Frédéric LARBAUD

Essaie avec une toile de tente 🙄 Et va ouvrir un "Appel aux petits gros" au lieu de venir troller les grands maigres ! 😉

Merci à tous pour vos réponses. @Steven : j'avais pas du tout pensé à des retouches, mais c'est pas bête. @Jérémie : je profite qu'on ait la même morphologie : tu prends quelle taille chez Assos ? J'aimerais essayer au moins le modèle Neopro (je suis pas assez riche pour les autres) et leur classification par "taille du pilote" me paraît un peu aléatoire @Alain : j'ai prévu d'essayer de me trouver des jambières justement, après avoir eu la satisfaction de trouver enfin (!) des manchettes à ma taille cette année (Noret taille S) ; cela résoudrait le problème de l'habillement mi-saison @Romain : j'avais essayé le cuissard court "Top Performance", déçu moins par la peau que par le textile, beaucoup moins extensible que ce qu'ils proposent d'habitude ; je réessaierai peut-être... @Didier : oui, différence notable de tailles entre les marques... pas forcément évident de s'y retrouver quand on commande par Internet... @Christophe : merci, je note pour Moa

Salut, Suite à des recherches restées infructueuses, je me résous à vous soumettre une difficulté que je ne dois pas être le seul à connaître : je suis grand et maigre (185 cm, 58 kilos, EJ 89 cm) Ce n'est pas contre-indiqué avec la pratique du vélo, mais ça peut l'être en revanche (l'expérience me le montre) avec le port de cuissards à bretelles. A mon niveau de pratique et compte tenu de ma morphologie, un bon cuissard doit réunir les qualités suivantes : - être suffisamment extensible au niveau des bretelles (pour pas me scier les trapèzes) - être suffisamment compressif autour de la taille (pour faire seconde peau aux endroits stratégiques) - être équipé d'une peau suffisamment rembourrée (pour compenser le manque de viande entre la selle et la pointe des ischions, à l'origine de bobos et de soucis pénibles...) Jusqu'à présent, aucune marque de textile cycliste, grande ou petite, n'est parvenue à résoudre pour moi cette équation. Ekoi est pas mal au niveau de la coupe, mais la qualité de la peau (même pour le haut de gamme "Performance") est loin d'être à la hauteur. Cet hiver la solution que j'utilise suite à pas mal de soucis avec des cuissards longs c'est un cuissard court en M (qui me "serre" bien) et un cuissard long de la même gamme en L par-dessus (effet Pampers garanti, mais efficace). Récemment j'ai fait des essais de cuissards Castelli (réputés "près du corps") avec pas mal d'espoirs, mais sans résultat probant pour l'instant au niveau du choix de la taille. Bref, si vous connaissez des marques ou des gammes de cuissards qui remplissent ces conditions, ça me serait d'une grande aide.

450 km en 8 sorties + 5h de HT. Pas grand chose rapporté aux bouffeurs de bornes de ce forum mais une première pour moi qui n'avais jamais roulé sur route en janvier. J'ai pris beaucoup de plaisir (malgré le froid, le vent, les trois couches de vêtements...) et ça change vraiment ma vision du vélo.

En septembre dernier, je suis sur un petit faux-plat montant désert, peinard, route de campagne bien large, je suis bien à droite et pas au milieu de la chaussée. Une 206 fenêtre ouverte me dépasse, le passager me balance une bouteille en plastique à moitié vide qui atterrit sur mon poignet gauche, en souillant mon compteur d'un mélange bière-sirop ou quelque chose comme ça. Le temps de relever la tête, je vois juste un bras qui sort côté passager, avec un gros doigt. Donc oui, attention au doigt, et aux gros cons qui peuplent nos routes surtout.

"Effacer la route calculée" = efface la dernière portion tracée. C'est ce qu'il faut utiliser pour annuler le dernier point sur lequel tu as cliqué. Le bouton "Effacer tous les points" permet d'effacer le parcours en entier et de reprendre une trace à zéro. "Effacer point par point" est assez inutile pour un cycliste sur route et ne doit servir qu'aux coureurs à pied ou pour tracer un circuit de cyclo-cross, afin d'obtenir un dénivelé le plus précis possible. C'est vrai que l'interface n'est pas instinctive lorsqu'on vient d'Openrunner mais une fois que tu t'y es habitué, c'est beaucoup plus fluide à l'usage.

2h30 hier avec des exos de force, des changements de rythme et quelques sprints. Bonne fatigue musculaire ce matin et raideur caractéristique dans les ischios, j'ai préféré roulotter 2h15 en récupérant plutôt que de partir pour 3h30 comme prévu. Du coup "petite" semaine et 350 km depuis le 1er janvier... Loin de Joachim mais pas si mal pour moi qui n'ai encore jamais roulé à cette période, avec les adaptations que ça représente au niveau de la tolérance au froid. Une pensée particulière pour l'imbécile qui m'a doublé hier en répondant à mon "Bonjour" par un "Plus vite !", sans même paraître vouloir plaisanter : ce week-end, les automobilistes auront été, dans l'ensemble, beaucoup moins désagréables que lui.

Oui, c'est pour ça que je reste sur Calcul itinéraires qui est quand même plus fluide et plus rapide pour tracer qu'Openrunner à mon sens. Juste une astuce pour ceux qui s'y mettraient : avant de tracer, sélectionnez bien le mode "Voiture / Moto" de préférence à "Marche / Course à pied" (par défaut) ou "Vélo". Avec ces deux derniers, le moteur se permet de vous faire passer par tous les chemins de terre recensés, et vous interdit par contre de passer des tunnels. Cela peut vite devenir embêtant sur des parcours de montagne, où la trace va faire des détours improbables pour éviter les tunnels, ou vous faire couper tous les lacets par les petits chemins.

A chaque fois que j'ai pu comparer j'ai constaté que Calcul itinéraires surestimait le dénivelé par rapport à Openrunner. Quant à savoir lequel est le plus fiable à ce sujet...

Et si tu reprenais par un peu de VTT ? Ca me paraît un excellent moyen de retrouver de la confiance sur un vélo, à distance de la route si tu en as besoin dans un premier temps. Et tu retrouveras des sensations d'essoufflement, de vitesse et de pilotage qui vont te faire du bien au moral. Sinon, en lisant la dernière partie de ton message, je me dis que si tu t'étais dévoué à ta pratique au point de craindre la moindre coupure, voire de la considérer comme quelque chose de culpabilisant, cela peut aussi être une bonne chose de te donner du temps avant de reprendre, d'abord pour te rendre compte que ce n'est pas si grave (bon enfin ça c'est mon point de vue), ensuite pour t'aérer l'esprit, faire d'autres choses (comme tu as commencé à le faire) et pouvoir revenir avec un réel appétit à ta pratique de la route.

Merci à tous pour vos messages. @ Steeve : je pense qu'on n'est pas tous dotés du même moteur ;) @ Guillaume : tu confirmes certaines choses que je pensais plus ou moins, notamment sur la durée des sorties ; cela dit psychologiquement cela doit être utile de faire 7h avant le jour J... Je ne sais pas si je serai en mesure de sentir si je manque de "volume", à l'heure actuelle pour moi le volume ce sont avant tout des chiffres (en gros du kilométrage et des heures de selle à i2) ; si comme je l'ai lu cela doit permettre de maintenir un "fond de fatigue", c'est cette fatigue là qu'il doit falloir percevoir et entretenir convenablement pour que l'entraînement porte ses fruits. Je suis assez novice dans ce domaine, donc ça va être essentiellement du tâtonnement. L'an dernier ma première "vraie" séance de PMA (du 30"/30") m'avait vraiment arraché, j'avais eu bien du mal à m'en remettre. Aujourd'hui ce serait peut-être différent vu que mon corps connaît. Pour la semaine allégée, je l'avais lu quelque part aussi, je vais essayer d'en jouer. Merci :) @ François : je te conseille de lire la presse spécialisée, il y a une foultitude d'articles sur la question, surtout en ce moment où tout le monde rêve à La Marmotte ou à l'EDT en grelottant... Cyclosport et Cyclocoach donnent des pistes, après il faut savoir adapter à ton niveau et à ta pratique. Pas facile de trier les infos sur le*** mais je te conseille quand même le site VO2Cycling et le blog de Gérard Rollando. D'après moi sur les sorties courtes tu peux intégrer des exercices spécifiques de temps en temps (vélocité, force, sprints, et plus tard intensité) en revanche le week-end il va falloir rouler plus longtemps pour avoir du fond. Quelle cyclo de montagne veux-tu faire ?

Salut Adrien, Je ne te demanderai pas les circonstances de ton accident, mais il faut penser que ton manque de motivation peut aussi être lié à ça. Sans parler de blocage, il est possible qu'il y ait une appréhension à reprendre l'activité vélo de ce fait, ce qui me paraît normal... Concernant l'arrêt du vélo et les désadptations physiques, j'ai lu tout et n'importe quoi, en terme de durée d'inactivité et de pourcentages de pertes de capacités cardio-vasculaire, aérobie, foncière... Pour ma part, je sais que les années précédentes, je devais vraiment reprendre de 0 en mars après avoir arrêté le vélo en décembre - janvier - février, et que je devais attendre en gros fin juin début juillet pour sentir une différence et voir mes moyennes augmenter pour de bon. Mais ce n'est qu'un ressenti, et la grande différence avec toi, c'est que je n'ai pas 10 ans de vélo régulier derrière moi. Si ton corps a gardé la mémoire de ces 10 années assidues, il y a tout de même de fortes chances qu'il se réadapte beaucoup plus vite que celui de quelqu'un de non entraîné, donc que tu retrouves ton niveau plus rapidement. Après c'est une question de ressenti... les "sensations" adviennent parfois mystérieusement, et on peut aussi avoir de bonnes sensations (différemment) en regardant le paysage.

Tout à fait d'accord pour Calcul itinéraires, à une seule exception : le calcul du dénivelé qui est souvent assez loin de la réalité, voire carrément farfelu (parfois ça va du simple au double par rapport à OpenRunner)

Bonjour à tous, Je me permets d'ouvrir un sujet un peu personnalisé sur ma préparation, il y en a déjà beaucoup dans ces pages mais c'est à mon avis leur comparaison qui fait leur intérêt, et j'ai besoin de vos lumières... Pour commencer, mon historique cycliste n'est pas très étoffé, j'ai fait du VTT pendant quelques années à l'adolescence mais je me suis vraiment mis au vélo sur la route en 2011. Depuis j'ai parcouru 13 000 km soit 3000 km/an en moyenne avec des années "basses" et des années "hautes" (4500 km en 2014) avec pour seul moteur le plaisir de rouler, notamment en montagne. En septembre dernier j'ai participé aux Bosses du 13 moyen parcours (136km, 2200 m D+) avec l'objectif de terminer en moins de 5h. Au final j'ai mis 4h40 pour ce qui a constitué une expérience à la fois euphorique et douloureuse, par défaut d'appréciation de la longueur de l'épreuve : 2h à fond dans les bosses en tête de paquet comme un chien fou, puis fringale dans l'Espigoulier et 2h30 à traîner ma misère sur le retour vers Marseille, en essayant de ne surtout pas lâcher la roue devant moi... Une belle déconvenue, qui m'a permis d'apprendre, notamment sur la nécessité de lisser son effort sur une telle durée, mais aussi d'adapter son alimentation en conséquence. Comme tout cyclo qui débute, mon rêve est de participer un jour à La Marmotte, mais la marche me paraît un peu haute pour l'instant. Cette année, j'aimerais commencer par me frotter à de vrais grands parcours et à l'esprit cyclo qui va avec. Je compte participer aux épreuves suivantes : - Ventoux Beaumes de Venise le 06/06 (130km, 3000m D+) - Ardéchoise Volcanique le 20/06 (176km, 32000 D+) - Les Copains le 05/07 (154km, 3000m D+) L'objectif final est de pouvoir atteindre et "tenir" les 7h de vélo (ce sera le cas sur la Volcanique) et de voir "ce que c'est" (au-delà de 5h30 de vélo, pour moi, c'est l'inconnue totale). La préparation sur laquelle j'ai tablé est la suivante : - pas d'arrêt du vélo cet hiver (depuis décembre entre 5 et 8h par semaine, HT compris) - renforcement musculaire du haut du corps et de la ceinture abdominale pour tenir les heures de selle (2 séances de gainage par semaine depuis début décembre) - décembre-janvier-février : force/vélocité, explosivité/relances, quelques séances rythmées, dominante endurance en allongeant progressivement jusqu'à 4h (actuellement : sorties de 3h-3h15) - mars-avril : travail spécifique de la PMA, augmentation du volume avec des sorties atteignant les 5h dès la fin mars - fin avril : une cyclo de préparation pour valider les effets du travail d'intensité et faire du rythme (Provençale Sainte-Victoire, petit ou grand parcours) - mai-juin : travail au SV2, sorties spécifiques dénivelé, et maintien d'un bon volume avec des sorties allant progressivement vers les 6h30, la dernière à J-14 de la Ventoux de manière à bien récupérer. Selon mes prévisions, je devrais avoir atteint environ 3000 à 3500 km début juin, juste avant mes objectifs. Mes questions à l'heure actuelle sont les suivantes : 1/ La progression en terme de durée maximale des sorties est-elle bien ajustée à ce qui m'attend ? Ma principale inconnue au niveau du calendrier porte sur les moments les plus opportuns pour faire de longues sorties : pour l'instant je prévois 6h à J-28 et 6h30 à J-14, avec une progressivité en terme de D+ pour atteindre 3000 m D+ à J-14. Faut-il faire plus long (7h30 ?) et/ou commencer plus tôt ? 2/ Dans cet ordre d'idée, l'intérêt de la Provençale serait-il plutôt de faire le grand parcours (136km, 1800 m D+) en "gérant", ce qui permettrait de valider des points comme l'alimentation et de refaire 5h en mode cyclo, ou bien, comme je le pensais initialement, de faire le petit parcours (98km, 1000 m D+) à fond, de manière à travailler le rythme et de progresser dans ce domaine ? 3/ A mon petit niveau, enchaîner 3 cyclos grand parcours avec 2 semaines d'intervalle entre chacune d'entre elles n'est-il pas un peu présomptueux ? A ce moment de l'année je devrai être en forme bien sûr, mais le temps de récupération, même avec des semaines très allégées entre chaque échéance, vous paraît-il suffisant ? 4/ Dans la mesure où je compte évidemment continuer à rouler durant la deuxième partie de l'année, il est possible d'extrapoler mon kilométrage annuel 2015, si tout se passe comme prévu, aux alentours des 6500-7000 km : n'est-ce pas "trop, trop vite" après mes 4500 km de 2014 ? Je ne veux pas me cramer en toute conscience et le payer par des pépins physiques ultérieurs, pour moi la santé et le plaisir passent avant la performance. J'aurai probablement des réponses à toutes ces questions dans quelques mois et je vous en ferai part, mais d'ici là, je pense pouvoir encore affiner ma préparation. Merci d'avance donc pour vos retours et vos conseils !

Bonjour, D'après ma petite expérience des bobos du vélo, ce type de douleur intervient en effet quand l'extension de la jambe est trop importante, donc : - soit du fait d'une selle trop haute - soit du fait de cales sous-engagées (c'est-à-dire placées plus proches de la pointe du pied que de la voute plantaire) Comme tu mentionnes le changement de vélo comme élément déclencheur, je pense qu'il faut rechercher la cause de ce côté là. As-tu des pédales et des chaussures différentes pour ce mulet ? La longueur des manivelles diffère-t-elle de celles de ton "vrai" vélo (et donc, as-tu bien mesuré la hauteur de selle en partant de l'axe de la pédale et non de l'axe du pédalier) ? A travers les milliers et milliers de répétitions du geste de pédalage le corps s'adapte à une certaine configuration, à une certaine posture, au centimètre près... tu bouges ne serait-ce qu'un élément, et c'est tout l'équilibre qui se trouve modifié. Si ça ne s'arrange pas, ne pas traîner, consulter.

Jacques, concernant le Zephyr que je lorgne depuis quelques temps, ton retour m'intéresse. Comment définirais-tu l'expérience de pilotage ? Le confort ? La position (hauteur de la douille de direction) ? Le cadre est-il un minimum nerveux, ou au contraire plutôt élastique ? As-tu le montage en Ultegra et les Mavic Ksyrium ? Pour l'achat, vers quel revendeur t'es tu tourné ? Quels sont les délais d'importation ? Van Nicholas fait-il du sur mesure sur ces cadres ? Ca fait beaucoup de questions, mais si tu as ne serait-ce que quelques réponses à donner, ça n'intéressera peut-être pas que moi !

C'est vrai que s'engager officiellement concrétise les choses et permet de maintenir ou de relancer la motivation. J'attends de mon côté qu'elle (la motivation) commence à fléchir pour m'inscrire pour de bon. Cette année ce sera : - La Provençale Sainte-Victoire petit parcours fin avril - La Ventoux Beaumes de Venise grand parcours début juin - L'Ardéchoise Volcanique mi-juin, mon principal objectif de l'année (atteindre les 7h de vélo !) - et peut-être (si j'ai encore de la réserve et de l'envie) Les Copains grand parcours début juillet La seconde partie de l'année est plus floue : peut-être Les Bosses du 13 et la Drômoise. Ce sera ma première année sur de grands parcours, donc j'entends y aller prudemment, en étant attentif à la manière dont le corps réagit dans le temps... Mais l'écrire noir sur blanc c'est déjà y être un peu.

C'est exactement ça. Je teste une Aliante Versus X en ce moment (avec un canal très important puisque de 2cm de profondeur) et elle ne me convient pas, moins du fait de sa géométrie ou de ses qualités d'assise que du fait de ma morphologie et de ma position sur le vélo. Ce sera peut-être l'occasion pour toi de te rendre compte que tu es posé "de biais" sur ton vélo (super expérience...) mais si tu n'as pas de problèmes de périnée je pense que tu peux te passer d'une selle évidée.

Ayant passé quelques jours à Nice en fin d'année, je souhaitais faire part de mon retour d'expérience pour ceux que ça peut intéresser. La région est en effet très urbanisée, en particulier le front de mer : à Nice, éviter basse et moyenne corniches, ainsi que la piste cyclable de la promenade des Anglais ; préférer rouler sur le boulevard, mille fois plus sécurisant que la piste cyclable, sauf pour le passage au-dessus du Var. L'arrière-pays en revanche est magnifique, vallonné, avec pas mal de possibilités de sorties, mais il faut avoir du fond pour vraiment en profiter, sur des boucles de 80-100 km. Etant en reprise, j'ai dû me contenter de petites sorties (max. 3h) mais il y a tout de même des choses à faire. Deux exemples : - une boucle Nice - Nice en passant par Saint-Jeannet : rejoindre Cagnes sur Mer (10km tout plats) puis montée de La Gaude mentionnée plus haut, très agréable et roulante, à La Gaude suivre Saint-Jeannet, puis Gattières, et redescendre le long du Var par la route de la Baronne, puis retour à Nice : 60km, 350m D+ ; la route de Saint-Jeannet à Vence est magnifique aussi, si vous avez un peu de fond je pense que le détour par Vence et le col s'impose ; - une boucle Nice - Nice en passant par La Turbie et Peille : prendre la Grande Corniche (à froid, ça fait mal) en direction du col d'Eze, à la Turbie prendre à gauche en direction de Peille ; avant l'arrivée sur Peille, à droite, il y a une route qui part vers Sainte-Agnès : c'est le fameux col de la Madone, cher à Armstrong entre autres ; 4 km à 6/7% de moyenne je pense, il ne faut pas s'en priver car la vue est magnifique ; ensuite redescente sur Peille ("le Village le plus Curieux des Alpes Maritimes", selon la pancarte) et une descente assez technique avec pas mal d'épingles en direction de la vallée du Paillon ; suivre Drap, puis tout droit pour rentrer à Nice (attention, à droite c'est la 2x2 voies) : 60km, 1100m D+, avec 5 cols (Quatre Vents, Eze, Guerre, Saint-Pancrace, Madone de Gorbio) Bonne route !

Bonsoir, 45 km en 1h45 ce matin du côté d'Avignon, en partant tôt pour essayer de devancer le mistral... Sans succès ! Rafales à 50km/h en fin de sortie, j'ai repassé le Rhône juste à temps pour rentrer ! Avec ce vent difficile de rester en endurance basse, le coeur monte bien dans les bouts droits vent de face, mais bon, le principal c'est de rester sur le vélo non ? Je suis admiratif des types qui parviennent à faire 3-4h de vélo dans ces conditions, s'il y en a.