Frédéric JEANMOUGIN Posté le 12 juillet 2018 Share Posté le 12 juillet 2018 Je pense que le parcours de cette année est plus dur que 2017 et encore plus que 2016 2015 2014 (avant, je ne connais pas).De ce fait, les cyclos qui s'inscrivent ne sont pas les mêmes, et donc le niveau est plus élevé.Je me retrouve moins bien classé : dans la 1ère moitié plutôt que dans le 1er tiers (après, je n'ai pas un gabarit de grimpeur).Mais au moins, cette année, j'ai le sentiment d'avoir fait une vraie étape du tour.Pas un truc au rabais pour faire venir les amateurs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Frédéric JEANMOUGIN Posté le 12 juillet 2018 Share Posté le 12 juillet 2018 Le nombre n'est pas limité à 15000 depuis quelques années ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cédric SAGANSAN Posté le 12 juillet 2018 Auteur Share Posté le 12 juillet 2018 Oui mais pour des raisons diverses le nombres des partants est inférieur à ce chiffre, cette année avec 13000 partants ça constitue un record. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Florian FRISON Posté le 12 juillet 2018 Share Posté le 12 juillet 2018 Les 15 000 places sont en général toute vendu. Mais il y a un paquet de fort, environ 3000 cette année. 🙁 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kévin DEMEESTER Posté le 13 juillet 2018 Share Posté le 13 juillet 2018 Une étape vraiment très très difficile. Je suis parti dans le SAS 0 , ai portant monté Croix-Fry et Glières à ma main mais les crampes sont déjà arrivées dans les Fleuries. (Plus des douleurs similaires à des crampes sur la face interne des cuisses rendant le pédalage momentanément impossible).Pourtant lors de la reco de ces 2 mêmes cols le mardi aucun problème avec la même allure et plus de chaleur (car reco en pleine apm). Bref, la fin a été un vrai calvaire et les 3 derniers kms de la Colombière ont duré une éternité. Je savais à peine marcher à l'arrivée.Finis en 6h28 (563 ème) complètement HS. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paul MAILLIET Posté le 13 juillet 2018 Share Posté le 13 juillet 2018 Olivier On a dû rouler ensemble, en 2011 je suis 382 éme à 23,33 km/h 709 éme en 2010 23,79 km/h 531 éme en 2015 756 éme en 2016 La moyenne cette année est de 24,12 km, en ayant géré la montée du col de fry et la transition après les Glieres pour éviter les crampes je prends de la maltodextrine les 3 jours précédents Paul Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kévin DEMEESTER Posté le 13 juillet 2018 Share Posté le 13 juillet 2018 le problème que tu évoques n'est pas celui dont je parlais quelques jours avant l'étape. Je voulais partir dans le sas 1 (avec les dossards 1000 et des...) pour démarrer avec mon cousin mais ayant le dossard 635 j'avais peur que mon chrono se déclenche au même moment que le premier du sas 0. Si tel était le cas cela aurait fait entre 7 et 10 minutes de perdues avant même que la course ne commence. 10 minutes m'auraient fait perdre environ 200 places, ce qui est énorme lorsque tu essaies d'améliorer un objectif perso, et c'est déjà ce que je te disais avant l'étape. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Luc BELLONI Posté le 13 juillet 2018 Share Posté le 13 juillet 2018 Paul, tu peux peut-être me renseigner: En comparant le classement général et les temps grimpeurs, j'ai constaté que ceux partis des premiers sas ont statistiquement un meilleur temps final que ceux partis plus tard, à temps de grimpée identique. Ainsi, j'ai fini en 7h00 avec 3h00 de montée en partant du sas 7. Beaucoup de petits dossards avec le même classement ont mis 10' de plus dans les cols ou ont fini en 6h45 avec le même temps de montée. Pourquoi? Les premiers partis se sont dépensés inconsidéremment sur le plat? Ceux partis loin y ont au contraire glandé? Personnellement, je n'ai pas arrêté de doubler pendant 7h, sans être gêné, mais je n'ai pas bénéficié de gros pelotons derrière lesquels m'abriter dans les transitions. Est-ce l'explication? D'où ma question pour toi: on a fini exactement dans le même temps, on a grimpé de la même façon à quelques secondes près (et même dans la même seconde dans Romme!), toi dans le sas 0, moi dans le 7. Comment te situais-tu par rapport aux groupes autour de toi? mieux sur le plat ou en montée? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Frédéric LAFFAIRE Posté le 13 juillet 2018 Share Posté le 13 juillet 2018 Ca me fait bien marrer cette difficulté de cette EDT.Par rapport à l'année dernière, le différentiel n'est pas énorme. Ces dernières années étaient sans saveur en terme de défi proposé. Mais si on prend 2012 par exemple, c'était quand même autre chose.Et on parle de quoi ici ? De cols qui ne dépassent même pas 10 km Même si les pourcentages sont élevés ou très élevés, on y passe quoi, 1h au max. C'est autre chose quand on passe 2 h d'affilé sur un col et qu'on dépasse les 2000 m d'altitude.Et quelles conditions climatiques pour cette EDT ? Du soleil. Alors oui, il faisait peut être chaud.Mais demandez si les participants d'Issoire - Saint-Flour n'auraient pas voulu avoir le même soleil quitte à avoir très chaud, ou alors Pau-Hautacam, ou alors Pau-Bagnères-de-Luchon, ou alors...4000 m de D+, ce n'est pas anodin, c'est dur oui. Mais il y a déjà eu des parcours plus durs par le passé ou des conditions climatiques plus exigeantes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sébastien GUERRAZ Posté le 14 juillet 2018 Share Posté le 14 juillet 2018 Dans le dauphiné témoignage de la personne qui a chuté dans la descente des glieres et que beaucoup ont vu. Il explique que c'est son tubeless qui a explosé alors qu'il venait de le changer un km plus tôt. Il s'en sort avec plusieurs fractures mais il a échappé au pire. Ce serait la seconde fois que son tubeless explose.... Si certains ont des avis sur le problème j'ai du mal à comprendre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
André MASSOL Posté le 14 juillet 2018 Share Posté le 14 juillet 2018 Bonjour Frédéric ,La difficulté de cette étape ne vient pas du dénivélé ni de la chaleur ..Mais plutôt du fait que Glières , Romme voire ( enfin moins ) la Colombière c'était des murs à grimper ..En ce qui me concerne j'ai participer à 10 étapes sur les 11 dernières ( je n'ai pas fat Annecy - Le Semnoz ) et avec Pau - Luchon ( du surtout au fait du temps ) c'est la plus difficile que j'ai eu à faire ..Pau - Hautacam n'était pas dure ..Bon weekend Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pascal LUITEL Posté le 14 juillet 2018 Share Posté le 14 juillet 2018 J'ai terminé 4 étapes du Tour, pour moi la plus dure c'était Lourdes/Luz-Ardiden plus de 200 bornes, avec les ascensions de Peyresourde, Aspin, Tourmalet, Luz-Ardiden en 1994 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Frédéric LAFFAIRE Posté le 14 juillet 2018 Share Posté le 14 juillet 2018 Oui peut être des murs, mais des murs de quelques kilomètres, c'est très facile à gérer si on a les développements adaptés. Donc au final c'est un parcours qui se fait très bien. Il suffit de voir le faible taux d'abandon par rapport à certaines années, même si ce n'est pas une preuve absolue car ça dépend du niveau de préparation des inscrits. Pau-Luchon, outre la météo, c'était 200km et 5000m D+, Albertville-La Toussuire pas simple non plus, Foix-Loudenvielle, Pau-Tourmalet (qui avait aussi sa partie de mur avec Marie-Blanque),... ASO repropose depuis 2 ans des parcours long avec dénivelé conséquent, en espérant que ça continue car les EDT à 130 km...bof Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
André MASSOL Posté le 14 juillet 2018 Share Posté le 14 juillet 2018 Tout ce fait Frédéric , il suffit de le faire à son niveau ..On parle juste de difficulté , c'est pour cela que je dit que cette étape n'était pas facile .Ne compare pas Marie Blanque avec Glières ou Romme ..Comment la tu trouvé ? tu a mis combien de temps ?Bon samedi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paul MAILLIET Posté le 14 juillet 2018 Share Posté le 14 juillet 2018 Luc, j'ai beaucoup géré pour ne pas me mettre dans le rouge, dès le départ j'aurai pu rouler beaucoup plus vite. Idem dans la transition après les Gliéres, j'ai voulu en garder, j'ai même perdu 10' aux ravitos terminant 9eme de la catégorie à 3´de la deuxième place je m'en veux. J'ai comparé avec un copain qui termine en 6h30 qui a monté un peu moins vite que moi tous les cols. Sur une cyclo à Aix en Provence j'étais parti trop vite, m'obligeant à attendre un groupe derrière. Il est difficille de trouver le bon dosage. J'aurai peut-être plus apprécier de partir derrière, dans le SAS 0 c'était à fond dès le départ. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre GADIOU Posté le 14 juillet 2018 Share Posté le 14 juillet 2018 Je craignais cette montée des Glieres mais je ne l'ai pas trouvé si dure car il y a des virages ou l'on peut récupérer. Pour moi Marie Blanque ou Bagargui sont plus difficiles car il n''y à aucun répit. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre GADIOU Posté le 15 juillet 2018 Share Posté le 15 juillet 2018 J'ai participé au vingt dernières étapes du Tour et je ne classe pas celle de cette année dans les plus difficiles. Foix-Loudenvielle, Albertville-La Toussuire, Pau-Bayonne, Pau-Luchon ... étaient plus longues avec plus de dénivelé Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge GUILLOBEZ Posté le 15 juillet 2018 Share Posté le 15 juillet 2018 Pierre la fin des Glières avant la piste en dehors de la forêt et en ligne droite (type Brunissard ...) est dure, physiquement et moralement ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre GADIOU Posté le 15 juillet 2018 Share Posté le 15 juillet 2018 Oui Serge, c'est vrai que cette dernière ligne droite est très raide mais ça vient après un court passage en descente et on sait que c'est la fin des difficultés Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cedric ROUVRAIS Posté le 16 juillet 2018 Share Posté le 16 juillet 2018 On peut toujours vouloir comparer la difficulté selon les années. Ca reste quand même subjectif. Certains préfère les cols courts avec des pourcentages assez importants quand d'autres préfères des cols plus longs avec des pourcentages plus abordables. Effectivement, je trouve, mais ce n'est qu'un avis personnel, plus difficile de monter un col de 7 ou 8 % de moyenne pendant 20 kms qu'un col de 7 ou 8 kms à 9 ou 10 % de moyenne. L'effort n'est pas le même. Il n'empêche que ces étapes restent difficiles globalement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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