Course sous la pluie

[Bernard JOSI]

Bonjour .cet après encore des trombes d eau .et encore baché.je ne supporte pas la pluie qui tétanise mes muscles ,plus de puissance et souffle court .malgré l huile que je met en quantitée.et cette année c est la galère avec la météo pourri.j ai déjà baché plusieurs fois , et plus de plaisir sur le vélo.pour moi la saison va sans doute sans résultat probant.vivement les grandes chaleurs !

[Guillaume EDMONT]

A mon sens, c'est plus le froid apporté par la pluie que la pluie en elle-même qui est un problème. Ca vaut peut-être le coup d'investir dans une veste "technique", un truc imperméable mais respirant pour les courses, comme ça tu ne prendra pas froid.

Personnellement sous la pluie je n'ai jamais eu ce genre de problème "physiques", moi c'est plus une appréhension des routes humides qui me gêne.

Du coup avant les courses sous la flotte j'essaie de me rassurer en repensant à des moments positifs à vélo sous la pluie (j'ai la chance d'avoir gagné une fois sous l'orage, j'étais en D2 à l'époque mais ça reste un moment significatif en course pour moi. J'ai d'autres souvenirs en course, en cyclo ou à l'entrainement avec de bonnes sensations sous la flotte, ça m'aide à me motiver) 😉

[Rémy LORIOT]

Bon, difficile de te donner un "bon conseil".

Certains adorent la pluie (ça m'a toujours laissé rêveur...), d'autres détestent et ne prennent même pas le départ.

Entre les 2 se situe l'immense majorité.

Personnellement, je n'ai jamais aimé ça.

Mais bon... Je fais avec. Sinon, dans ma région (extrême Sud Ouest) je bâcherais un tiers de mes courses...

Donc, si il fait froid, je mets de la chauffante. Sinon, rien de particulier.

C'est plus dans le peloton que c'est compliqué je trouve. On voit beaucoup moins bien, un peu plus d'appréhension etc...

Hier par exemple, on a eu de la pluie, et en début de course, un circuit en ville de 8 km qu'on faisait 3 fois avant de partir dans la verte, ça frottait pas mal. Un peu chaud. Et ben dans ce cas, le mieux, c'est d'être devant. Plus sécurisant, et comme dans ce cas ça freine encore plus, les relances sont d'autant plus "faciles" que tu es à l'avant.

Là où c'est plus chaud, c'est lors des portions descendantes... Hier, sur une descente de plusieurs km qu'on a commencé sous la pluie (et avec les roues carbones pour moi...). Là, j'avoue, compliqué. Si sur route sèche je me débrouille pas trop mal, là c'était plus compliqué, et j'ai pris 1 ou 2 éclats. Ce qui m'a coûté du jus pour rentrer.

Bon, tout ça pour te dire que le mieux, c'est d'essayer de faire abstraction de la pluie autant que faire se peut, et de se concentrer sur la course en elle même. A mon avis , de cette façon, tu tétaniseras moins tes muscles, et ça ira sans doute mieux. Car ce n'est certainement pas la pluie qui tétanise tes muscles, mais plus le fait que tu dois être tendu par l'anxiété.

Bref, "détends toi" et va devant. Encore mieux, pars en échappée !

 

[Bernard JOSI]

Bonjours tes réponses et celles de Guillaume ,sont pleines de bon sens et de vérités .déjà la semaine j ai l angoisse de la pluie le jour de course .il faut absolument que j essaye de faire abstraction de la météo .mais en ce moment c est dur il fait que pleuvoir , et perso j adore la chaleur .je vais travailler mon mental pour la pluie 

[Didier SALEMBIER]

BEURK !

[Bernard JOSI]

Beurk pour la pluie ou la canicule ?

[Gérôme BORGER]

Non Didier c'est à BERCK qu'il pleut tout le temps😃