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Les anglais


Frédéric LE CLECH

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Le fond de L'Eire effraie...Pas mal 😃 Mais pour en revenir aux anglais en général quand les gens vont en Grande Bretagne ils disent je vais en Angleterre ...(C'est passé dans les moeurs) comme ceux qui vont au Etats-Unis disent je vais en Amérique...En fait l'Amérique est un continent pas un pays. Mais aujourd'hui il y a du progrès on dit plus en Amérique mais aux States🆒 🙄

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Extension du territoire[modifier]

Les sept provinces du Pays basque

Traditionnellement, le Pays basque est décrit comme formé par la réunion de sept provinces, ou territoires historiques. Quatre au sud des Pyrénées forment le pays basque espagnol (ou pays basque sud) (Hegoalde) et trois au nord forment le pays basque français (ou pays basque nord) (Iparralde).

Avec une précision au km² près, chaque source ou presque fournit une valeur différente de la superficie du territoire. Cela peut s'expliquer d'une part par l'indétermination des frontières exactes du pays basque français et d'autre part par le choix d'inclure ou non l'enclave de Treviño dans le calcul : on lit ainsi 20 551 km2 dans Nationalismes au Pays basque[37] ; 20 587 km2 dans Nosostros Los Vascos[38], 20 657 km2 dans l'article (en espagnol) Geografia de l'encyclopédie Auñamendi, 20 664 km2 dans Euskal Herria - Un pueblo[39], 20 725 km2 dans Notre terre basque[40].

Au sud[modifier]
Plaza de la Virgen Blanca à Vitoria-Gasteiz.
Article détaillé : Pays basque espagnol.

Le pays basque sud (Hegoalde), c'est-à-dire sa partie située en Espagne est formé de deux communautés autonomes :

  • La Communauté autonome basque (País Vasco en espagnol, Euskadi en basque) (7,234 km²)[41]. Elle est composée de trois provinces, qui portent l'appellation spécifique de « territoires historiques » :
    • l'Alava (Álava en espagnol, Araba en basque), dont la capitale est Vitoria-Gasteiz. Vitoria est aussi capitale de la communauté autonome basque.
    • la Biscaye (Vizcaya en espagnol, Bizkaia en basque), dont la capitale est Bilbao.
    • le Guipuscoa (Guipúzcoa en espagnol, Gipuzkoa en basque), dont la capitale est Saint-Sébastien.

Pour certaines sources, deux enclaves à l'intérieur de la communauté autonome basque font également partie du Pays basque[42] : l'enclave de Treviño, enclave de la province de Burgos au sein de l'Alava (280 km²[43]) et Valle de Villaverde (20 km²), enclave de la Cantabrie en Biscaye.

  • La Navarre (Navarra en espagnol, Nafarroa en basque), dont la capitale est Pampelune (10,391 km²)[41] est une communauté autonome réduite à une province, qui porte l'appellation spécifique de « Communauté forale » en référence aux fors de Navarre. Il peut être utile de rappeler, comme détaillé plus haut, qu'une partie significative de l'opinion publique navarraise n'accepte pas l'inclusion de la province dans le grand Pays basque qui est l'objet de cet article.
Au nord[modifier]
Bayonne, centre économique du Pays basque français.
Article détaillé : Pays basque français.

Le pays basque nord (Iparralde en basque), c'est-à-dire la partie du Pays basque située en France, couvre la partie occidentale du département des Pyrénées-Atlantiques. Pour les sources récentes, il est composé de l'arrondissement de Bayonne et des cantons de Mauléon-Licharre et Tardets-Sorholus, les sources divergeant pour inclure ou exclure la commune d'Esquiule[44]. Si on accepte ces conventions[45], la superficie du pays basque français (y compris les 29 km² d'Esquiule) est de 2 995 km²[46].

Le Pays basque, dont les frontières ont été définies par la loi Pasqua en 1997, compte 158 communes. Délimitées par les Landes, le golfe de Gascogne, les Pyrénées et la Bidassoa.

Traditionnellement, le pays basque français est divisé en trois provinces :

  • le Labourd (Lapurdien basque) ;
  • la Basse-Navarre (Nafarroa-Behereaen basque) ;
  • la Soule (Xiberoa en dialecte souletin, Zuberoa en basque unifié).

Une présentation aussi sommaire est peu cohérente avec l'appartenance au Pays basque de communes du Bas-Adour difficilement rattachables aux anciens territoires des provinces, qui est généralement admise de nos jours ; il est sans doute plus exact de suivre Jean Goyhenetche dans sa description du pays basque septentrional comme formé de « cinq entités administratives : les deux provinces traditionnelles de Soule et Labourd, le royaume de (basse) Navarre, la ville de Bayonne, la principauté féodale de Gramont »[47].

La Révolution française ayant totalement refondu le système d'administration de la France, les trois provinces (augmentées de villes et villages du Bas-Adour) sont d'abord devenus des districts : celui d'Ustaritz pour le Labourd, celui de Saint-Palais pour la Basse-Navarre, celui de Mauléon pour la Soule. Ces districts sont réunis à trois districts béarnais pour former le nouveau département des Basses-Pyrénées[48]. Au gré des modifications ultérieures du découpage interne du département, les provinces basques ont cessé d'exister dans l'ordre administratif. Un mouvement très actif depuis les dernières décennies du XXe siècle, milite pour la constitution d'un « département Pays basque » dont le territoire serait celui du pays basque nord (voir à ce sujet l'article Batera).

En 2002, confie Jean-Baptiste Etcheto, président du Conseil en développement du Pays basque, c'était encore un bout du monde, méconnu et peu valorisé. Pittoresque sans doute. Aujourd'hui, ajoute l'expert, la région est au cœur d'un quartier européen, un carrefour entre les routes commerciales du nord et du sud de l'Atlantique. Est-ce à dire que le Pays basque n'est qu'une voie de passage ? Certainement pas. Chaque année depuis 2002, le territoire attire 90 000 habitants supplémentaires. Des familles bien sûr, mais surtout des seniors huppés qui viennent trouver là le calme et une qualité de vie incomparable. Neuf golfs, trois thalassos, des kilomètres de sable fin parfaitement entretenus, et, pour les amateurs de glisse, des spots de surf très recherchés... bref une Californie « made in France » où les plus de soixante ans représentent 32 % de la population.[réf. nécessaire]

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Vas dire à un vrai Breton qu'il est Français ! Vas dire à un Corse ou un Basque, un Kanack, un Guyanais ..... qu'ils sont Français, tu auras la même réponse qu'un Gallois ou un Ecossais voir un Irlandais ! Excepté, qu'ils sont tous administrés par un seul et même gouvernement et pour cette raison font partie intégrante, de la France, pour les premiers nommés et de l'Union Jack, pour les second ! Maintenant, les journaleux, c'est pas faux, manquent cruellement d'une culture générale digne de ce nom et je ne parle pas de culture sportive car alors là c'est affligeant ! En fait, depuis le décès des "dinosaures" plus aucun "jeunes croupions" de la profession ne se penche sur le passé de leur sport respectif en amont des années 90-2000. Les racines, ils s'en battent les boules et leur "franchouillardise" exacerbée est un prétexte à taire, à cacher cette ignorance ! J'ai un fils "autiste" d'aujourd'hui 20 piges et si son "père" était souvent surnommé l'"Encyclopédie des sports", je crois sincèrement pouvoir aujourd'hui surnommé mon "fils", "Google" tant sa mémoire est phénoménale !😉😃

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