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"Je suis sorti faire du vélo, j'ai vécu l'enfer"


Bernard VAILLANT1639476554

Messages recommandés

Ce qui montre bien qu'il y a des choses à changer dans les règles et les mentalités.

Tes amis ne sont pas des cons. Ils sont juste en avance. Je vais illustrer par un exemple qui n'a rien à voir avec le vélo mais qui montre que, parfois, un autre angle de vue permet de solutionner bien des choses.

Copropriétaire, à une époque, l'Assemblée des copropriétaires proteste contre le fait qu'une pelouse face à l'immeuble est systématiquement abimée par le passage des résidents. C'est pas beau, n'est ce pas, et c'est à qui de s'insurger contre le manque de discipline élémentaire des résidents.

La première année je suggère qu'on officialise en quelque sorte le dit passage en en créant un véritable. On me rit au nez.

L'année suivante, re belote ... . Je suggère à nouveau la même chose. C'est adopté ... et miracle ... plus de problème.

C'est pareil avec les cyclistes : changeons et faisons changer les points de vue !

Ce sont tes amis, intelligents, c'est toi qui le dis, qui ont raison.

Regardons les choses sous un autre angle !

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C'est évident, mais comme le dit Jérémie en extrapolant son idée s'il me permet, une fois que tu auras mis des lumières partout sur ton vélo qui éclairent à des kilomètres, que tu rouleras bien reposé, les sens en éveil, en faisant bien attention à tout, en anticipant les erreurs possibles des autres, en étant humble sur la route, respectant toutes les signalisations etc. si une voiture doit te rentrer dedans car le conducteur s'est endormi, a été ébloui par le soleil, distrait par quelque chose etc. comme le dit encore une fois Jérémie, et bien c'est fait. Conclusion mienne? que ce qui doit arriver arrive, le meilleur comme le pire, personne ne peut rien contre le destin, et croire le contraire est mentir et se mentir à soi-même.
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C'est pas tout à fait ce que je veux dire. Il s'agit de faire émerger, petit à petit, un genre de droit suprême aux plus faibles ... en s'imposant.

J'ai depuis longtemps constaté, à vélo, et ailleurs, que tu es bien plus en sécurité en t'imposant qu'en rasant le bord de la route.

Faut pas être honteux de faire du vélo ... mais s'imposer comme à part entière de droit sur la route.

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Mais je n'ai pas arrêté le vélo pour une histoire de danger, j'ai juste remis ma pratique en question. Si j'ai arrêté le vélo c'est parce que je n'aime pas la région où je suis et que j'ai la garde de mes 3 enfants.

J'ai eu tous les résultats que j'espérais à la hauteur de mon entrainement, de mes sacrifices, après faire moins de 7h à la Marmotte, le faire une fois de plus où une fois de moins, ça ne m'intéressait plus...

J'avais juste envie d'autre chose. Je ne suis pas flipette dans les descentes de cols. L'année dernière j'étais dans les Alpes et sur le Ventoux avec tout autant de plaisir..

Enfin bref

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Il y a du vrai dans ce que tu dis. Celui qui s'écrase... on le pousse encore un peu plus et on a tendance à laisser passer celui qui s'impose.

Mais le rapport de force ne se situe pas uniquement sur le plan psychologique. Le poids-lourd qui déboîte en mettant son clignotant, tu l'arrêtes rarement d'un coup de klaxon. Penses-tu avoir la même "force de persuasion" à vélo ?

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Argh !

Oui malheureusement, tu ne pourrais pas savoir ce que la montagne me manque !!

En Vendée, oui lorsque avec des potes on allait faire des stages, j'ai trouvé les automobilistes courtois et respectueux, la région, le climat assez sympas. Pas si loin j'étais très bien dans le Val d'Oise, il y avait plein de gros talus à portée de roues.

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Je suis bien de cet avis. Mais les vendeurs de vêtements flashy ou de lumières ou de casques qui savent qu'ils vendent des illusions de sécurité ont de beaux jours de bénéfices devant eux car la peur est un produit comme un autre. La filière dite inversée est simple et connue en marketing: on crée ou profite d'un fait, ici la sécurité routière des cyclistes, pour cela on relaie tous les accidents, les gens prennent peur, et une fois la peur installée on propose des produits censés faire disparaitre cette peur en faisant disparaitre ses causes. Un peu comme le vitrier de Chaplin qui envoyait un gamin casser les vitres des voisins et ensuite arrivait comme par hasard Chaplin en criant "vitrier"! ce comportement est vieux comme le monde et le négoce mais il fonctionne toujours, la preuve ici.
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Oui, tu as "essayé"... Mais quand tu y roules toute l'année, c'est autre chose. Tu multiplies tes chances d'avoir un accident.

Des accidents, il y en a certainement davantage à Marseille, que là où le pauvre type s'est fait renversé.

Il est juste passé au mauvais endroit au mauvais moment. C'est l'exception qui confirme la règle.

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Plutôt de celles d'experts en vente qui se sont aperçus il y a bien longtemps que selon l'idée de la mystification de la consommation dans sa liberté annoncée (Galbraith) la peur (comme le bonheur) est un produit comme les autres et source de grands revenus car sentiment facile à faire naitre ou entretenir. Les vêtements flashy, le casque, les lumières, tout l'arsenal de sécurité qu'on nous vend est là pour enrichir ceux qui les vendent. J'ai expliqué antérieurement le principe je n'y reviens pas.
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Faux, absolument faux, totalement faux. Délirant.

Rien ne saurait être bâti de durable avec des méthodes aussi perverses que celles qui sont dans ton esprit et seulement dans ton esprit.

Le principe fondamental du marketing est bien plus positif !

On part des besoins et on cherche à y répondre !

La manipulation mentale est extrêmement marginale et, encore une fois, ne permettrait pas de perdurer sur le long terme.

Je crains, ceci dit avec beaucoup de gentillesse -c'est une constante chez moi vis à vis des personnes malades- que tu mérites des soins.

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