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Posté

Message étonnant et incompréhensible, émanant d'un Breton et envoyé vers 14h00.

Ne serait ce pas dû à un abus de chouchen ou de gouinru ? 😆😆

Remets toi bien si tu veux rouler ce week end.

Cordialement

Posté

Tu as raison sauf que les produits étaient moins dangereux. Le pire c est quand l EPO est arrivé et qu il était mal maîtrise. Sur des athlètes avec des FC très basse, ce produit épaississait le sang et le cœur calait. Les coureurs devaient mettre le réveil au milieu de la nuit et faire quelques pompes pour faire monter un peu le cœur avant de se recoucher.

 

D ailleurs celui qui a voulu protéger ses coureurs était Bruno Rouselle! Et oui et peu de gens le savent ! Tout était contrôler, noter, et vérifier par un TP une num avec surtout l hématocrite. Le magasin bleu n à eu aucun mal à confondre l équipe avect les carnets de " santé " des coureurs.

 

De plus avant 1980 voir un peu plus, faire le métier n était pas que la diététique, l entraînement, l hygiène de vie ect.... mais il était demandé de se " soigner".

Posté

Quand a l époque ou l EPO était régulé oui il n y avait plus de problème de santé. Pour les amphétamine certains pédalelaient encore sur le podium et ne dormaient pas durant 3 jours de course, mais bon c était culturel à la grande époque. Et en 70/80 il était fou que la population cycliste était fort asthmatique... Je me souviens du maillot du meilleur grimpeur 80 du tour si

À mémoire est bonne.

Posté

Peu toxiques certes, mais avec une tonne d'effets secondaires (je n'exagère pas), une accoutumance plutôt rapide et des effets psychologiques ravageurs.

Dans tous les cas nettement plus dangereuses que des injects d'EPO bien contrôlées...

Posté

Il suffit de regarder les moyennes d'étapes et les longeurs totales des TdF de l'époque EPO pour comprendre à quel point c'était supérieur aux vieilles drogues.

Les amphétamines, ça file un énorme coup de boost, mais attention la redescente derrière quand on arrête.





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