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Hugo Koblet au cinéma ?


Invité

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Salut Joachim,

 

Merci pour ce lien, j'ignorais complètement qu'un film avait été consacré à Koblet. Je suis trop jeune pour avoir connu les années 50, mais le cyclisme de cette époque me passionne (le fait d'avoir découvert cette période dorée du vélo uniquement par les livres magnifie même sans doute la véritable histoire...).

Philippe Bordas, résume assez bien je trouve le romantisme et la beauté du cyclisme des années 50 dans un excellent bouquin, "forcenés". Il a même une formule assez bien sentie " les dopages étaient dérisoires, les exploits énormes. Que penser des ces dopages devenus énormes, des ces exploits dérisoires"? 

En tous cas, quelle classe ce Koblet et, à en croire, la biographie que lui a consacrée JP Ollivier, sa vie était un roman. Une véritable existence d'artiste, de funambule toujours en équilibre et qui malheureusement finit par trébucher...

 

Amicalement.

 

Christophe

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Salut Joachim,

 

Bien d'accord avec ton message. C'est là un des drame du dopage massif et scientifique, il a nivelé le niveau et rabaissé le spectacle. Il suffit de voir les courses depuis, disons la fin des 80's et l'ère de L'EPO : leur déroulement est de plus en plus monotone (avec des exceptions bien sûr) et obéit à des schémas tactiques souvent vus et revus. Il semble bien loin le temps où Koblet s'échappait dans une étape de transition (Brive-Agen en 1951), mettait tout le peloton dans le vent et s'imposait en solitaire...Mais que faire ? le Sport est toujours le miroir de son époque et la notre manque sacrément de romantisme et d'exaltation... (mais je m'égare...😄)

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j'ai une photo du bel Hugo que j'avais prise en haut de la côte de Stang ar Garront (Circuit de l'Aulne). J'avais fait 150 bornes à vélo pour aller voir la course sur mon vélo demi-course de marque "Raphaël Géminiani".

Par contre, il n'était pas venu à une réunion sur piste à Cléder où j'avais photographié Robic, Gaul, Gérard Saint, .... Il avait fait savoir qu'il devait accomplir une période militaire.

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