamais échappé ... et j'ai eu quelques demandes de mutation ... Ainsi est la vie. Tant que t'as un statut ... c'est facile ... si t'es plus rien et que tu ne peux plus rien apporter ... elles n'en ont rien à foutre ... elles vont chez l'autre qui a un statut à condition naturellement, au minimum, d'avoir charme, humour et de présenter correctement ... ça va de soi. C'est pas à 65 balais qu'on apprend à un vieux singe ...

C'est pas que dans le vélo ! Je ne sais pas si vous avez eu l'occasion de passer des soirées, professionnellement, à l'hôtel. A un moment je donnais de la formation, sur 3 jours. Le soir nous dînions ensemble. Le premier soir était à la séduction ... et le deuxième ... à la conclusion. Pourquoi s'enquiquiner à être seuls dans une chambre alors que le conjoint est loin et qu'on peut se faire une récréation ? Très, très peu, de soirées .... solitaires ! Et ce qui est marrant ... c'est que que 30 ans plus tard ... on se retrouve sur facebook avec, parfois, des parcours de vie surprenants !

Ça peut n'être pas calorique ... enfin pas tout ... La volaille, le bœuf, le poisson ... c'est protéiné mais selon les préparations ça peut être léger. J'ai oublié au dessus les fromages, de chez un fromager affineur -on ne trouve pas ici l'équivalent de cette dame qui affinait elle-même près des halles de Dijon-. Elle était hors du commun ! ... tu prends d'excellents chèvres ... c'est très diététique. Et t'es pas obligé de manger le plateau d'époisses, de langres, ... etc ... .

Pas spécifiquement parce que c'est les fêtes ... nous allons après-midi regarder et choisir en fonction des envies et opportunités ... compte tenu qu'on sera nombreux tant à Noël -réveillon et jours suivants- et au Nouvel An. C'est nous qui faisons tout. L'idée première est de tenter de trouver de la volaille de Bresse. Autant à Dijon il suffisait d'aller aux Halles du centre ville ... autant ici c'est pas évident. Nous irons aussi faire un tour chez un boucher extraordinaire. La découpe de la viande n'est pas la même dans tous les pays. Je connais un boucher, formé "partout" qui découpe la viande, par exemple, mode Argentine. Viande de bœuf maturée et fabuleuse -comme j'en mange peu ... je peux me permettre une fois à l'autre diététiquement parlant-. Il faudra aussi passer chez le plus célèbre éleveur d'huitres du Nord Finistère. Huitres, langoustines, pinces de crabes, palourdes ...etc ... . La commande des bûches sera faite chez l’artisan habituel qui est très très bien -mais qu'est ce qu'il bosse !- Une marmite diéppoise est prévue (genre de bouillabaisse). Le poisson est congelé : lotte, barbue, queue de langouste. Le vin est en cave -ou offert- ... j'ai cru comprendre "Alsace vieilles vignes" mais il y aura aussi du Gevrey chambertin et tel grand châteaux de Bordeaux pour les amateurs. Les apéritifs devraient être au champagne voire au jus de tomate. Les cafés au choix des grands crus d'Afrique ou d'Amérique du Sud. Et même pour les amateurs ... mais ça m'étonnerait ... une très vieille liqueur polonaise ... avec ... des feuilles d'or dans sa composition secrète. Ça devrait le faire. Nous penserons aussi aux pauvres de tous horizons en allant à la veillée de Noël ... avec le plaisir de voir nos petites-filles conduire le petit Jésus à la crèche ... symbole de renouveau et d'espoir et symbole, aussi, de notre France éternelle .... dont par sa gastronomie.

Merci ... même souhait pour toi et tes proches.

La seule chose sur laquelle je peux me prononcer ... c'est que l'intégralité de l'environnement médical de la famille est pro vaccins. Dans le monde militaire, on n'y échappe pas. Mon médecin traitant est pour (par exemple pour la grippe) mais ne fait pas n'importe quoi -elle ne voulait pas me vacciner tant que les poumons ne soient pas éclaircis. Finalement je ne l'ai pas fait -il n'y a pas de raisons actuelles pour que je consulte et je ne vais pas consulter que pour ça- - il est probable que l'an prochain je le fasse-. Les petits-enfants suivent les protocoles et ils sont souhaités par leur pédiatre ... notamment aussi vu les voyages par exemple aux Philippines qu'ils font ou vont faire. A titre personnel je ne ferai plus les "rappels" genre tétanos. Je n'en ai pas besoin dans la mesure où je risque très peu n'étant pas bricoleur. Compte tenu que la majorité du corps médical est pro vaccins ... je crois qu'il ne faut pas dramatiser ... et qu'il faut suivre, globalement, les préconisations. Par contre je suis contre les produits anti paludisme que l'on prescrit lors des séjours en pays où la maladie est endémique pour une raison simple : saloperie qui rend très dépressif ... (expérience par proche interposé) et je préfère prendre le risque -faible si l'on prend quelques précautions- d'une piqûre de mauvais moustique.

C'est donc ce sénateur -et non député- que j'ai interpellé. Reconnaissons qu'il s'agit d'un illustre inconnu qui cherche juste à montrer à sa clientèle qu'il existe et "travaille". C'est nul, nul de chez nul. Et c'est ainsi qu'on est de plus enquiquiné par des contraintes et des normes pour des choses parfaitement inutiles. (Non pas le port du casque mais l'obligation). Ce sénateur est un imbécile.

Ça me fait plutôt penser aux colonies de vacances d'adolescents. Vers 16 ans on pouvait se laisser aller aux séances d'onanisme sur la simple vision d'une playmate ... pourtant bien soft. Ensuite j'ai quand même eu droit à des sollicitations un peu plus concrètes que de simples visions, même de rêves, sur un vélo et, ma foi, donc, ça ne m'aurait pas suffit. Ce qui m'est arrivé, une fois, lors d'un voyage itinérant ... c'est de répondre à une pulsion mutuelle ... on se titillait dans un jeu de séduction depuis quelques semaines ... sur le vélo ... la porte de la chambre ouverte comme une invitation ... mais ma femme étant juste à côté ... on va dire que le coït, en tout cas ce jour là, fut parfaitement furtif ... .

Je réponds plus spécifiquement à Michel Roth. 1/ Je n'ai rien à dire contre ton paragraphe de 22h26. OK quant à la protection que donne le casque. Je dis juste que c'est une contrainte supplémentaire et que la plupart des parents font déjà porter le casque à leurs enfants même sur des promenades en forêt à 3 à l'heure ! Le député qui a pondu ça a juste voulu exister. C'est donc stupide à commencer statistiquement. Faisons confiance aux gens et laissons les libres. Les normes et les contraintes ... sur des sujets mineurs ... ça va bien ! 2/ Pour les voitures, si j'en crois l'observation de moi-même, les gadgets contribuent à une moindre sécurité. Entre le bluetooth, le GPS, le MP3, etc, qu'on manipule en roulant combien de fois je me mets en danger ; combien de fois l'automobiliste se met en danger et met les autres en danger ? Il est tout à fait possible qu'il en soit de même parfois avec le casque qui peut vous gêner, que vous souhaitez manipuler, au point de faire une erreur sur le vélo. 3/ Il y a des raisons autant économiques qu'environnementales à la chasse aux vieilles voitures ... que j'approuve effectivement. L'aspect économique compte aussi, probablement, pour cette obligation de port du casque. 4/ Pour terminer dans l'ironie, voire dans la cruauté bête que j'affectionne, il est tout à fait possible que la veuve du cycliste Italien soit une veuve joyeuse grâce à l'assurance ... sachant que, peut-être, elle en avait marre de son champion qui, peut-être, en était contrarié au point d'être accidenté sur le vélo par manque d'attention. Sans compter ses infidélités avec les jeunes femmes des podiums. C'est %@!? ... je sais.

Si c'est exact ... ça fait une contrainte de plus ... et une connerie de plus. C'est même une connerie ahurissante parce que la plupart des parents, trouillards et bêtes, obligent déjà leurs enfants à porter le casque ... même s'ils vont se promener ... en forêt avec leurs parents à côté. C'est d'un ridicule total parce qu'au fond ça ne fait qu'auto justifier les parents qui se disent : "mon Dieu que nous sommes de bons parents et comme sont inconscients ceux qui ne font pas comme nous". Faut bien faire marcher le commerce et il est tout à fait possible qu'il y ait un lobbying en ce sens qui a poussé tel député à proposer une telle loi. Probablement d'ailleurs un député sans grande envergure qui a trouvé cela pour se faire valoir auprès de sa clientèle parce que, nul, il n'est bon à rien et il n'a pas d'autres idées pour faire avancer la société. Je me suis "fait" il y a quelques mois un député en ce sens qui avait pondu une proposition pour rendre cette casserole obligatoire pour tous. Je l'avais mis plus bas que terre et Dieu sait qu'exprimer le mépris ... ça je sais tellement faire que mis minable le mec n'a plus d'arguments. Je lui ai dit ce que je viens de dire : "c'est parce que vous êtes un petit député sans envergure que vous pondez ça". Bouche bée ... le médiocre ... il ne savait plus quoi dire ... car il savait que j'avais raison. Qu'on fiche la paix aux gens !

Je crois me souvenir avoir lu la chose suivante. Extraordinaire. Monsieur Stablewki, le père donc, a 4 enfants. il travaille à la mine. Sa femme décède. Il écrit à une amie en Pologne pour lui dire qu'il est dans la difficulté et lui demande si elle veut bien venir en france et s'occuper des enfants. Elle vient. Épouse Monsieur Stablewski et a un cinquième enfant, Jean. La guerre arrive. Monsieur Stablewski fait une connerie et est abattu par les Allemands. Grosse difficulté financière pour enterrer le père (on démonte un billard pour faire un cercueil !). La mère de Jean a élevé ses 5 enfants dont 4 non biologiques ! Jean Stablinski -nom transformé- a travaillé très tôt et a compris que le vélo était moins dur que la mine. Voilà ce dont des Hommes sont capables.

Bien en tant que coureur ... beaucoup plus douteux en qualité de Directeur Sportif. J'ai, en ma qualité de nordiste, eu l'occasion de le rencontrer avec un ami commun qui avait couru avec lui (amateur). Je connais -et je reconnais- les Polonais ... rien qu'à leur physique et à leur façon d'être (ma belle famille étant de cette origine). Incontestablement un Polonais : à commencer par "dur au mal" qui a fait honneur à la France !

J'apprends la nouvelle. Je suis comme tout le monde : triste. Écrire c'est se livrer. Michel aimait écrire. J'ai fini par découvrir un homme singulier : il avait la nostalgie lyrique. Il avait la nostalgie des grandes épopées cyclistes du passé, des exploits qui ont fait rêver, des grandes plumes du cyclisme, que ça soit en reportage comme Chany, ou en plus poétique comme Blondin (nul doute qu'il les a retrouvés là-haut et qu'ils sont déjà en train d'évoquer leurs souvenirs !). Il vivait aussi dans le regret du Paris qu'il avait connu jeune, enfant, adolescent ; le Paris populaire, le Paris d'Audiard. J'avais parfois le sentiment de vivre en direct "la dernière séance" et, même si je ne crois pas qu'il l'ait évoqué ici, je suis certain qu'il aimait Eddy Mitchell. Le cinéma s'était probablement, pour lui, arrêté, au grands mythes, et aux grandes stars mythiques, des westerns, et autres classiques, des grandes années du cinéma. Il souffrait du monde actuel dont il ne partageait pas les rêves ... si tant est qu'il y en ait. Adieu Michel !

Pour le dopage je crois pour ma part qu'il ne faut pas rester dans le vague lors des conversations. La formulation du propos est importante et il faut être concret. Par exemple : "Que pensez vous du tramadol ?". "Sans forcément de volonté de dopage en avez vous utilisé ?" Autrement dit : "tel épisode douloureux chez vous empêche t il la pratique du vélo ou compensez vous avec l'utilisation d'un assez puissant antalgique ?". Cette dernière question je me la suis posée : je détestais l'idée de rester inactif pour un problème douloureux. J'ai donc pris des trucs assez bénins comme le paracétamol voire même additionné de codéine mais je ne suis jamais allé jusqu'au tramadol -qui ne m'a jamais été prescrit-. Avec l'âge, et si on m'en prescrit, je pense que j'en prendrais ... ayant le sentiment que tout vaut mieux que l'inactivité ... à tort ou à raison.

Ça n'est pas la même chose ! Derrière le médiator, etc, il y a des lobbies industriels. A ce sujet j'ai vu, bien sûr, "la fille de Brest" et bien, justement, si Madame Frachon était restée dans la norme bien confortable que la société attend de tous ... (a fortiori des médecins !) on en serait toujours au même point. Elle a su sortir du cadre. Ce qu'il vous est impossible à concevoir pour quelque chose d'aussi mineur que quelques jeux en ville à vélo ! En tout il faut sortir du cadre si l'on veut avancer ! Ou en tout cas le faire à bon escient.

On ne se positionne pas sur la même chose. Pour les stats chères à Bernard Moreau ... je n'en ai pas mais c'est une évidence : il y a très peu d'accidents. Ils seraient mis immédiatement en exergue et, comme ils ne le sont pas, c'est qu'il n'y en a pas. Quand je dis qu'il faut voir les risques dans leur globalité j'inclus les avantages propres à l'utilisation du vélo en ville qu'il faut encourager ... et qui demande donc à ce que l'on ne pousse pas des cris d'orfraies parce que quelques pratiquants ont une utilisation ludique de l'engin. Le Tour, c'est une entreprise de pollution généralisée. Il y a tout ce qui suit la course en motorisé et ces litanies de spectateurs ... en camping-cars (entre autres) qui salissent les pentes de nos montagnes ... En face, dans le débat qui nous occupe, on a quelques individus, relativement rares car ça n'est franchement pas donné à tout le monde, qui prennent un peu de plaisir ce qui choque quelques rares ... je sais plus comment je disais avant ... il me semble qu'il était question d'une certaine "propreté" et de souhaits de couvre-chefs ! Je redis qu'en plus les films sont tournés de manière à rendre la chose plus spectaculaire qu'elle n'est en réalité et que tout être humain a besoin de respirer pour évacuer psychologiquement contraintes et normes à n'en plus finir qui encadrent désormais nos vies.

Il faut voir le danger dans sa globalité, dans tous ses aspects, ... et je maintiens que tu te trompes.

Tu te trompes. Il est moins dangereux d'avoir ce type de comportements -ou de pratiques- que de rouler en peloton lors du Tour. Il y a très très peu d'accidents y compris, et heureusement, pour les piétons et enfants. Tu te laisses emporter, comme d'autres, par la façon spectaculaire dont c'est filmé

Je ne vois vraiment pas, dans mes propos ci-dessus, où tu vois la moindre trace de "mépris", encore moins de "morve" et où, ici ou précédemment, j'aurais toléré la moindre "agression sexuelle". Faudra aussi que tu m'expliques ce que signifie un "manque patenté du contexte actuel". Si tu veux dire un manque de connaissance du contexte actuel ... je ne le crois pas : le contexte actuel est à la pollution. Et Paris j'y suis grosso modo 4 fois par an. Il y a plusieurs vols par jour Brest/Paris et retour possible même dans la même journée ! Vive le vélo même de pratique atypique voire extrême !