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Pigot de 1966


Emile ARBES

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Bonjour Claude,

Moi je ne l'ai pas connu mais mon frère oui, d' ailleurs si mes souvenirs sont bons il l'avait battu à une nocturne à Lourdes.

Mon frère devait avoir 18 ans et lui certainement sur la fin (malheureuse).

Pour la Pingeon, je ne connaissais pas Les Lavagnes jamais franchies auparavant pour l' avoir faite à de nombreuses reprises.

Cette montée n'est pas facile, étroite et rugueuse la descente aussi. J'avais tt à gauche 39/25, j'ai eu de la chance de me trouver dans un groupe ou des gars en rose faisaient la course d' équipe, montée bon train et descente et plaine à bloc.

Je termine 113ème en 4h55, 8ème de ma caté, pu.... ça pétrole chez les anciens. J'ai fait la connaissance de Cédric, c'était sympa.

Emile 

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Emile, je suis toujours heureux de contempler ces merveilles que tu arraches à un sort funeste.

Le vélo Peugeot que tu as restauré est vraiment typé fin des années soixante avec des pièces en plastique comme les leviers et colliers de dérailleurs ainsi que l'ensemble dérailleur avant et une bonne partie du dérailleur arrière. Les ligatures des rayons sont impeccables, à cette époque beaucoup de roues étaient renforcées de la sorte. Cela a du être une des dernières générations de vélos à avoir le porte bidon à l'avant, en sus de celui du cadre et les fixations de pompe sur le tube de selle.

Bravo encore.

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Adïu Isaac,

Les manettes forme "Os" très rares n'ont pas vécues longtemps car fragiles, c'était pour gagner du poids, mais pas une grande réussite.

Daniel Bargolin un sacré coursier comme également Saladier mais lui aussi parti comme Laforest très jeune.. tous les 3 étaient licenciés à Vic.

Daniel je le revoie de temps en temps sur les randos vintage, il ne fait plus de cyclos je pense qu'il doit bien dépasser les 75 ans.

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Bonsoir Emile,

C'est un plaisir, à chaque fois, d'examiner minutieusement ces anciennes machines. Et j'y trouve toujours un détail qui me surprend. Aujourd'hui, c'est la petite pièce fixée par un écrou, en butée de l'emplacement de l'axe de la roue arrière. J'imagine que c'est pour limiter le recul de la roue, mais dans quel intérêt?

Michel

 

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""""C'est surtout pour bien centrer rapidement la roue AR ."""""

Une combine également pour centrer la roue arrière, on mettait sur la patte gauche une attache d'un vieux dérailleur qu'on découpait et fignolait pour avoir un meilleur centrage de la roue.

Pour les manettes en plastique, effectivement, elles se cassaient et nous mettaient dans la moïse pour passer les vitesses...

Pour les plateaux avant, le 45/52 étaient courant, on n'était pas tous équipé du 42.....

Pour ma part, sur les circuits, je mettais un 47/52, et derrière une 13/14/15/17/19......ce qui me convenait agréablement..

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ces manettes de dérailleurs existent aussi en mixte plastique alu, il n'y a que la partie en plastique pour serrer, c'était vraiment pas super .

dans nos campagnes Limousines il doit en rester pas mal de vieux vélos de courses ou 1/2 équipés en stronglight et simplex huret

De nombreux clubs avaient Peugeot comme sponsor, et certains avaient aussi le fameux damier

Mon club du début a eu le damier lorsque J Pierre Guitard était coureur et sponsor, l'ACLBP était alors le club phare du Limousin avec le CRCL et l'UVL.

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