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Olivier LETOUBLON

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Tout ce qui a été posté par Olivier LETOUBLON

  1. Pour info, Cette après-midi, j'ai fait le col de Romme et je suis monté à 2.7 kms du sommet de la Colombière. Ensuite, la route n'est pas déneigé, il y a environ 1 mètre de neige. Je pense que l'accès au col de la Colombière ne se fera qu'en début mai. Olivier
  2. 300 kms de vélo mais un peu + de 1000 kms de ski de fond (début saison hiver). J'espère avoir dépassé les 4000 kms le 8 juillet 2018 et 80 000 de D+. Objectif de classement : normalement dans les 1000 et si bonne forme dans les 500. Olivier
  3. Oui, je pense que je serai en 34 X 32 même s'il faudra que je change mon groupe car j'ai actuellement un Ultegra Di2 10V. J'utiliserai le 34 X 32 dans les parties les + raides de la Croix-Fry, dans la quasi totalité de la montée des Glières, dans une bonne partie de la montée de Romme et pour les 2 derniers kilomètres de la Colombière.
  4. Je viens de faire le calcul, je trouve 3914 m de dénivelé positif se répartissant ainsi : Annecy - Col de la Croix Fry : 1295 m Col de la Croix Fry - Col des Fleuries : 1029 m soit un cumul de 2 324 m Col des Fleuries - Le Reposoir : 948 m soit un cumul de 3 272 m Le Reposoir - Arrivée : 642 m soit un cumul de 3 914 m
  5. J'étais en Grand Prix 4000 II S en 23 mm. 7.5 bars environ de pressions. Mes pneus commencent à être usés, j'ai fait + de 5000 kms avec.
  6. En règle générale, lors d'une cyclosportive, c'est toujours le dernier col qui est le + dur. Avant hier, je pensais passer un sale moment dans les deux derniers kilomètres de la Colombière mais c'est relativement bien passé et le fait de discuter m'a fait oublier la difficulté. Mais, le 08 juillet, les derniers kilomètres de la Colombière seront très compliqués à gérer. Me connaissant, je risque de partir un peu trop vite et de le payer en fin de parcours.
  7. Vendredi dernier soit le 03 novembre 2017, j’ai repéré la fin de l’étape du tour 2018. Avant de partir, j’avais une certaine appréhension car le samedi auparavant, j’avais eu un gros coup de barre et je n’avais du poser pied à terre et marcher à plusieurs reprises pour gravir les pentes du plateau des Glières. Je pars du Petit-Bornand soit à 3 kms du début de la montée du plateau des Glières aux environs de 10H15. Il fait beau mais le soleil n’a pas encore percé et il fait frais (5 – 6° C environ). Après – de 2.5 kms, je bifurque à droite pour prendre la petite route permettant d’accéder au plateau des Glières. Avant de commencer les véritables pentes, il y a 600 mètres environ de plat descendant. Les premières pentes qui permettent d’accéder à un hameau sont encore raisonnables (8 à 10%). Juste après la 3° épingle, je profite d’une partie presque plane pour m’arrêter et enlever mon coupe-vent. A partir de là, la pente devient très raide (12% environ) et va se poursuivre sur les 3,5 kms suivants. Je ne m’embête pas et je mets dès à présent tout à gauche soit en 34 X 30. Les sensations semblent être meilleures que samedi dernier. Je monte doucement aux environs de 9 kms/heures et mon pouls augmentent peu à peu mais ne dépasse pas les 170. Par moment, mon Gps Garmin indique des inclinaisons de la route dépassant les 15%. Malgré ces pentes particulièrement raides, je continue doucement mais régulièrement. Mon rythme de pédalage se situe entre 60 et 70. Je suis seul sur la route. Le soleil commence à poindre mais il ne fait pas trop chaud, la température est d’environ 8°C. Arrivé à 1200 m d’altitude, il y a un cabanon sur la droite puis plus loin une grosse ferme. Il y a une rupture de pente sur 200 mètres, c’est plat ou quasi plat. J’en profite pour boire un peu. Ensuite, la pente s’accentue. Désormais et ce jusqu’à l’arrivée sur le plateau des Glières la pente ne va pas être inférieure à 12%. La pente moyenne sur les 1.5 kms restant sera de 13.52 %. C’est vraiment très dur. Ma vitesse descend à 8 kms/heures. Enfin, un panneau indique le plateau des Glières. J’y suis presque. Encore un virage à droite puis un petit S et on atteint une ferme ainsi que la fin du bitume. J’ai monté cette partie en moins de 40 minutes soit 18 minutes de moins que samedi dernier. Je suis content, je ne suis pas encore complétement pourri !!! Les 1.9 kms de partie non goudronnées passent bien. Je vais doucement en restant sur la partie droite de la chaussée. Je ne prends pas de risque. La première partie est légèrement descendante mais la seconde est montante. Mon compteur m’indique même un pic à 10%. Par contre, je suis le seul cycliste. Les choses seraient différentes s’il y en avait plusieurs dizaines comme cela sera le cas le 08 juillet 2018. La descente sur Thorens-Glières est assez rapide et technique. Attention, 2 kms après le début de la descente, il y a une partie montante sur 400 mètres d’un pourcentage moyen de 6.5 % mais avec des passages à 10%. Sur cette partie, je ne m’embête pas, je monte très tranquille et je ne force surtout pas. Je descends tranquillement sur Thorens-Glières, la route est en partie refaite mais certaines portions à l’ombre sont humides et je préfère rester prudent. Au panneau Thorens-Glières, la route commence à remonter afin d’accéder au col des Fleuries. C’est un petit col avec des pentes moyenne inférieures à 5%. Il passe facilement à condition de monter tranquille. Ensuite, une route descendante assez sinueuse mais large permet d’atteindre la petite ville de la Roche-sur-Foron. Sur cette partie, en 2016, alors que j’étais sur la cyclo la Grand Bo, j’avais parcouru les 8 kms à près de 50 de moyenne. Après avoir traversé La Roche sur Foron, on descend sur Bonneville par une route départementale très fréquentée avec de grandes lignes droites. Depuis la Roche jusqu’au pied du col de Romme, il y a 22 kilomètres quasiment tout plat. L’idéal, pour le 08 juillet, ce sera de se cacher dans un bon peloton afin de garder un bon rythme sur le plat. C’est ce que j’avais fait en 2016, entre Scionzier et le pied du Col de Joux-Plane. A la sortie de Scionzier, on prend à droite. Il reste encore 300 mètres de plat puis la route se raidit. Un panneau indique col à 9 kms avec un pourcentage moyen pour le kilomètre à venir à 11%. La pente est vraiment très raide. On est régulièrement dans 13 – 14%. Il faut absolument gérer, ne pas s’affoler. Pour moi, ça va. Les sensations sont encore bonnes. Je vais monter doucement et éviter de mettre pied à terre. Arrivé au premier lacet sur la droite, la pente est un peu moins raide. On est dans du 10% environ. Dans le hameau des Cruz, la pente est un peu – sévère (8-9%). Cela permet de se souffler un peu. Un peu avant d’arrivée à Nancy-sur-Cluses, la route est beaucoup moins pentue voir presque plate (2 à 3 %). J’en profite pour boire. Ensuite, la pente s’accentue à nouveau pour être aux environs de 10% et ce jusqu’au 900 dernier mètres du sommet. Ces derniers sont en effet beaucoup moins pentus (6% environ). On arrive enfin dans le village de Romme sur Cluses. Après une légère descente, il y un coup de cul après un virage à gauche à la sortie du hameau. Ensuite, il y a un peu plus d’un kilomètre de plat montant pour atteindre la descente donnant sur le Reposoir. Celle-ci est rapide et tortueuse. Etant encore humide, je préfère descendre prudemment. Arrivé au Reposoir, il reste encore 8 kms pour atteindre le sommet du col de la Colombière. Je ressens une certaine fatigue voire une fatigue certaine !!! Désormais, mon seul objectif, c’est d’arriver au sommet en évitant de poser pied à terre. Dès les premières de pentes qui sont à 8%, je mets tout à gauche en 34 X 30. Je monte doucement mais régulièrement à 10 – 11 kms/h. Je passe ainsi les 5 premiers kilomètres. Ensuite, pour les trois derniers, je sais que ce sera autre chose. C’est quasiment du 10% de moyenne avec près de 11% pour l’avant dernier. Je verrai bien. Devant moi, j’aperçois un cycliste. Si je le vois, c’est que je dois rouler un peu + vite que lui. Je le rejoins alors qu’il reste 2 kilomètres. Je lui dis bonjour comme je le fais chaque fois que je rencontre ou croise un cycliste. J’engage la conversation. Il m’indique qu’il fait partie du club du Genevois. Il repère l’étape du tour 2018 mais il a dû faire une interruption de 3 semaines suite à un voyage au Canada. Cette discussion a permis de ralentir mon rythme malgré la pente supérieure à 10%. Me sentant mieux, j’accélère et je me mets un terme à la discussion en le laissant derrière moi. J’atteins enfin le sommet du col de la Colombière. Je suis très satisfait. Je suis monté doucement mais sans m’arrêter. Je n’ai pas eu de défaillances durant cette sortie. Je fais la descente sur le Grand-Bornand tranquillement. Je repère la toute fin de parcours qui va consister en un plat montant d’un kilomètre environ.
  8. Patrick, Hier, j'étais à côté de la plaque. Normalement, même si c'est très raide, je dois monter sans poser pied à terre. J'y retourne jeudi ou vendredi pour faire la fin de parcours en commençant par la montée des Glières. Ceci étant, en milieu du peloton, si un ou deux coureurs doivent mettre pied à terre, ceux immédiatement derrière seront contraint compte tenu de la largeur de la route et de la pente de s'arrêter. Hier dans la montée des Glières, j'ai fait une dizaine de fois arrêt - pied à terre - marche à côté du vélo - remonter sur le vélo - repartir à vélo. Quand je remontais sur le vélo, la pente était un peu moins raide (10 - 11%). Hier, j'étais quasiment seul sur la route. Il y aurait eu des cyclistes un peu partout, cela aurait été une autre histoire. Si vous ne partez pas dans les 3000 premiers, vous risquez fort de marcher une grande partie de la montée des Glières. Certains vont remettre ça dans le col de Romme et dans les deux derniers kilomètres de la Colombière. J'espère que je n'en ferai pas parti !!!
  9. Hier, j'ai reconnu la première partie de l'étape du tour 2018. Je suis parti à côté de Thorens-Glières. Je suis descendu à Annecy. Les 22 premiers kilomètres sont tout plat. Ensuite, il y a la montée du Talloires qui est très bien passée. On redescend un peu puis on prend à droite en direction du col de Bluffy. A ce moment-là, j'étais avec un cycliste qui comme moi faisait la reconnaissance. Pour rejoindre le col, on est allé jusqu'à l'entrée de Veyrier du Lac. Je pense que l'on est allé trop loin et qu'il aurait fallu tourner avant sur la droite. Je ne pense pas que la pente soit très raide. Après le col de Bluffy, il y a une longue partie de plat descendant pour atteindre Thônes. A la sortie de la ville, on prend la D16 qui marque le début du col de la Croix-Fry. La montée jusqu'à Manigod est un peu irrégulière avec quelques courts passages assez raide aux environs de 10%. A la sortie de Manigod, après l'épingle à gauche, commence une partie très raide de 2 kilomètres à 9 - 10%. Hier, je n'étais pas bien. J'ai eu du mal à passer cette partie raide. Ensuite, la pente se radoucit un peu jusqu'au sommet. Une très longue descente de près de 19 kms permet d'accéder à la petite route de la montée des Glières. Après la bifurcation, il y a environ 400 m de plat. Ensuite, la route se raidit et ce pendant 6 kilomètres. C'est vraiment très raide. Mon compteur Gps Garmin m'indiquera le + souvent des pentes à 12% et certains passages affichent jusqu'à 15-16%. Je n'étais pas bien du tout durant cette montée. J'ai du à plusieurs reprises mettre pied à terre et monter à pied. J'ai mis 58 minutes pour faire les 6 kms soit une moyenne d'à peine + de 6 kms/h. A 1200 m d'altitude, juste avant une ferme sur la droite, il y a 200 m de plat (pente de 2%). Ensuite, la route se raidit à nouveau jusqu'au plateau des Glières (la pente est quasiment toujours au-dessus de 12% durant le dernier kilomètre). Concernant la partie non goudronnée, je ne l'ai pas trouvée si difficile que cela. Le début est un plat descendant. C'est tout à fait praticable. La fin est en montée et le chemin est un peu moins bon. Je suis passé avec des Mavic R-sys Slr et des Grand Prix 4000 II S en 23 mm. Je n'ai pas eu de crevaisons. Cependant, j'étais quasiment le seul cycliste. Je ne sais pas comment cela va passer en peloton. La descente sur Thorens-Glière est assez technique. La chaussée est en partie refaite. 1.5 kilomètres après le col des Glières, alors que la descente est déjà commencée, il y a 500 mètres de montée assez pentu (9-10% par endroit). Il faudra penser à bien prendre son élan. Comme développement, j'ai un pédalier compact en 50 X 34 et une cassette Ultegra 10 V en 12 X 30. Vendredi prochain, j'espère reconnaître la deuxième partie du parcours. J'espère que le 08 juillet 2018, je serai en meilleure condition mais cela va très dure.
  10. Bonsoir Rachele, En 2008, on avait fait La Morzine vallée d'Aulps. On avait du discuter ensemble au début du col de Joux-Verte. J'étais passé devant toi avant le sommet mais tu m'avais doublé dans le dernier col, celui de Joux Plane alors que j'étais complétement cuit. Tu étais arrivée avec 5 minutes d'avance sur moi. Je continue toujours à rouler un peu. Depuis deux ans, je suis parti à la chasse aux cols à vélo. J'ai dépassé les 800 cols différents et je devrai atteindre les 1000 cols courant 2018. Je suis inscrit à l'Etape du tour 2018. Demain, je vais repérer la première partie du parcours (Annecy - Croix Fry et plateau des Glières). J'espère que l'on aura l'occasion de se rencontrer. A+ Olivier LETOUBLON
  11. Samedi prochain, si la météo est correcte, je vais reconnaître la première partie de l'étape. Je pense que la partie non goudronnée ne sera pas si terrible que cela. Si je reconnais le parcours, je vous donnerai mes impressions. La grosse difficulté de cette étape du tour 2018, ce seront les multiples passages très raides qui vont commencer dès Talloires. Dans le col de la Croix Fry, il y a 2 kilomètres à + de 9 % (à la sortie de Manigod, après l'épingle à gauche). La montée au plateau des Glières sera très raide, la montée de Romme est également très raide. Les deux derniers kilomètres de la Colombière seront terribles après + de 150 kms dans les jambes. Il y aura de très nombreux participants qui poseront pied à terre avant l'arrivée au sommet de la Colombière. Il est fort possible que j'en fasse parti. Dans les parties raides, il faudra obligatoirement forcé et être à la limite de la zone rouge. C'est là la grosse difficulté avec 4000 m de dénivelé. Pour ces raisons, je serai en 34 X 32 dans les parties les + raides en essayant au maximum de m'économiser mais cela restera très dur, c'est certain.
  12. En regardant sur Openrunner et sur Google Earth, les 1.8 kms non goudronnées du plateau des Glières ne sont pas tout plat. Openrunner annonce 58 mètres de dénivelé sur les 800 derniers mètres. C'est court mais certains passages doivent être à + de 8%. Je pense qu'ils referont une partie de la chaussée pour supprimer tous les nids de poule. Cela devrait passer sans gros problème et sans casse même avec du matériel haut de gamme. Le parcours est particulièrement difficile notamment en raison des forts pourcentages où on sera obligé de se mettre dans le rouge pour monter. L'enchaînement Romme + Col de la Colombière risque d'être terrible. Je pense que beaucoup mettront pied à terre dans les parties les + raides. Dans les parties les + raides, je serai, je pense en 34 X 32 pour éviter de me mettre trop dans le rouge et pour continuer à bien tourner les jambes.
  13. J'ai récupéré ce matin mon dossard au village qui est situé sur le haut de l'altiport de Megève. Le stationnement des véhicules se fait sur l'altiport. A la remise de mon dossard, il m'a été dit que la course était chronométrée du départ à Megève jusqu'à l'arrivée à Morzine. Par contre, deux personnes qui venaient comme moi de récupérer leurs dossards m'ont dit que le chronomètre s'arrêtait en haut de Joux-Plane. Quelqu'un a-t-il des informations complémentaires à ce sujet ?
  14. Pour info et de source sure, le chronométrage de l'Etape du tour s'arrêtera en haut du col de Joux-Plane pour éviter le risque de chute dans la descente sur Morzine. A ce jour, il n'est pas certain que l'Etape du tour passe par la Ramaz compte tenu du risque d'éboulement qui existe dans la descente après les Praz de Lys. J'ignore quel parcours serait fait si la Ramaz n'était pas gravi.
  15. Problème identique avec mon Garmin Egde 800. Je n'ai pas trouvé de solutions pour l'instant.
  16. Je serai à ta place, je déposerai ma voiture à Sallanches. En 10 kms, tu seras à Megève au départ de l'Etape du tour. La montée de Sallanches à Megève n'est pas très raide, mais elle est un peu chiante. (large route avec pas mal de circulation). Quant tu auras fini ta reconnaissance à Morzine, il te restera 2 difficultés moyennes. Le col des Gets qui est en fait un long plat montant depuis Morzine que tu peux passer même en étant très fatigué. Ensuite, il te restera le col de Chatillon qui lui non plus n'est pas très raide depuis Taninges. Ensuite, tu auras la descente sur Cluses. Si tu fais ta reconnaissance un jour de beau temps, le vent de vallée te sera favorable de Cluses à Sallanches soit 20 kms de plat. Je suis inscrit à l'Etape du tour. J'habite à Chamonix et le 10 juillet, je vais demander à ma fille qu'elle vienne me récupérer à Cluses. Je ferai donc en + de l'étape la portion Morzine - Cluses. Même en étant complétement cuit comme je le serai vraisemblablement, je pense que je pourrai rallié Cluses sans gros effort supplémentaires.
  17. Bonsoir, Pour info, j'ai fais le col de la Colombière le 08 mai 2016 malgré que le col soit fermé. Il restait de la neige au sommet ainsi que dans le début de la descente sur Cluses. J'ai du passer à pied en portant le vélo. Pour le col de la Ramaz et de Joux-plane, je les ai franchi tous les 2 le 10 mai 2016. Au sommet de la Ramaz, les travaux n'étaient pas encore terminés mais cela passait sans poser le pied à terre sur la route non goudronnée. Après la station des Praz de Lys, en bas de la descente, pas très loin du pont des Gets, il y a eu un glissement de terrain. La route est fermé aux voitures mais cela passe sans problème en vélo. Concernant le col de Joux-Plane, dans la descente sur Morzine, à environ 300 mètres du sommet du col du Ranfolly, la route a été coupée par un glissement de terrain. Quand j'y suis passé, les travaux de réfection de la chaussée étaient en cours. J'ai pu passer grâce aux ouvriers qui m'ont autorisés à passer mais il a fallu descendre du vélo et marcher sur un semblant de sentier pendant environ 50 mètres.
  18. Pour le choix du braquet, cela dépend d'au - 2 critères : ton niveau et ta manière de pédaler. Tu utiliseras un braquet différent si tu penses terminer dans les 50 premiers ou juste terminer la course. Il en sera de même si tu as tendance à favoriser la force ou plutôt la vélocité. En 2012, dans l'étape du tour Albertville - La Toussuire, presque la même étape que celle de 2015, j'avais fini dans les 200. Je n'amène pas de gros braquets. J'aime bien tourner les jambes. Dimanche dernier, dès que la pente dépassait les 8 - 9%, j'étais en 34 X 30. Actuellement, je n'ai pas le niveau que j'avais en 2012 (3 ans et 4 kg de +). Pour l'étape à venir, j'aimerai être dans les 1000 premiers, dans les 500, ce serait super mais être dans les 200, ce sera quasiment impossible. Le 10 juillet 2016, je serai en 34 X 30. Si je n'ai pas la forme espérée, il n'est pas exclu que j'utilise un 32 dents à l'arrière. A mi-parcours de Joux-Plane, avant la Combe Emerue, tu as des passages à 13 - 14 %. Puis, un plat de 100 mètres dans le hameau de la Combe Emeru. Ensuite, le pourcentage ne descend quasiment jamais en dessous des 8% avec souvent des pentes à 10 et ce jusqu'au sommet. Ce sera la fin du parcours. Si tu as un trop gros braquet, tu auras vraiment de mal à l'emmener et les crampes ne devraient pas être très loin.
  19. Hier, j'ai enchainé les 2 derniers cols de l'Etape du tour 2016 (Ramaz + Joux-Plane) en partant de Cluses. La fin du col de Joux-Plane est vraiment très dur. Les deux cols sont actuellement en travaux. Ca passe presque sans poser le pied au sommet du col de la Ramaz. Par contre, dans le début de la descente du col de Ranfolly juste après Joux-Plane, il faut descendre de vélo et marcher à pied quelques mètres. La route a été emportée par un glissement de terrain. Des travaux sont en cours pour refaire la route mais je ne pense pas qu'ils ne seront achevés avant le printemps 2016. Le jour de l'épreuve, j'irai en voiture à proximité de Megève (J'habite à Chamonix) et je demanderai à ma fille de venir me rechercher à Cluses. Le retour Morzine - Cluses n'est pas très dur (100 m de dénivelé pour atteindre les Gets puis 100 autres environ pour atteindre le col de Chatillon). Hier, je l'ai fait alors que j'étais bien fatigué et c'est passé sans gros problème. Le jour de la course si vous demandez à quelqu'un de venir vous chercher à Morzine, cela risque d'être une vraie galère pour votre accompagnateur. Le + simple à mon avis, c'est de se donner rendez-vous vers Cluses.
  20. Le parcours sera dur, c'est certain mais il y aura une trentaine de kilomètres de plat. Après la descente de la Colombière, de Scionzier jusqu'au pied du col de la Ramaz, ce sera du plat et ensuite entre Taninges et Samoëns avant d'attaquer la montée de Joux-Plane. On ne doit pas être loin des 25 - 30 kms. On peut également ajouter les 10 premiers kilomètres jusqu'à Flumet qui sont en plat descendant. Je suis inscrit. Il ne reste plus qu'à m'entrainer pour être prêt le jour J
  21. Stéphane, Je suis d'accord avec toi. Mais, la Time Megève Mont-Blanc est une course. Le but est d'aller le + vite possible. Si tu te mets en mode tranquille, ce n'est pas la peine de participer à une telle course. Du moins, c'est ma philosophie sportive.
  22. Mon expérience des cyclosportives me dit que le + dur, c'est toujours le dernier col parce que c'est à ce moment-là que tu es le + fatigué. Dire qu'un col, c'est facile, cela ne veut pas dire grand chose. Exemple, faire 100 mètres à pied, tout le monde quasiment peut le faire. Par contre, faire les 100 mètres en moins d'une minute, c'est déjà un peu + compliqué pour certaines personnes et ainsi de suite. Faire 100 mètres à pied en - de 10 secondes, c'est quasi impossible pour la majorité des gens. Si tu fais le col des Aravis par la Clusaz à fond dès le départ juste après le Grand Bornand, tu reviendras m'en parler en me disant que c'était facile. La difficulté, c'est toi qui te la crée suivant le rythme que tu adoptes dans la course.
  23. Oui, je suis de la région. J'habite à Chamonix. Depuis 2006, j'ai fait la Time Megève Mont-Blanc chaque année. Je connais tous les cols de la région. Cette année, je n'ai pas pu me préparer comme je le souhaitais. Je ne ferai que le petit parcours de la Time.
  24. Bonsoir, Le col de la colombière est un col assez dur surtout les deux derniers kilomètres (10% environ). Il commence par une partie peu raide (4 à 5%) jusqu'à Blanzy. Après le carrefour, tu as 4 kms assez raide, 8% environ. Ensuite, dans un virage, tu verras sur la gauche un grand panneau de publicité pour le Reblochon. A partir de là, tu auras 2 kms de plat montant (2 à 3% de pente) jusqu'au village du Reposoir. Après le Reposoir, il te reste 7.5 kms avant le sommet. La pente est assez raide (8%) sur les 4 premiers kilomètres. La route est pleine de gravillon et il faut être vigilant lorsque l'on se met en danseuse. Ensuite, pour les 3 derniers kilomètres, tu apercevras le sommet qui sera devant toi. C'est la partie la + dure du col. Le dernier kilomètre est à 11%. Pour le col des Saisies par Crest-Voland : Après la descente des Aravis, tu passeras par le village de Flumet, un kilomètre après, tu prendras à droite en direction de Notre Dame de Bellecombe. La route va se raidir rapidement et tu auras un passage à près de 10% sur 1 kilomètre environ. L'intersection qui permet de redescendre sur Flumet marque une pause dans la pente qui ne sera que d'environ 5% jusqu'à Notre dame de Bellecombe. Après l'entrée dans ce village, tu vas prendre à droite en direction de Crest-Volland. Tu auras une descente courte mais raide. Après avoir franchi un pont, la route va se redresser pour atteindre pas loin des 10% sur 1.5 kms avant d'atteindre Crest-Volland. Tu auras un petit répit dans la station mais ensuite, tu prends à gauche dans une grande ligne droite de + en + pentue pour atteindre 8 %. Tu vas monter ainsi durant 4 à 5 kilomètres. Tu vas passer sous une passerelle utilisée l'hiver pour les skieurs de fond. Là, tu auras une partie plate puis descente d'un kilomètre. Ensuite, tu retrouves de la montée assez raide avec une série de 3 lacets. Puis, tu retrouves la route principale pour atteindre la station des Saisies située à 1.5 kms. La pente est d'environ 5% et diminue à l'arrivée de la station. A la fin, c'est presque plat. Je suppose que tu es informé que toutes les descentes de col sont neutralisées. Olivier
  25. Je pense que ton calcul à 4200 mètres de dénivelé doit correspondre à la réalité. En 2012, l'étape du tour qui était similaire sauf pour le premier col (col de la madeleine à la place du col de Saussy), il y avait environ 4800 mètres de dénivelé. Du départ d'Albertville au sommet du col de la Madeleine, il y a 1600 m de dénivelé soit 600 m de dénivelé de + que le col de Saussy. C'est du costaud.
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