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La petite difficulté à la c** qui bloque


Invité

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Je vais avoir l'air c.. mais tant pis : ce n'est ni une côte, ni un col, ni un secteur pavé qui me bloque, c'est le vent. Chaque fois que je l'entends siffler à mes oreilles, je prends un coup au moral et donc forcément une bonne partie de mes moyens physiques. C'est une quasi-phobie dont je n'ai jamais pu me débarrasser.

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Je vais avoir l'air c.. mais tant pis : ce n'est ni une côte, ni un col, ni un secteur pavé qui me bloque, c'est le vent. Chaque fois que je l'entends siffler à mes oreilles, je prends un coup au moral et donc forcément une bonne partie de mes moyens physiques. C'est une quasi-phobie dont je n'ai jamais pu me débarrasser.

 

Si je devais être bloqué à cause du vent je sortirais jamais, demain rafales de 60 à 70 km/h prévues et pourtant je vais sortir avec plaisir alors que j'ai horreur de la pluie...

Chez moi l y a une deux bosses que j'aime pas, elle sont distantes l'une de l'autre de 5 km, pas longues et pas très difficiles mais pourtant elles m'insupportent, jamais su avec quel braquet les monter alors qu'il y en a d'autres bien plus longues et difficiles que je monte avec plaisir.

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Ça ne me «bloque» pas au sens strict, ça ne m'empêche pas de sortir ni de rouler (sauf véritable tempête bien sûr). Ça vaut mieux d'ailleurs, en Belgique… Mais ça m'affecte bien plus que les autres cyclistes, particulièrement les Belges de souche pour qui le vent fait partie du paysage, si j'ose dire.

Moi j'ai passé mes 28 premières années dans une région (vallée du Grésivaudan près de Grenoble) encadrée par des massifs montagneux et donc généralement abritée des vents, avant d'emménager en Belgique. J'ai appris à faire du vélo en montagne, donc les côtes et les cols font partie de ma culture mais le vent absolument pas. Ça doit jouer.

Je n'aime pas la pluie ni le froid, mais ils me dérangent beaucoup moins.

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Y a un endroit qui s'appelle "les 4 vents" au nord d'Arras dans le Pas-de-Calais. J'y ai toujours été planté. 

Ma vie professionnelle a fait que je bosse à Arras et que je suis quasi obligé d'aller vers ces fameux "4 vents" si je veux faire une sortie sympa avec retour vent dans le dos.😆

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Le vent c'est horrible !

Je préfère 20 km à 70 % que 20 km avec un gros vent de face. Le vent de coté me fait stresser comme pas possible.

Ce que je déteste le plus c'est le vieux vent de face sur le plateau de Saclay quand je rentre d'une grosse sortie à travailler dans les montés boisées. Je me suis déjà retrouve à hurler de rage tout seul sur la route 😃

Le seul moment où je supporte le vent de face c'est quand j'ai un pote plus mal que moi dans ma roue et que sans moi il ne rentre pas à la maison.

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C'est marrant ton post, par chez moi il y a pas mal de petits raidards qui ont des passages entre 10 et 20%, et où malgré la difficulté je prends toujours du plaisir

Par contre, parmi les côtes qui font en gros 1 km à 5-6%, il y en a deux, très rectilignes et sur une route assez large, que j'évite quasi systématiquement parce que j'ai toujours l'impression d'y être planté

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"Un autre truc que je déteste ce sont les très long faux plats qu'on ne voit pas ni ne sent directement (genre 1 à 2 %) mais qui durent, durent et durent encore et toujours"

 

Pareil, je préfère les vraies côtes, où on peut plus facilement trouver son rythme

Sinon, en montagne, ce que je n'aime pas ce sont les descentes au milieu des cols, qui cassent bien les jambes (la Croix-de-Fer par exemple est casse-pattes)

Il y a aussi des trucs qui jouent, la fraicheur ou la fatigue du jour, la météo, l'humeur du moment, l'ordre dans lequel on aborde les montées

J'ai fait une fois en Italie l'enchainement Mortirolo-Gavia-Aprica, le Gavia m'avait plus fait souffrir que le Mortirolo, et au bout de 120 bornes la montée roulante sur Aprica m'avait semblé interminable

Après, il y a des trucs qui ne s'expliquent pas, par exemple j'ai toujours été très bien dans le Galibier et pas terrible dans l'Alpe d'Huez, alors que la difficulté est sensiblement équivalente (le Galibier est même plus dur puisqu'on doit se taper le Télégraphe avant)

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Ne t'inquiète pas Franck, tu n'es pas le seul: pendant longtemps le vent m'a tapé sur le système au point de me faire perdre un peu de mes moyens.

Je me suis déjà retrouvée seule sur cette p... de Beauce avec le vent dans la gueule et les larmes aux yeux!

Après 15 ans dans la région d'Orléans, j'arrive mieux à encaisser moralement et physiquement le vent, je suis devenue plus patiente.

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Salut Franck

Avant j'habitais à un endroit où pour rentrer il ne me restait que 1,5 klm de plaine vent de face. Malgré avoir déménagé à 18 klm de mon ancien domicile je suis maintenant en plein de tout plat, partir en chiant et pour revenir 20 bornes de vent de face...

Je me suis franchement éloigné de la Vallée de Chevreuse, pour y aller sa rallonge considérablement mes sorties, pour reprendre l'entrainement je ne fais que de la Beauce...

Déjà avoir quitté le Val d'Oise ça m'a beaucoup limité dans mes capacités de grimpeur mais là dans la Beauce en plus d'une vie perso bien remplie, la motivation en prend un grand coup...

Ce que je peux apprécier dans le vent c'est que ça forge ton mental, mais visuellement la Beauce c'est assez horrible, vraiment peu d'attraits....

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Bonjour Karl,

Je suis sur la "banlieue" nord d'Orléans mais j'avoue que j'évite au maximum cette magnifique Beauce (même s'il y a des endroits pas si laids ou surtout pas si chiants que ça comme la vallée de la Conie).

En général, je vais rouler en direction de la forêt d'Orléans (ce qui permet d'être un peu à l'abri du vent!) ou vers le sud de l'agglo, en Sologne. Mais attention, la Sologne, ça peut vraiment être mortelle aussi dans le genre routes ennuyeuse. J'ai fait il y a quelques années de ça une rando permanente de 400 km en Sologne: plus jamais ça!!!

Bref, faut vraiment être motivé pour rouler dans le coin d'Orléans...heureusement que j'ai mon club...

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Bonjour!!

ET bien moi je suis bloqué sur quelque chose pas trop loin de chez moi et qui s'appelle:

        "LE PONT D'AQUITAINE"

J'explique!ce pont qui enjambe la garonne,je l'ai monté 40 fois en courant,j'ai monté et descendu des gros cols pendant ma longue carrière de CAP!!Mais là depuis que j'ai commencé le vélo (7 décembre)et la première fois ou je suis parti arpenter le pont bien content,Et bien en plein milieu(ou on doit contourner le pilier)je commence à transpirer,les jambes pas top,un peu comme le vertige,pourtant je ne l'ai pas!! je suis stoppé net!!je descend donc de vélo et quand ça va mieux je repart!!Je me trouve vraiment très %@!?,surtout par rapport aux autres cyclistes!

J'avoue que je travaille beaucoup sur moi pour endiguer ce problème qui reste traumatisant😢j'essaye le plus souvent possible d'y aller,de monter le plus loin possible,de regarder le traffic au lieu de la piste,rien n'y fait!!

WAITT AND SEE!!!😄

PS;Guillaume ne rigole pas😄

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J'ai le vertige aussi, mais en vélo ça va à peu près

Par contre, le Pont d'Aquitaine je l'évite au maximum, surtout en semaine, pour une raison toute simple c'est que je souffre de certaines formes d'agoraphobie, et notamment une phobie de la circulation automobile (là c'est à toi de ne pas rigoler 😉, si si ça existe)

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