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Posté

Bonjour,

 

Je remarque depuis que je roule pas mal en groupe que je galÚre beaucoup à suivre les gens en montée que sur plat ou en descente, et sur les qq triathlons que j'ai fais, je me fais remonter trÚs facilement à chaque cote et je reviens directement sur ce qui m'ont doublé dÚs que la route redevient plate ou descendante, ce qui est assez surprenant étant donné mon gabarit (1m75 pour 65-66kg)

De plus je galÚre aussi énormément face au vent, sur une sortie que j'ai faite allé retour tout seul il y a peu, allé vent dans le dos, je roulais facilement a + de 38-39km/h alors qu'au retour vent pleine face, je galérais à tenir un 22-23km/h (route plate allé retour)

Quel est mon problÚme? je devrais, d'aprÚs mon gabarit etre à l'aise en montée et c'est l'inverse, je suis plus à l'aise sur route plate et en descente

On m'a aussi fait remarqué que je roulais beaucoup plus en vélocité qu'en force, est ce lié à ça? je manque de force et c'est ce qu'il faut pour grimper?

Les Froome, Quintana et autres gros grimpeurs sont plus "fort" que véloce? inversement ceux fort sur plat sont plus veloce que "fort"? j''avais tendance à penser l'inverse (je n'y connais rien ^^)

Merci !

Posté

Froome et Quintana ont des styles de pédalages opposés, le premier est plus ne cadence et le second en force. 

En rÚgle générale les cadences sont plus élevées sur la plat qu'en montée car l'inertie et le coup de pédale sont différents. AprÚs il est pas mal question de préférence personelle. Certains sont à l'aise à 80-85 tr min sur le plat moi j'ai déjà l'impression de forcer, je tourne plutÎt à 100, 110-115 en triathlons, et pourtant ce que je préfÚre c'est grimper.

Tu as peut ĂȘtre une capacitĂ© plus faible que d'autres Ă  fournir plus de puissance sur un laps de temps plus court, il faut voir comment tu te sens Ă  ton rythme dans une montĂ©e plus longue.

Tu fais du vélo depuis longtemps ou pas ?

ĂȘtre Ă  l'aise en montĂ©e ca ce travail, tu as dĂ©jĂ  essayer des braquets plus souples ?

Posté

Ok donc y a pas de caractéristiques qui dit qu'un gros grimpeur est véloce ou un gros grimpeur est puissant, un gros rouleur est véloce ou un gros rouleur est puissant, donc le fait que je sois apparemment véloce n'explique pas ma difficulté à grimper, bon à savoir

Je n'ai pas de compteur de tour mais on m'a dit, autour de moi, que je roulais beaucoup plus en vélocité qu'en force donc je dois etre comme toi

Je fais pas du vélo depuis longtemps, j'en fais maintenant car je fais du triathlon sinon j'en ai jamais fait réguliÚrement avant

J'ai jamais fais des grosses montées de montagne, faudrait voir ce que je vaux la dessus effectivement, mais quand je vois que je galÚre à suivre dÚs le moindre faux plat ou petite montée...

 

 

Posté

D'aprÚs ce que tu dis il faut travailler ta puissance; mais si tu ne fais pas de vélo depuis longtemps avant d'attaquer le spécifique pour la puissance (fractionnés), il te faut une bonne base fonciÚre; cette période hivernale est le moment idéal pour çà; rouler seul 3h avec le vent dans le nez, rien de tel pour avoir une bonne base.

Posté

Ouai c'est ce que je me disais par rapport au manque de puissance mais je pensais que quand on manquait de puissance on galérait plus à suivre sur plat qu'en montée, visiblement non, faut que je m'entraine face au vent (je déteste ça ^^) et en montée

Je pense avoir une base fonciĂšre correcte vu que je suis surtout coureur Ă  pied (1h29 au semi)

 

 

Posté

Bonjour,

Venant de la CAP comme toi, avant d'attaquer le tri, j'ai fait pas mal d'erreurs de débutant et la premiÚre était d'emmener trop gros. Je ne sais pas si c'est ton cas.

Je me disais aussi que ma base fonciÚre était bonne avec plusieurs marathons à mon actif. Pourtant, aprÚs 2h de vélo, souvent j'étais cuit.

Je conseille de suivre les recommandations d'Eric et Simon qui sont les bonnes : braquet souple et base fonciĂšre avec des sorties longues.

AprÚs, tu pourras travailler du spécifique : force, montées, transition...

En tout cas, c'est comme ça que j'ai fait et j'ai bien progressé au point que le vélo est devenu plus mon point fort que la CAP dans les tris.

 

Posté

Je pense pas amener trop gros mais peut etre que j'ai mal géré mes parties vélo en tri en me mettant dans le rouge trop vite, du coup mon cardio me limitait à chaque montée malgré ma base fonciÚre, que j'estime, correcte

 

 

 

Posté

Ah non non je vais pas à plus de 40km/h facilement sur plat, loin de la, mon 38-39 km/h c'est vent de dos (et vent assez fort en plus), le vélo est pas mon fort, je suis pas dégueu (+ de 30km/h de moyenne à chaque fois) mais trÚs loin des meilleurs, sur 300 concurrents je suis souvent entre la 150eme et 200eme place de cette partie la (vélo)

Par compte ouai c'est possible que j'ai mal gĂ©rĂ© mon effort sur les tris, j'Ă©tais peut ĂȘtre dans le dur trop vite, du coup je pouvais plus monter comme il fallait ensuite

 

 

 

Posté

Olala, je doute qu'il y ait grand monde ici pour comprendre ta rĂ©fĂ©rence. Enfin surement les mĂȘmes que d'habitude.

Sinon, tu me recommandes quoi ? Des roue Campa, ou des roues Shimano ? Je voudrais faire l'Ardéchoise marathon en 25 minutes.  J'ai débuté le vélo hier, j'ai une jambe de bois et je pÚse 225 kilos. Et je m'appelle GégÚne.

Posté

Je me demande ce que ça aurait donné si j'étais né à son époque. Je n'y aurais surement pas été bien. La mienne ne me déplaßt pas trop. Une liberté éphémÚre et finissante, coincée entre les années de loose et les années de trouille.

Je n'irai pas jusqu'a 91 ans (je viens de vérifier aussi).

Posté

Ah, j'ai cru que tu allais me faire une référence à "Mourir à 30 ans", ce qui aurait doublement gauchisé tes interventions du jour... Ce dont je te crois fort capable comme je dirais si j'étais belge. Ce que je suis par affection cycliste.

Sinon, pour l'Ăąge du dĂ©funt, Ă  moins d'ĂȘtre suicidaire total, ça relĂšve de Madame Irma. Je ne suis que suicidaire partiel. Je dois relever de Madame Claude ou de Mademoiselle Irma.

Posté

Mami Nova, ça va encore. Elle reste improbable. Tu m'aurais parlĂ© de la MĂšre Denis... Elle est trop probable. MĂȘme encore aujourd'hui.

Dire que les MÚre Denis d'aujourd'hui sont les filles (voire les petites filles) de l'originale. L'humain évolue lentement.





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