Imanol ALCANTARA Posté le 24 juillet 2018 Share Posté le 24 juillet 2018 Toujours dans ma recherche de reportages sur le cyclisme d'hier, je suis tombé sur celui-ci présenté à la TV espagnole concernant Bernardo Ruiz.Les plus anciens se souviendront peut-être de Bernardo Ruiz qui remporta la Vuelta a España 1948.Ce jeune homme de 93 ans s'est vu offrir comme cadeau d'anniversaire ce superbe reportage qu'il méritait bien.Je l'ai vu hier et j'ai passé un superbe moment, je vous le propose.Nous sommes loin du cyclisme actuel, mais est-ce un défaut?Le film:http://www.rtve.es/alacarta/videos/conexion-vintage/conexion-vintage-ciclismo-bernardo-ruiz/3225618/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imanol ALCANTARA Posté le 24 juillet 2018 Auteur Share Posté le 24 juillet 2018 Note: le reportage est en espagnol, Bernardo Ruiz est interrogé par Pedro Delgado, mais on peut se contenter de prendre du plaisir à la seule vision des images de très belle facture. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 25 juillet 2018 Share Posté le 25 juillet 2018 J'en ai regardé qq minutes.C'est vraiment très intéressant.Très alerte Bernardo, ce qui est curieux c'est que l'entretien au départ semble se dérouler en 2015 (90 ans).Je me souviens de Georges Briquet à la radio française, complètement bourré, commentant la fin de l'étape de Brive du TdF 1951 gagnée - en solitaire - par Ruiz. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Imanol ALCANTARA Posté le 25 juillet 2018 Auteur Share Posté le 25 juillet 2018 Oui, il a 90 ans dans le reportage, très alerte en effet, très bonne mémoire et physique avenant.Je l'ai vu il y a peu à la TV, 93 ans donc et il est pareil.Très agréable à écouter Bernardo Ruiz. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 4 août 2018 Share Posté le 4 août 2018 Bien que ce soit intéressant je constate :beaucoup de longueurs,images qui souvent ne sont pas en lien avec le récit mêmes séquences reprises 2, 3 ou 4 fois (manque de matière à l'évidence).On se rend compte des conditions difficiles des courses à l'époque.Concernant Bahamontès je vois que Bernardo Ruiz en a une piètre opinion ; Federico ne s'intéressait qu'à lui-même et n'en avait rien à cirer de ses équipiers. (cf plus tard son abandon lors du TdF 1965). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés