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"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"


Bernard VAILLANT1639476554

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Moi aussi depuis début novembre je roule avec led devant et derrière en toute circonstances. Et ce jusqu'au moins la Chandeleur! Faible luminosité oblige. Et je dois avouer que les automobilistes me voient mieux vis à vis de leurs réaction (moins frôlé, moins de route coupée au dernier moment,...)

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C'est le bon sens même, rien à rajouter sauf que la peur est un produit comme un autre, elle est instrumentalisée et vendue comme peut l'être n'importe quel produit du commerce. Autre chose, je suis toujours effaré presque de lire ou d'entendre des personnes qui ont compris le sens de la vie après être passés près de la perdre, cela veut dire que sans ces épreuves ils seraient restés idiots comme le sont donc ceux qui n'ont pas eu à subir ces épreuves? le sens de la vie doit être appris par l'étude, il doit s'être révélé à nous au plus tôt de notre existence, dès l'âge de raison et vers la trentaine tout humain devrait l'avoir compris et vivre sa vie en rapport. Je suis étonné de me rendre compte suite à ce compte rendu d'un accident aussi terrible que sa narration est peu terrible et d'un niveau de mièvrerie digne du Cours Préparatoire que ce n'est pas le cas. On dirait un texte destiné à des enfants et très surpris je suis à la vérité de voir qu'il plait aux grands-parents de ceux-ci. De même que ce cycliste accidenté auquel je souhaite le meilleur et le plus prompt des rétablissements, ait "attendu" sa disgrâce pour se rendre compte que la vie ne tient qu'à un fil de boyau et qu'il faut profiter du temps présent, démontre par cette philosophie puérile qu'il aurait gagné du temps de réflexion s'il en avait moins passé sur son vélo et plus devant des livres. En résumé je trouve triste de voir des adultes à l'intelligence enfantine et d'autres les applaudir ou s'en émouvoir.
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J'avais tendance à ne les allumer qu'à la tombée du jour mais ce post incite à augmenter ses chances de survie.

J'ai déjà été percuté de face, en plein jour, par une voiture dont le chauffeur ne m'avait pas vu, heureusement à une vitesse modérée, et je n'ai eu que des hématomes (mais cadre et roues tordus). Mon père à été percuté de l'arrière malgré ses vêtements réfléchissants et ses leds, il a bien morflé.

Comme l'a dit Jacques, le danger doit-il nous condamner au fauteuil, une sorte de mort avant l'heure ? Où se situe la limite du risque acceptable ?

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tu diminueras les risques de ne pas être vu certainement,😉 mais lorsque tu as affaire a des individus qui lorsqu'ils sont derrière un volant continuent de pianoter des SMS ou de consulter Facebook sur leurs téléphones ou pire regarder un film a la télé en conduisant un semi remorque 😲tu pourrais être équipé d'un gilet jaune et d'un gyrophare sur ton casque que leurs premiers mot après avoir renversé un cycliste ( ou piéton) sera "je ne vous ai pas vu"

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En tout cas ... ce qui est sûr ... c'est qu'il est moins enquiquinant à lire que toi ! Mais c'est pas difficile ... le sens de la vie ... pour toi ... semble être de faire du pseudo intellectualisme et, peut-être, de "défendre", hypocritement, les pas bons du tout en système économique. Ce qui, on l'avouera, nous donnerait une belle société de progrès !

Le témoignage semble toucher à autre chose qu'une vie limitée, donc, au pseudo intellectualisme et au terre à terre.

Quelque chose m'a frappé, tout en nuances, dans ce témoignage, c'est un genre d'approche d'une certaine spiritualité très éloignée du "sens de la vie" d'un mec préoccupé, hypocritement, des petits salaires et qui semble penser que le "sens de la vie" s'apprend par l'étude ! Autrement dit ... jadis ... un couillon en blouse grise aurait pu m'apprendre le sens de la vie ! Ben ... je préfère le curé !

Ça n'est pas la première fois que j'entends quelqu'un sortir d'une très grande approche de la mort dire ... que ça lui est égal ... qu'il a envie de partir.

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Je me pose souvent la question de la grande souffrance animale, biologique et celles des hommes, c'est la même, qui n'ont pas à leur disposition une pharmacopée de répit.

Y a t il des mécanismes biologiques, voire également spirituels, qui la limitent cette souffrance ?

Cet article semble y répondre en partie. Quand il dit que malgré la violence du choc, sur le moment, il met son cerveau en mode "off" et qu'il ne souffre pas. Encore, naturellement, faut il en avoir un, comme par exemple le chimpanzé, plus évolué que mon instituteur de 12éme.

Ça aussi c'est un témoignage qui se rapproche des constats qu'on peut faire lors de la mort de proches ou d'amis. Je n'ai, personnellement, jamais vu de masques de souffrance, après la mort, quelque soit la souffrance qui y a conduit.

Y a t il un mécanisme, biologique, ou spirituel, qui console à la mort ... qui l'appelle ...et ces mécanismes bénéficient ils aux animaux ?

Accessoirement peut-on exercer ces mécanismes de notre vivant. Jack London a écrit un remarquable roman (insupportable à lire tellement c'est dur mais mis au concours d’élèves officiers il y a quelques années) : "le passager des étoiles" ... où malgré d'indicibles souffrances le narrateur arriv eà s'évader vers les ... étoiles.

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Je pense la même chose, par définition et toute logique des choses un automobiliste renverse un cycliste car il ne l'a pas vu, s'il l'avait vu il ne l'aurait pas renversé comme dirait Lapalisse. Et il ne l'a pas vu, moins car le cycliste était peu visible que parce que l'automobiliste était dans l'incapacité de le voir, occupé comme tu dis à se servir de son smartphone ou l'attention détournée par quelque motif que ce soit. Se déguiser en guirlande de Noël, c'est l'époque, mais l'automobiliste les yeux sur son smartphone ou sur les cuisses de son accompagnatrice ne les aura pas davantage sur la route et les éventuels cyclistes qui peuvent y être présents. En résumé s'enguirlander de mille feux ne sert à rien pour la sécurité des cyclistes ça sert à satisfaire les attentes financières des nombreux vendeurs de peurs qui n'ont jamais plus qu'aujourd'hui trouvé de clients prêts à leur rendre ce service.
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Je pense que tu trouveras réponses à tes questions élémentaires dans l'étude plus que sur un forum, de vélo qui plus est. Puisque tu abordes le sujet si peu discouru de la mort, Jack London dans Martin Eden a écrit de mon humble avis les plus justes, belles, littéraires paroles la concernant et le passage y menant, tu les trouveras en fin de roman, elles le clôturent, et de quelle manière.
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Tu fais vraiment une fixation ... sur  un genre de manipulation, mondialement organisée, peut-être par Lucifer ? sur la consommation de tout et n'importe quoi !

Les gens ... n'ont pas de couteau sous la gorge ! Ils achètent ce qu'ils veulent bien acheter et pour ma part je suis indifférent à toute publicité. Je ne les vois même pas.

 

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Le forum me permet de discourir de manière légère ... pas d'intellectualiser.

Quant aux questions, précises, que je pose, ici, il n'y a pas de réponses et Jack London ... intelligent, n'en donne pas -il serait le roi des cons !-.

Mais à l'instar de Jack London ... l'article, à un niveau moindre ... bien sûr ... interpelle.

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Ton tort est de trop parler (ou écrire) et de ne pas assez réfléchir (ou lire), passer moins de temps sur le forum et plus à lire Baudrillard ou Boorstin (entre autres) te permettrait je crois si tu t'en donnes la peine, de te raviser et d'éviter d'écrire de telles choses si dénuées de fondement et de vérité.
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Salut

 Je suis étonné de me rendre compte suite à ce compte rendu d'un accident aussi terrible que sa narration est peu terrible et d'un niveau de mièvrerie digne du Cours Préparatoire que ce n'est pas le cas. On dirait un texte destiné à des enfants et très surpris je suis à la vérité de voir qu'il plait aux grands-parents de ceux-ci.

En lisant toutes ces louanges sur ce " texte" je me suis fait la même réflexion que toi .

Les midinettes n'ont pas toutes 14 ans

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Taratata ... merci d'éviter les leçons.

Elles me poussent, d'où qu'elles viennent et dès mat sup (maternelle supérieure) ... elles m'ont poussé à la révolte.

Ça va bien. à la retraite un peu de paix !

Figure toi que, maintenant, je n'aurais même plus envie de maculer le dos de la blouse blanche d'un quelconque rabâcheur de SVT d'encre de mon stylo à plume bien qu'on ne puisse pas en faire une utilisation plus utile et je crois bien que, désormais, j'irais pisser dans les chiottes plutôt que dans le seau à éponges de tableau noir.

Bon sur ce ... j'ai pas que ça à faire ... à ce soir !

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