Sur un peloton composé de plus de 150 coureurs et sur plusieurs étapes longues de plus de 170 km il est normal d'assister à quelques crevaisons, d'ailleurs assez isolées. C'est un effet statistique qui donne l'impression que les professionnels crèvent souvent mais ce n'est pas vrai. Le risque individuel de crevaison doit être inférieur à 1% (150 coureurs, etc). C'est très faible.