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Températures et habillement sommets alpins?


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Salut à tous. Je pars dans les Alpes du 7 au 14 juillet pour la première fois, me frotter aux cols. Je me demandais ce qu'il fallait prévoir au niveau habillement, car j'imagine que l'écart de température doit être assez important entre la vallée de la Maurienne et les sommets du coin. En clair, j'ai peur d'avoir soit trop chaud dans la montée, soit trop froid au sommet. Si quelques habitués pouvaient m'éclairer de leur grande sagesse, ce serait bien sympa ;-)

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Pardon? C'est le contraire! En général plus on monte, moins il fait chaud. Si la montée est abritée des vents, ça peut donner l'illusion qu'il fait plus chaud (d'autant que tu avances beaucoup moins vite!) mais au-delà de 1000 m de dénivelée tu sens vite la différence en général. De plus, le climat peut changer à la vitesse de l'éclair en montagne, passer de conditions estivales à hivernales en moins de 24 h, alors que dans la vallée il fait encore beau (vécu!).

Pour ma part, quand je retourne chez mes parents à Grenoble en été avec mon vélo dans le coffre, en plus de prendre la tenue d'été classique j'ajoute au minimum un coupe-vent (en fait un imperméable) et des gants longs légers. Et si le climat prévu est incertain je n'hésite pas à ajouter le cuissard long, le maillot à manches longues et des surchaussures légères dans mes bagages, au cas où…

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Au sommet du Galibier, la plupart du temps, il fait beaucoup plus frais qu'à Valloire et je ne vous parle pas du col dde l'iseran. Dès qu'on dépasse les 2000m, ça commence à pincer. L'été, quand on monte c'est pas un soucis quoique quand le vent se lève glagla... mais alors, à la descente, il vaut mieux avoir pensé à prendre son coupe-vent, sinon ça va être dure de dépasser les 25-30 sans avoir des stalactiques de glace au bout du nez😃

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Quand je retourne à Grenoble, j'emmène tout ça dans mes bagages dans le coffre de ma bagnole, oui. Avec ça je n'ai jamais eu à bâcher dans les cyclos et randos en montagne que j'ai faites. Et j'en fait suffisamment, et par tous les temps pour ne plus avoir de leçons à recevoir sur la façon de m'habiller. 

La clé c'est de s'adapter aux circonstances. Quand je fais du vélo en montagne par beau temps, j'ai sur moi la tenue d'été, et seulement l'imper dans la poche du maillot comme vêtement supplémentaire pour les descentes et les petites averses éventuelles.

S'il fait plus froid (genre s'il fait 15 degrés dans la plaine et 10 degrés à peine plus haut), je met le maillot à manches longues et j'ajoute les gants longs dans les poches, au cas où. Je n'aime pas les manchettes, je trouve qu'elles prennent trop de place dans mes poches, quand elles sont déjà presque pleines avec l'imper et la nourriture.

Et dans les cas extrêmes, je mets le cuissard long. Comme je l'ai fait ce printemps dans la Chartreuse, et c'était pas du luxe! Et les surchaussures quand il pleut ou fait encore plus froid.

Ma seule limite, c'est la neige ou le verglas, là je ne sors pas.

À tous : si vous vous contentez de manchettes et de journal à glisser sous le maillot, ça implique que vous ne pourrez faire de la montagne que par temps beau et chaud. Pourquoi pas, mais si la météo n'est pas trop favorable ça va limiter sévèrement le nombre de vos sorties, sauf si vous tenez à vivre un calvaire.

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Bien d'accord avec toi, Franck.

L'été dernier, en grimpant l'Izoard, je me retrouve dans la casse déserte avec moins de 6° et un vent de folie. Manchettes, jambières et coupe vent enfilés avant le sommet.

Je tremblais fortement et cela ma ennuyé jusque dans le bas de la descente sur Briancon. Heureusement que le soleil était présent car le froid aurait été encore plus prononcé.

Deux jours après, c'était dans Agnel que le froid était saisissant. J'ai eu beau m'habiller chaudement au sommet, j'avais toujours froid. J'ai regretté de ne pas avoir emporté une paire de gants en soie. Cela ne prend pas de place et c'est toujours utile.

Je n'ai jamais rencontré de météo désastreuse avec de la neige ou de la grêle mais le mauvais temps peut arriver en quelques minutes.

Je me rappelle également de ma première montée du soulor dans le froid et le brouillard. Pas le top !!!

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Michel SERRES a écrit :

L'été dernier, en grimpant l'Izoard, je me retrouve dans la casse déserte avec moins de 6° et un vent de folie. Manchettes, jambières et coupe vent enfilés avant le sommet.

Je tremblais fortement et cela ma ennuyé jusque dans le bas de la descente sur Briancon. Heureusement que le soleil était présent car le froid aurait été encore plus prononcé.

môaaa non y faisait pas froid !

certes un peu frais...

 

perso je monte en cuissard court et maillot sans manche avec un coupe vent pour la descente.

le plus important c'est de prendre la météo juste avant de partir.

je confirme qu'il peut faire plus froid en vallée qu'au sommet, du fait de l'humidité en fond de vallée et du soleil qui apparaît plus tôt en altitude.

c'est souvent le vent qui change la donne et surtout le ressenti de chacun, c'est bête a dire mais nous ne sommes pas tous égaux face aux T°.

j'ai des copains qui roulent avec maillot coupe-vent et manchettes jusqu’à 20/22°, alors que je roule en maillot tant que la T° est supérieure à 10°. 

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petit rappel

lors du BRA l'an passé vers le 20 juillet, les pompiers ont été récupérer tout les concurrent bloqué par la neige.......et pour certains en cuissard et manche courte sans autre protection..........

 

Il faut prévoir et donc charger un peu les poches en montées coupe vent manchette sont un minimum, et ça pese quoi? on ne me la fait pas, faite un gros caca avant de partir pour vous alléger et puis c'est tout lol si le poids de votre sécurité vous dérange........

sportivement

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ce n'est pas une question de poids.

en prenant la météo au dernier moment, pour une boucle de 3 à 4h il y a quand même peu de chance de ce retrouver dans pareil circonstance.

certes en montagne le temps peut vite changer mais quand même...

aujourd'hui j'ai fais col d'allos sur les 2 versants, sans même mettre le coupe vent, la météo annonçait beau et chaud.

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