Le Vélo ..et l'Ego !

[Christian SOREL]

Hé hé hé ..🆒

[Bernard JOSI]

Bonjour Je reprend les courses après luxation du coude qui m a immobilisé 3 semaines .je ben dur dur ,mon ego en prend un coup .même en sortie en groupe. Je subit constamment. Bon la ça va mieux .mais il faut de la patience et savoir être humble ...

[Christian SOREL]

Et si l'égo devait disparaitre complètement de la partique cycliste,.. "en l'occurence", comment serait vécu le vélo ?!😉

[Christian SOREL]

Un connaisseur.. dans les deux domaines je présume 😉

[Christian SOREL]

"Spécialité"... nous sommes tous un peu spécial 😉

[Serge MASSELOT]

Obligé de rester dans les roues à cause de mes problèmes de genoux......mon "Égo " en prends un coup !!!

[Christian SOREL]

C'est le truc du vélo en groupe, "ou tant d'égo se confrontent"...😃 

[Jean-Pierre FOURNIER]

j ai commencé le vélo a 25km/h puis peu a peu je suis monté a 30 je me sentais fort ,très fort presque a vouloir faire le tour ....puis j ai fait quelques tours de mon quartier comme ils disent  et paf  prends ça dans la tronche mdr   puis avec l entrainement   ...ça m a pris 4ans, hier  je suis sorti et fait une sortie d une heure a 33  ça y est en 2019 je fais le tour    .....                        ou  ,,je sais pas encore ......... 😃🙄   c est ça ....l ego ?  en fait je suis égaux   aux autres je crois

[Christian SOREL]

Quand on enlève l'égo,.. on enlève les perfs, le besoin de se comparer à sois avant ou aux autres .. plus besoin de se mettre dans le rouge pour se "flatter"... on roule bien plus pour le plaisirs de produire un effort salutaire en profitant de la nature environante... mais tout ça, pour certains, il faudra peu être plusieurs vies pour le comprendre 😉

C'est aussi pour cela que je roule seul, sans compteur, à la fraîcheur du moment !

[Brice SERAPHIN]

Et bien il serait vécu sans dossards, classements ni strava pour raconter ses places et/ou moyenne...

Ne roulerait plus que les vrais passionnés qui sont pas la pour épater la galerie ni se mesurer le zizi

[Christian SOREL]

On en est pas loin 😆

[Eric HENNUY]

Le sport sans compétition (ici au sens général y compris par rapport à soi même) c'est comme du pain sans sel; c'est bon pour la santé mais çà n'a aucune saveur et plus tard on ne s'en rappelle pas. Sauf si on a mis son pied dans un gros kk ou dans un nid de guêpes, çà on s'en souvient!

[Michael RUFFIER]

30 ans de foot ont eu raison de mon esprit de compétition... Non pas que j'ai joué à un haut niveau (au contraire), mais cette envie d'écraser l'autre par tous les moyens (et en district, ils ne sont pas tous très fair-play) m'a fait raccrocher les crampons, sans aucun regret !

Depuis, j'ai fait du badminton : en loisirs, de la course à pieds : pour le plaisir,  et du vélo : pour découvrir de jolis coins, faire de belles grimpettes.

Et dieu sait que comme ça, je suis heureux de faire du sport !

[Eric HENNUY]

Esprit de compétition ne veut pas nécessairement dire "écraser l'autre", relis ce que j'ai écris.

Si tu améliores ton temps dans l'ascension dans un col, tu es content, non? Et puis cet esprit de compétition avec toi même te permets d'améliorer ta condition physique et d'encore mieux profiter au niveau découverte par exemple.

Dans un autre contexte l'amélioration de ta condition grâce à l'esprit de compétition te permet de pouvoir suivre tes copains ou de les aider dans le vent si tu es plus fort qu'eux. Et puis un petit sprint entre copains n'a rien de malsain!

[Alain CORMARY]

Jouer avec le sentiment d'estime de soi est important quand je fais du vélo.

[Michael RUFFIER]

J’ai bien lu Eric. Je disais juste que LE FOOT avait tué MON esprit de compétition. Se faire insulter, les tricheries, les magouilles tout ça pour garder sa 3eme place en 1re div de district... J’ai dit stop. J’ai essayé de continuer avec les veterans, mais même là, sans classement, ni championnat, les gars arrivaient à se prendre la tête pour un hors-jeu ou une touche...

Ce dont tu parles, moi j’appelle ça le dépassement de soi. Bien sûr que je suis content de boucler mon 108 bornes à 27 de moyenne alors que le tout premier je l’ai fait sans dénivelé à 24 de moyenne, je suis ravi de grimper ma cote fétiche sur le 24, a 14 de moyenne, alors qu’il y a 8 mois, j’étais sur le 30, à 2 doigts de mettre pied à terre. Mais tout ça ne se fait pas au détriment de l’autre.

Bien sûr que c’est sain de vouloir aller plus vite, plus haut, plus fort. Juste que ça ne m’attire plus, pas envie de m’engager dans une course, par exemple.

[Brigitte CRETON]

L'ego , son importance et ses excès ne sont pas spécifiques au vélo. Quand je pratiquais les sports de montagne, ski de rando, alpinisme (où la notion de vitesse avait peu d'importance, car très dépendante des conditions ), on retrouvait l'ego dans la "communication" , et également l'évaluation de la difficulté (c'était à qui descendait la pente la plus raide à skis par exemple) . On collectionnait les sommets et on totalisait le dénivelé annuel. Il y avait aussi des pratiquants qui ne chiffraient rien du tout et se clamaient bien fort purs contemplatifs : on les retrouve aussi dans le vélo ... c'est aussi un moyen de s'affirmer et de conforter son ego.

Je crois qu'on est ainsi, que l'on fasse de belles sorties ou de belles performances, nous avons besoin d'un minimum de reconnaissance de nos efforts.

[Brigitte CRETON]

Oui je suis d'accord avec toi . Le "flatage" d'ego est parfois discret car c'est les proches qui s'en occupent, il existe néanmoins. Parfois il a existé à une époque, et les gens en ont fait le tour, du coup ils ont plus de recul par rapport à ça . Il y a aussi ceux qui ont leur compte de flatage en dehors du sport.