Didier SALEMBIER Posté le 17 juin 2016 Share Posté le 17 juin 2016 4 mois de suspension--------pas de TOUR pour lui. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 17 juin 2016 Auteur Share Posté le 17 juin 2016 Prise d'une substance sans autorisation. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 17 juin 2016 Auteur Share Posté le 17 juin 2016 TERBULATINE Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Guillaume EDMONT Posté le 17 juin 2016 Share Posté le 17 juin 2016 Bizarre, ça fait un certain temps que l'on avait eu connaissance de ce contrôle positif (de mémoire c'était pendant le tour de Romandie qu'on en avait parlé), et l'UCI avait pris la décision de ne pas le sanctionner. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marcel FERRAN Posté le 18 juin 2016 Share Posté le 18 juin 2016 Comment ça???? Je viens de lire que c'est le medecin de l'equipe qui lui avait ordonné pour soigner de l'asthme!!C'est vrai qu'il fut un temps que pas mal de coureur souffraient de cette maladie..... Mais bon, il faut aussi arreter, soit on peut se soigner, à ne pas confondre avec se .... doper intentionnellement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 18 juin 2016 Auteur Share Posté le 18 juin 2016 Cette décision à retardement est pour le moins curieuse.Le coureur visait le maillot blanc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Steven PICARDA Posté le 18 juin 2016 Share Posté le 18 juin 2016 c'est juste qu'il y a un protocole à respecter, le médecin d'équipe signe une AUT(autorisation d'usage thérapeutique) en bonne et due forme et là le coureur peut se soigner, si le produit est détecté chez le coureur et qu'il n'y a pas d'ordonnance correspondante, la sanction est logique.C'est déjà pas mal qu'Orica n'ait pas tenté de produire une AUT antidatée ce qui dénote que l'on à affaire à une équipe qui joue le jeu, c'est plutôt cela que je retiendrais, que les moeurs changent... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier BLANC Posté le 18 juin 2016 Share Posté le 18 juin 2016 Mais non , il a était suspendu car il a trop but du sirop à la fraise , enfin pas de dopage cher les pro bein voyons !!😃 je sort !🤐 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claude CARRIES Posté le 18 juin 2016 Share Posté le 18 juin 2016 sortir c est deja bien ,mais ne plus rentrer c est mieux car tu n apportes vraiment pas grand chose a part du vent Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier PINEAU Posté le 18 juin 2016 Share Posté le 18 juin 2016 Le terbulatine est un broncho dilatateur, comme le salbutamol. Je ne sais pas ce qu'il en est pour Yates, mais même avec une AUT il y a un dosage à ne pas dépasser sinon le dopage est avéré me semble-t-il. Quand on voit l'hypocrisie de nombre de sportifs se faisant déclarer asmathique, ou encore diabétique comme certaines joueuses de tennis, il y a de quoi être soupçonneux. A mon humble avis, tout sportif ayant recours à un médicament est donc malade et devrait par conséquent se retirer de la compétition jusqu'à sa guérison. Ça couperait court à bien des polémiques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean ROULEUR Posté le 18 juin 2016 Share Posté le 18 juin 2016 Ne pas oublier que ce sont des pro.Alors se retirer si malade?Dans la vie professionnelle, combien de salaries prennent le terbulatinne et vont bosser. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier PINEAU Posté le 19 juin 2016 Share Posté le 19 juin 2016 La comparaison n'est pas recevable selon moi. Un salarié prend un broncho dilatateur car il est asmathique, il va continuer à bosser. Cela n'est pas du dopage en soi. Si certains ont par ailleurs recours à des stimulants pour améliorer leurs performances dans leur cadre professionnel, tu ne m'enleveras pas de la tête que c'est une conduite dangereuse pour sa santé , tout comme l'est le dopage dans le sport.Un sportif professionnel, de haut niveau qui est asmathique au point de devoir se soigner, soit ça cache quelque chose, soit ça n'est pas sérieux pour sa santé de le laisser courir. S'il y a un médecin sur ce forum qui m'explique qu'il n'y a aucun problème à faire le tour de France avec de l'asthme, je m'incline.Pour toninformation, quand j'étais gosse, j'étais allergique au pollen, donc asthme carabiné dès le printemps, puis traitement de désensibilisation qui a bien marché. Je peux te dire que tout effort intense ou d'endurance, même avec un broncho dilatateur sur soi, c'était parfois intenable et dangereux. Quand je fais une cyclo, je ne m'autorise même pas une aspirine, encore moins ce genre de médicament. Si j'en avais besoin, ça voudrait dire que je ne suis pas en condition de faire ce genre d'effort, ou que je cède à une pratique dopante. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier PINEAU Posté le 19 juin 2016 Share Posté le 19 juin 2016 Développe svp? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claude CARRIES Posté le 19 juin 2016 Share Posté le 19 juin 2016 l athsme en cyclisme n est pas une vue de l esprit,c est un vrai probleme pour de nombreux coureurs.J ai eu ce probleme a l epoque ou je faisais les cyclosportives,au mois de mai en pleine nature et j avais vraiment l impression de m ettouffer.de toute façon il n a pris que 3 mois,c est qu il est donc sanctionné davantage pour le non respect du reglement que pour du dopage;mais comme ici il y a beaucoup d accrocs au dopage;l amalgame est vite fait Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lucien GRATTIN Posté le 19 juin 2016 Share Posté le 19 juin 2016 Je confirme, contrairement a beaucoup d'idées reçus, l'asthme "équilibré" n'est pas une contre indication a la pratique de sports a haut niveau. Souvent même l'asthme entraine une résistance bronchique élevé qui peut favoriser certaine performances.Dans ce cas la prise occasionnelle - et non a dose anabolisante - d'un broncho-dilatateur n'as rien a voir avec un protocole de dopage.Par contre chez un coureur non-asthmatique, la prise de ventoline ou autre, peut être assimilé a une amélioration du confort pulmonaire au delà de la normale. Ce qui pose la question de la réalité des nombreuses aut a ce sujet. Un protocole de test indépendant des médecins de l'équipe et/ou proche des coureurs serait bienvenue. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 19 juin 2016 Share Posté le 19 juin 2016 J'ai peut-être lu trop vite, mais aucun des intervenants dans ce fil n'a l'air d'avoir percuté que si la sanction n'est que de 4 mois c'est parce que c'est le toubib de l'équipe Orica qui est fautif.Il a tout simplement oublié de soumettre la demande d'AUT. L'équipe de Yates accepte la pleine responsabilité.De ce fait c'est considéré comme non-intentionnel.Sinon le tarif était de 2 ans. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier PINEAU Posté le 19 juin 2016 Share Posté le 19 juin 2016 "Pour une pratique dopante, les effets recherchés des broncho-dilatateurs sont :L’amélioration de la fonction respiratoireUn bien-être cardio-respiratoireL’augmentation de la masse musculaireLes brûleurs de graissesEn alternative des anabolisantsLa présence dans l’urine de salbutamol à une concentration supérieure à 1000 ng/mL ou de formotérol à une concentration supérieure à 40 ng/mL sera présumée ne pas être une utilisation thérapeutique intentionnelle et sera considérée comme un résultat d’analyse anormal, à moins que le sportif ne prouve par une étude de pharmacocinétique contrôlée que ce résultat anormal est bien la conséquence de l’usage d’une dose thérapeutique par inhalation jusqu’à la dose maximale indiquée ci-dessus."Ce doit être la même chose pour le terbulatine. Source: http://www.irbms.com/beta-2-agonistesDésolé. Déjà au lycée j'avais du mal avec le H.Pour Yates, je ne l'accuse de rien, il a peut-être (surement même) une gêne respiratoire, il y a peut-être un flou au niveau de l'information auprès de l'AUT... sauf que ça fait beaucoup de "peut-être" et qu'il y a eu tellement de cas de fausses ordonnances.D'où mon avis sur la prise de médicament sur une épreuve sportive. L'interdire tout simplement... ce serait radical, exagéré au yeux de beaucoup mais au moins ça aurait le mérite de clarifier les choses. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier SALEMBIER Posté le 19 juin 2016 Auteur Share Posté le 19 juin 2016 Pas 3 mais 4 mois-----------------peu importe.Soit il est atteint d'une pathologie nécessitant la prise de ce médicament,soit il ne l'est pas ! Visiblement,nous sommes dans la première version et cette suspension me semble donc très sévère-------un rappel à l'ordre au staff médical qui a durement pénalisé son coureur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean GUY Posté le 19 juin 2016 Share Posté le 19 juin 2016 Ce qui pose la question de la réalité des nombreuses aut a ce sujet. Un protocole de test indépendant des médecins de l'équipe et/ou proche des coureurs serait bienvenue. C'est déjà le cas, heureusement ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier BLANC Posté le 19 juin 2016 Share Posté le 19 juin 2016 Tu te prend pour qui , dieux , garde tes réflexion pour toi , c 'est un forum de discution et non pas un forum des pro ou des dieux du vélo ...!🤑 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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